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 L'UGCAA relève une baisse de la demande après 10 jours de Ramadhan : les prix chutent de 50% !

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: L'UGCAA relève une baisse de la demande après 10 jours de Ramadhan : les prix chutent de 50% !   L'UGCAA relève une baisse de la demande après 10 jours de Ramadhan : les prix chutent de 50% ! Icon_minitimeLun 22 Juil - 9:57

L'UGCAA relève une baisse de la demande après 10 jours de Ramadhan : les prix chutent de 50% ! Logo_liberte_algerie

Actualité

Lundi, 22 Juillet 2013 09:50

L’ugcaa relève une baisse de la demande après 10 jours Ramadhan : les prix chutent de 50% !

Par : Badreddine KHRIS

L'UGCAA relève une baisse de la demande après 10 jours de Ramadhan : les prix chutent de 50% ! 7_200_150

Cela s’explique, selon les analystes de cette organisation, par la baisse remarquable de la demande au bout de quelques jours, des stocks de nourriture étant d’ores et déjà constitués bien avant le mois sacré.


Les prix des produits alimentaires et ceux des fruits et légumes ont enregistré une baisse sensible de 50% à la fin de la première décade du mois de Ramadhan. C’est, du moins, ce qui ressort du bilan de 10 jours établi par l’Union générale des commerçants et artisans algériens (Ugcaa). Cela s’explique, selon les analystes de cette organisation, par la baisse remarquable de la demande au bout de quelques jours, des stocks de nourriture étant d’ores et déjà constitués bien avant le mois sacré. La flambée des prix a donc laissé les produits de large consommation souffler un peu et s’en prend aussitôt à l’habillement en prévision de l’Aïd. Les prix des ingrédients pour la préparation des gâteaux à l’occasion de cette fête connaissent, quant à eux, une hausse de par la forte demande exprimée par les ménagères notamment pour la farine et les œufs. L’Ugcaa a remarqué un surplus dans l’approvisionnement des marchés de gros des fruits et légumes estimé à près de 20%.

Ce qui, par conséquent, a concouru à la stabilité des tarifs pratiqués. Durant la dizaine de jours écoulée, les Algériens ont consommé plus de 3 millions de quintaux de légumes dont un million de de pommes de terre. C’est dire la place de choix qu’occupe le tubercule dans les traditions culinaires des Algériens. Ce sont autant de quantités qui ont été acheminées jusque-là vers les 43 marchés de gros. Les transformateurs de lait en sachet ont mis sur le marché quelque 40 millions de litres alors que près de 30 000 tonnes de viandes rouge et blanche ont été exposées sur les étals. L’Union parle d’une baisse des prix du poulet qui est passé de 380 DA ou 400 DA le kilogramme (kg) au début du mois sacré à 300 DA ou 320 DA aujourd’hui.

“L’on s’attend dans quelques jours à une baisse de 100 DA, voire de 150 DA, du kg de viande rouge pour se situer autour de 1 300 DA”, avoue Hadj Tahar Boulenouar, porte-parole de l’Ugcaa. L’aliment dont le prix n’a pas suivi une courbe descendante reste indubitablement les dattes, marquées par une demande accrue pendant le Ramadhan conjuguée à une production insuffisante. Cependant, ce que l’organisation trouve illogique, voire illégal, c’est cette augmentation inattendue, inexpliquée et injustifiée des prix des détergents sur le marché de gros.

Obligation de la facture pour la lutte contre l’informel

“C’est une hausse illégale et infondée car ce ne sont pas des produits alimentaires”, commente M. Boulenouar. Par ailleurs, l’Ugcaa exhorte les pouvoirs publics à imposer l’utilisation de la facture dans toutes les transactions commerciales. Seul moyen à même d’éradiquer un tant soit peu le secteur informel, un phénomène qui a pris des proportions alarmantes en Algérie. Certains experts estiment que le marché parallèle a phagocyté entre 40% et 60% de l’économie nationale. “L’obligation et la généralisation de la facturation dans toutes les transactions commerciales doivent commencer, toutefois, à partir du producteur, si le produit est fabriqué localement, et de l’importateur dans le cas où la marchandise est importée, mais pas à partir du détaillant”, souligne Hadj Tahar Boulenouar. Il y a une année, le gouvernement a promis un Ramadhan 2013 sans marchés informels. Ce n’est pas encore le cas, car des points de vente parallèles pullulent toujours à travers toutes les contrées du pays. L’État est, selon lui, appelé à se pencher sérieusement sur cette question et chercher des solutions profondes et radicales. L’Ugcaa voit en la révision à la baisse de la fiscalité une des mesures efficaces contre ce fléau. Celle appliquée actuellement n’encourage pas le privé à exercer des activités libérales par appréhension pour les impôts. Ce qui le contraint à suivre le chemin de l’informel évitant ainsi toutes les mesures fiscales auxquelles il est soumis. La création d’espaces de commerce en nombre suffisant contribuera également dans cette lutte. Il s’agit de la réalisation des 1 000 marchés de proximité, des 800 autres de détails et 30 infrastructures de commerce de gros. De son côté, le directeur général de l’Office national interprofessionnel des légumes et viandes (Onilev), Sahraoui Benallal, a déclaré il y a quelques jours que les prix des fruits et légumes sont nettement inférieurs durant les premiers jours de ce mois de Ramadhan par rapport à l’année dernière, avec en plus une grande disponibilité des produits. “Les marchés sont bien approvisionnés (en fruits et légumes) de bonne qualité et à des prix raisonnables”, a-t-il indiqué. Le DG a imputé cette situation des prix au fait que le Ramadhan 2013 coïncide avec la pleine saison des récoltes des produits maraîchers.

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