VIDEO. PSG : Ibrahimovic et Leonardo, l'embrouille devant la caméra

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VIDEO. PSG : Ibrahimovic et Leonardo, l'embrouille devant la caméra

Publié le 13.05.2013, 13h14 | Mise à jour : 13h43


Zlatan Ibrahimovic, était heureux de partager la fête après le titre de champion dont il est un des principaux artisans. Aux vestiaires, il était en colère après son contrôle antidopage, il s'en est pris verbalement en italien à son directeur sportif Leonardo, au milieu des autres joueurs en liesse.

Pendant que le PSG célébrait dans la liesse son titre de champion de France, dans son vestiaire à Gerland, après sa victoire contre Lyon, Zlatan Ibrahimovic faisait encore le buzz. Une caméra insdicrète de Canal+, au milieu de l'effectif parisien au complet, saisit une belle altercation entre l'attaquant parisien et le directeur sportif, Leonardo. La scène n'a duré que quelques secondes, les vigiles du club ont fermé la porte du vestiaire.

Quand le géant suédois est revenu dans le vestiaire retrouver ses coéquipiers euphoriques, Zlatan avait le regard noir. Il s'en est pris verbalement, mais violemment, en italien à Leo. L'attaquant suédois, le pointant du doigt lui a montré son mécontentement. «Zlatan devait aller au contrôle antidopage et cela l'a énervé. Ce n'était pas possible pour lui de ne pas faire la fête avec les autres», a expliqué l'entraîneur Carlo Ancelotti, un peu plus tard, en conférence de presse.

D'après un autre témoignage, Ibrahimovic n'aurait pas du tout apprécié que le directeur sportif parisien lui fasse une tape dans le dos, pour l'inciter à profiter de la fête avec ses coéquipiers alors que celui-ci attendait au contrôle antidopage. Il s'est plaint du fait que personne au sein de la direction parisienne ne soit venu le chercher après. Et Ibrahimovic était vraiment en colère. Il explique ce moment qui a précédé son embrouille avec Leonardo: «Mon équipe était en train de célébrer le titre, j'étais là à attendre depuis 20 minutes. Quelqu'un aurait dû venir, le docteur, Leo, peu importe. C'était une situation stupide. Je voulais partager ce moment avec mes partenaires et un gars ne voulait pas me laisser partir». Et de conclure: «J'ai attendu neuf mois pour faire la fête, et on m'en empêchait. C'est fou...».