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| Euro. Espagne-Italie : une finale pour marquer l'Histoire | |
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Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: Euro. Espagne-Italie : une finale pour marquer l'Histoire Dim 1 Juil - 10:41 | |
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Euro. Espagne-Italie : une finale pour marquer l’Histoire
L’ultime match de l’épreuve entre deux grands du football mondial s’annonce passionnant.
Publié le 01.07.2012, 11h47
Gianluigi Buffon à l'entraînement. Cette soirée a déjà sa place dans les livres d’histoire. Un succès espagnol au stade olympique de Kiev et c’est un chapitre entier qui sera marqué au fer rouge et or. L’exploit serait incommensurable : devenir la première nation à conserver un titre européen en ayant, au passage, soulevé la Coupe du monde. Cette performance éteindrait tous les débats sur le plaisir pris, ou non, à observer ces Espagnols aligner des milliers de passes sans être forcément spectaculaires. Oui, l’Espagne serait alors la plus grande sélection de l’ère moderne car elle aurait tout gagné pendant quatre ans. Une éternité en football.
« On ne s’ennuie jamais en gagnant des titres, répond Xavi à ceux qui trouvent le jeu de son équipe ennuyeux. On veut continuer à montrer notre force et marquer le foot mondial. » « On cherchera un couronnement », renchérit Vicente del Bosque, le coach ibérique. Un nul 1-1 en match de pouleMais l’histoire peut aussi sourire à l’Italie qui, en cas de victoire, réussirait un de ces retours en grâce qui font la beauté du football. Repartis, comme la France, sur les ruines d’un Mondial 2010 épouvantable, les Italiens ont surpris tout le monde, et surtout eux-mêmes, pendant trois semaines. Pourtant cette épreuve les sublime rarement : l’Italie, quatre fois championne du monde, n’a remporté qu’un seul Euro, il y a quarante-quatre ans! Mais leur excellente prestation lors du premier match contre… l’Espagne (1-1) à Gdansk, le 10 juin, les a décomplexés. « Les Italiens ont l’amour du maillot, explique Cesare Prandelli, le sélectionneur des Azzurri. On cherche à exalter l’idée de la nation avec un groupe qui pense ensemble. Notre fil conducteur est le jeu. C’est une route compliquée, mais c’est le chemin vainqueur. » Le destin a maintenant 90 voire 120 minutes pour choisir son roi. Le géant que personne ne sait stopper ou le ressuscité que beaucoup avaient oublié? Pour l’heure, on sait juste que le champion sera beau. ESPAGNE - ITALIECe soir, à 20 h 45, au stade olympique de Kiev (Ukraine). Arbitre : Pedro Proença (Por). Espagne : Casillas - Arbeloa, Piqué, Ramos, Alba - Xavi Hernandez, Busquets, Xabi Alonso - Silva (ou Pedro), Fabregas (ou Torres), Iniesta. Entr. : Del Bosque. Italie : Buffon - Abate, Barzagli, Bonucci, Chiellini - Marchisio, Pirlo, Montolivo, De Rossi - Cassano, Balotelli. Entr. : Prandelli. | |
| | | Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: L'Espagne est prévenue Dim 1 Juil - 10:45 | |
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L'Espagne est prévenue
Publié le 29/06/2012 à 17:50 Championne d'Europe et du monde en titre, l'Espagne n'est plus qu'à un match d'un fantastique et historique triplé. Mais l'heure n'est pas encore au triomphalisme. Avant d'affronter l'Italie, la prudence est de rigueur.L'Espagne va-t-elle entrer dans l'Histoire ? Jusqu'ici, aucune nation championne d'Europe n'est parvenue à conserver son bien. La Roja, elle, est en route pour reléguer cette statistique au rang de souvenir. Mieux, elle peut réaliser un triplé inédit et forcément exceptionnel : Euro 2008-Mondial 2010-Euro 2012. «C'est quelque chose qui nous fait envie. Réaliser ce triplé serait quelque chose d'énorme, d'inégalable presque», estime Sergio Ramos, rapidement rejoint par Cesc Fabregas : «Nous sommes déjà entré dans l'Histoire. C'est quelque chose de bien plus grand encore». L'Espagne a déjà fait aussi bien que l'URSS, victorieuse en 1960 et finaliste en 1964. Personne depuis n'avait réussi à disputer deux finales de suite. Mais pour espérer mettre fin à la malédiction typiquement européenne, la Roja devra «passer sur le corps» de l'Italie. Le dernier chat noir de l'Espagne en compétition officielle. En 7 confrontations, les Espagnols n'ont jamais battu la Nazionale. Que ce soit en Coupe du monde ou à l'Euro (4 nuls et 3 défaites). Alors bien sûr, l'Espagne s'était tout de même qualifiée en quarts de finale de l'Euro 2008 après un score nul et vierge entre les deux équipes (0-0, 4-2 tab). Mais les deux dernières oppositions face à l'Italie de Cesare Prandelli (défaite 2-1 en amical en août 2011 et 1-1 lors de la phase de groupes de l'Euro 2012) suffisent à instaurer non pas la crainte mais plutôt la prudence au sein de l'effectif espagnol. La Roja avait été bousculée en début de tournoi«Nous nous inquiétons mais cela ne tourne pas à l'obsession, reconnaît Sergio Ramos. Nous devons conserver notre philosophie de jeu, qui est la clé de notre succès». Il y a 20 jours, cette philosophie s'était pourtant heurtée à un roc solide. Alignée en 3-5-2, la Squadra Azzurra avait su museler le milieu de terrain espagnol et l'empêcher de développer son jeu court pendant près d'une heure. Elle s'était même permise d'ouvrir le score par l'intermédiaire de Di Natale (61e) avant que Fabregas ne réplique (64e). Il s'agit ni plus ni moins du premier et du dernier but encaissé par la Roja dans cet Euro 2012 ! L'Italie a donc réussi là où toutes les autres nations ont flanché. De quoi faire douter les Ibères ? «Ce n'est jamais mauvais de rejouer un adversaire dans une même compétition, tempère Sergio Ramos, finalement peu préoccupé à l'idée de jouer un remake du match d'ouverture du groupe C. Cela peut te donner quelques renseignements sur sa manière de jouer. Mais il n'est pas dit qu'ils reconduisent le même schéma de jeu que lors du premier match». Pirlo, danger numéro 1Une chose est sûre, le défenseur du Real Madrid s'attend à affronter une «équipe audacieuse dans le jeu, qui va nous provoquer. Comme nous, ils aiment avoir le contrôle du ballon. Je ne crois pas qu'ils changent ce qui a fait leur succès jusqu'à maintenant». Pour Fabregas, l'Italie «sait quand attaquer ou défendre, avec des joueurs d'expérience. Ils ont aussi un leader dans la cage, comme nous». Et pour en venir à bout, le Barcelonais préconise de «désactiver son style de jeu et Andrea Pirlo». Le maestro de la Juventus est clairement dans la ligne de mire des Espagnols avant cette finale. C'est lui qui dicte le jeu, donne le tempo à son équipe. Avec une facilité technique déconcertante. «C'est un joueur unique qui peut faire la différence. Il est proche de ce que peut nous apporter Xavi, souligne Sergio Ramos. Mais attention, il ne faudra pas se focaliser uniquement sur Pirlo. Le danger dans cette équipe d'Italie peut venir de partout». Avec Balotelli, annoncé comme «une menace» selon Fabregas, et Cassano, pour ne citer qu'eux, l'Espagne devra en effet avoir des yeux partout… | |
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