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 Les 85 villes que la droite pourrait gagner

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Petrus.m

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MessageSujet: Les 85 villes que la droite pourrait gagner   Les 85 villes que la droite pourrait gagner Icon_minitimeVen 7 Fév - 10:44

LE MONDE | 07.02.2014 à 11h26 • Mis à jour le 07.02.2014 à 11h31 | Par Abel Mestre et Patrick Roger
Villes de 5000 à 15000 habitants
Les 85 villes que la droite pourrait gagner Municipale-x1i1

Villes de 15000 à 25000 habitants
Les 85 villes que la droite pourrait gagner Municipale-x1i2

Villes de 25000 à 50000 habitants
Les 85 villes que la droite pourrait gagner Municipale-x1i3

Villes de plus de 50000 habitants
Les 85 villes que la droite pourrait gagner Municipale-x1i4

Vingt-deux mois après son accession au pouvoir, la gauche gouvernementale passera, lors des élections municipales des 23 et 30 mars, son premier test électoral majeur. Peut-elle encore éviter un sévère revers ? La forte implantation locale du Parti socialiste le prémunit certes d'une débâcle à la mesure de l'impopularité de M. Hollande et du gouvernement. Mais cela ne suffira pas à empêcher la casse, comparable aux scrutins de 2001, voire à celui de 1983, resté dans l'histoire comme une claque magistrale pour la gauche.

   Une décrue inévitable pour le PS

Notre étude porte sur les villes de plus de 10 000 habitants. Elle s'appuie sur les scores obtenus aux dernières élections municipales de 2008 et aux élections présidentielles et législatives de 2012 dans ces communes, en intégrant les données dont nous disposons sur les forces en présence.

A minima, 130 villes peuvent au total être considérées comme susceptibles de basculer lors des prochaines municipales. La gauche, dans ses diverses composantes, est menacée dans 85 villes sur les 500 qu'elle dirige actuellement. Strasbourg, Reims, Metz, Pau, Chambéry, Saint-Etienne, Quimper, pour les plus importantes mais aussi Auxerre, Angers, Amiens, Valence, Tourcoing, Clamart, Saint-Dié constituent des cibles atteignables pour la droite.

Ce qui n'empêche pas le PS, au vu des gains électoraux qu'il a enregistrés depuis le précédent scrutin municipal, d'envisager de nouvelles conquêtes. Au total, 45 villes aujourd'hui tenues par la droite sont en situation fragile et peuvent basculer. Notre étude montre que ce n'est pas seulement dans les villes de plus de 30 000 habitants – celles sur lesquelles sont habituellement braqués les projecteurs – que va se jouer le scrutin. Les mouvements les plus significatifs pourraient concerner les communes comptant entre 10 000 et 30 000 habitants, révélateurs de l'état du pays et de l'ampleur de la défiance vis-à-vis de la majorité présidentielle.

   Les comparaisons avec 1983 et 2001

La gauche risque-t-elle de subir une défaite comparable à celle des élections municipales de 1983 ou à celle de 2001 – deux scrutins qui avaient donné un coup de semonce préfigurant une alternance lors de l'échéance électorale nationale suivante ?

En 1983, deux ans après l'élection de François Mitterrand et l'accession de la gauche au pouvoir – pour la première fois depuis le début de la Ve République – la gauche avait enduré une cuisante débâcle : entre 1977 et 1983, elle avait reculé de 52,6 % des suffrages au premier tour à 45,3 %. Alors qu'elle dirigeait 161 villes de plus de 30 000 habitants, elle n'en détenait plus, à l'issue du scrutin, que 125 (– 36).

Au total, sur les villes de plus de 9 000 habitants, elle avait perdu 97 mairies. Les élections municipales de 1983 avaient également marqué, d'une part, le déclin du communisme municipal et, d'autre part, le reclassement de l'électorat centriste à droite. la gauche avait surtout subi un fort abstentionnisme avec une bonne mobilisation de l'électorat dans les zones de force de la droite et une rétraction dans les terres traditionnelles de la gauche.

En 2001, la gauche avait connu un recul marqué en perdant 42 villes de plus de 15 000 habitants mais ce reflux avait été en partie éclipsé par les gains, historiques, de Paris et de Lyon. En 2008, un an après l'élection de Nicolas Sarkozy, la droite avait perdu 82 villes de plus de 10 000 habitants.

   La démobilisation à gauche

L'abstention et la démobilisation de l'électorat de gauche sont les principaux dangers qui guettent l'actuelle majorité. Une abstention que les instituts de sondage ont le plus grand mal à anticiper. Depuis 1983, elle n'a cessé de s'amplifier aux élections municipales, passant de 21,6 % à 33,5 % en 2008 au premier tour, de 20,7 % à 34,8 % au second tour. Pour la première fois, en 2008, la participation au second tour avait été inférieure à celle du premier.

Signe précurseur d'une érosion des deux principales forces politiques, qui désormais ne parviennent plus à agréger l'électorat ? Jusqu'à quel point l'électorat peut-il encore s'éloigner des deux partis qui dominent le paysage politique et institutionnel ? Ce sera une des autres clés de ce scrutin. La droite – et l'UMP en l'occurrence – n'est elle-même pas à l'abri de quelques déconvenues dans les villes qu'elle dirige. Soit parce qu'elle subit l'usure de la longévité, comme à Marseille, soit parce que la sociologie de l'électorat a évolué, notamment dans les villes moyennes, soit, enfin, à cause de la poussée du Front national.

   L'ambition du Front national

Le FN présentera des listes dans quelque 500 villes, soit plus de la moitié des communes de plus de 10 000 habitants. « C'est là que le scrutin municipal revêt un véritable enjeu politique », explique Nicolas Bay, secrétaire général adjoint du parti d'extrême droite. Parmi ces villes, le FN vise surtout celles où Marine Le Pen a réalisé plus de 12 % à la présidentielle et où il a obtenu plus de 10 % des voix aux législatives. « C'est alors une quasi-certitude de nous maintenir au second tour et d'envoyer des élus au conseil municipal », estime M. Bay.

Si le nombre de communes que le FN peut espérer gagner reste limité – une dizaine, essentiellement situées dans le Var, le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône, sans oublier Hénin-Beaumont dans le Pas-de-Calais –, sa capacité à se maintenir au second tour va considérablement rebattre les cartes. La gauche voit dans la multiplication de triangulaires une chance d'éviter une déroute. Il n'est pas sûr, cependant, aux niveaux d'impopularité qu'elle a atteints et de désillusion qu'elle a propagée, que cela suffise.
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MessageSujet: Fiscalité, emploi et sécurité au menu des municipales   Les 85 villes que la droite pourrait gagner Icon_minitimeVen 7 Fév - 10:47

LE MONDE | 03.02.2014 à 13h36 • Mis à jour le 04.02.2014 à 17h54 | Par Camille Bordenet et Lucie Soullier
Les 85 villes que la droite pourrait gagner 4359120_6_3a78_nathalie-kosciusko-morizet-candidate-ump-a-la_92b464592259ea9bd82aeca311a86c43
Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la Mairie de Paris, est venue soutenir Michel Havard à Lyon, le 18 octobre 2013.

Si plusieurs têtes de liste attendent encore février pour dévoiler programmes et chiffres, les enjeux-clés qui feront le vote dans les grandes villes aux municipales des 23 et 30 mars sont désormais connus. Du ras-le-bol fiscal à la sécurité, les thèmes qui ont catalysé les tensions à l'échelle nationale se retrouveront dans les urnes des grandes villes françaises, de Paris à Toulouse ou Bordeaux.

Lire notre reportage sur les municipales dans une commune rurale du Finistère, dévastée par la fermeture de l'abattoir Gad
http://www.lemonde.fr/municipales/article/2014/02/03/sur-les-terres-de-l-abattoir-gad-l-hommage-au-maire_4358924_1828682.html

   Tirer les leçons du « ras-le-bol fiscal »

Il en a fait son serment : « Pas d'augmentation d'impôts pendant les six années du mandat. » Si cet engagement est celui de la tête de liste UMP à Lyon, Michel Havard, on le retrouve, presque mot pour mot, chez tous les candidats des villes de plus de 100 000 habitants, de Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) et Anne Hidalgo (PS) – rivales à Paris – à Jean-Luc Moudenc – ancien maire UMP de Toulouse –, en passant par Vincent Feltesse – candidat PS à la mairie de Bordeaux. Car les élus locaux ont retenu la leçon du « ras-le-bol fiscal » après le cafouillage gouvernemental de 20l13. Préoccupation majeure des Français, l'enjeu est au coeur de la campagne et sera déterminant dans les urnes.

Récusant les allégations de « matraquage fiscal » de son adversaire UMP, Mme Hidalgo estime que « les Parisiens bénéficient des taux d'impôts locaux les plus faibles de toutes les grandes villes françaises » – 1 097 euros contre 2 326 euros à Bordeaux. Quand NKM dénonce un « quadruplement » et une « explosion de la dette » parisienne, la candidate PS rétorque, copie des agences de notation à l'appui, que la « dette par habitant de Paris est inférieure, dans des proportions considérables, à celle de Bordeaux , de Lyon et de Marseille ».

Pour certains maires sortants candidats à leur réélection, la pilule fiscale sera plus dure à faire avaler. Comment justifier aux Marseillais l'apoplexie des finances municipales et une dette largement au-dessus de la moyenne des villes de plus 100 000 habitants ? Le corollaire d'investissements trop gourmands pour les uns, mais ambitieux pour les autres. Pour espérer renverser le maire sortant UMP, Jean-Claude Gaudin, la tête de liste PS, Patrick Mennucci, dit miser sur le schéma inverse : se concentrer sur la réduction des dépenses pour retrouver une marge d'autofinancement et alléger la fiscalité des ménages.

A Bordeaux et à Nice, les maires UMP sortants, Alain Juppé et Christian Estrosi, ont la sérénité de ceux qui sont convaincus de conserver leurs fiefs. Mais quand M. Feltesse (PS) pointe la mauvaise position de Bordeaux, « troisième des villes les plus fiscalisées », M. Juppé ne cherche pas à démentir, soulignant toutefois qu'en termes de hausse des impôts « Bordeaux est en dixième position au cours de la dernière mandature ». Côté niçois, M. Estrosi menace, en revanche, d'un procès en diffamation son adversaire socialiste, Patrick Allemand, qui l'a qualifié de « fils de Nice, père de la dette ».

   Faire plus pour l'emploi

Autre front incontournable, l'emploi. M. Gaudin affirme qu'il a « réduit de moitié » le chômage à Marseille. Ce que conteste M. Mennucci qui promet de créer 50 000 emplois dans le privé sur deux mandats. Objectif : « Retrouver les niveaux d'attractivité et d'emplois d'agglomérations comparables comme Lyon et Bordeaux. »

Le bilan positif des deux villes citées est un motif d'orgueil pour les maires sortants, Gérard Collomb et Alain Juppé. Leurs challengeurs disent vouloir faire plus sans pour l'instant chiffrer leurs objectifs. Trop tôt aussi pour des annonces chiffrées à Paris. NKM promet de s'engager « aux côtés de ceux qui veulent entreprendre et innover ». « Chaque année à Paris, ce sont des milliers d'emplois qui ne se créent pas parce que les pouvoirs publics n'accompagnent pas l'innovation », dénonce celle qui érige l'emploi en troisième priorité, après la sécurité et le logement.

A Lille, le candidat de l'opposition UMP-UDI, Jean-René Lecerf, a fait de l'emploi son angle d'attaque face à la maire sortante qui brigue un troisième mandat. Le taux de chômage s'établi à 11,5 % au troisième trimestre 2013, selon les chiffres de l'Insee.

   Lutter contre l'insécurité

S'appuyant sur les mauvais chiffres de la délinquance dans la capitale, NKM, candidate UMP promet ainsi de créer une police de quartier dans la capitale, de rétablir les arrêtés anti-mendicité et de doubler le nombre de caméras de surveillance (soit 1 000 de plus). Un renforcement de la vidéosurveillance également prôné par le candidat UMP à Lyon qui lance l'idée d'une application smartphone gratuite pour alerter la police. En face, le maire socialiste sortant se targue d'un très bon bilan, considérant même sa ville comme « l'une des plus tranquilles de France ».

A Toulouse, où l'affaire Merah a laissé des traces, le maire PS sortant, Pierre Cohen, n'a pas encore dévoilé son programme. Son rival à droite, M. Moudenc, fait déjà de la lutte contre l'insécurité sa priorité. Doublement des effectifs (soit 150 policiers municipaux supplémentaires), installation de 200 caméras de surveillance, application smartphone… Le candidat UMP alloue pas moins de 5 millions d'euros de nouvelles dépenses au volet sécuritaire.

Sans oublier la symbolique Marseille, où M. Mennucci (PS) attaque, sans surprise, le bilan sécuritaire du maire, tenant du titre depuis dix-huit ans, M. Gaudin. Alors que ce dernier rappelle régulièrement que « la sécurité des personnes et des biens incombent à l'Etat », M. Mennucci dénonce le « déni de responsabilité » de l'édile.
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MessageSujet: Le « trou d’air » du FN à deux mois des municipales   Les 85 villes que la droite pourrait gagner Icon_minitimeVen 7 Fév - 10:50

LE MONDE | 31.01.2014 à 10h33 • Mis à jour le 03.02.2014 à 11h02 | Par Abel Mestre
Les 85 villes que la droite pourrait gagner 4347736_6_62ff_nicolas-bay-secretaire-general-adjoint-du_8fcfed5d29dca441e6882b302621df55
Nicolas Bay, secrétaire général adjoint du Front national, Marine Le Pen et le vice-président du parti Florian Philippot, le 1er mai 2013 à Paris.

Est-ce le début d'une chute ou un simple trou d'air ? A moins de deux mois du premier tour des élections municipales des 23 et 30 mars, plusieurs sondages montrent un tassement des intentions de vote en faveur des candidats du Front national dans des villes qui devraient pourtant être des places fortes.

Ainsi, à Hénin-Beaumont, un sondage CSA pour Le Figaro, BFM-TV et Orange donnait Steeve Briois, la tête de liste FN, perdant face au candidat socialiste. Un sérieux avertissement pour le parti d'extrême droite qui a fait de cette ville du Pas-de-Calais un symbole, et où Marine Le Pen s'est implantée.

Le 29 janvier, le même institut de sondage estimait en chute de 5 points le score au premier tour de Stéphane Ravier, le candidat FN à Marseille par rapport à un précédent sondage. Il ne rassemblerait que 17 % des voix. Pire, le 31 janvier, un sondage Ipsos-Steria pour Direct Matin estimait à 10 % au premier tour la liste FN à Nice et à 13 % au second… Dans le même temps, le baromètre Ipsos pour Le Point enregistrait une chute de 4 points de la popularité de Marine Le Pen.

Au Front national, on minimise l'ampleur d'une éventuelle décrue électorale. « Ce genre de tassement est inévitable après une progression importante, cela marque une période de consolidation », note Nicolas Bay, secrétaire général adjoint du Front national.

« PLATEAU » PLUTÔT QUE « DÉCRUE »

Les sondeurs jugent aussi que l'on ne peut pas parler d'une chute du FN et de Marine Le Pen dans les sondages. « Selon nos études, Marine Le Pen reste stable avec 36 % d'opinions favorables », avance Jérôme Fourquet, directeur du département opinions de l'IFOP, qui explique cependant que « l'électorat qui hésitait à voter FN peut être déstabilisé par certaines déclarations de ralliés qui ont claqué la porte, par les informations sur les profils Facebook de certains candidats et par la sortie de Marine Le Pen sur les otages. Cependant, le noyau dur reste important ».

« Sa cote d'avenir est passée de 33 % à 25 %. C'est une grosse différence, mais il faut se souvenir que cette baisse succède à une progression remarquable après la présidentielle. C'est plutôt un plateau qu'une décrue », note pour sa part Edouard Lecerf, directeur général de TNS Sofres.

Lire : Elections européeennes : les listes du FN en tête selon un sondage
http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/01/26/elections-europeeennes-les-listes-du-fn-en-tete-selon-un-sondage_4354623_823448.html

Marine Le Pen sort d'un moment médiatique et politique étrange. Elle n'est plus au centre du jeu et est peu intervenue dans les polémiques qui ont monopolisé l'actualité depuis le début de l'année. Dans le même temps, une partie de l'UMP a poursuivi sa radicalisation sur certains débats de société, qu'il s'agisse de l'avortement ou de la dite « théorie du genre », menant une guérilla sans relâche contre le gouvernement et occupant le créneau de l'opposant le plus virulent.

« RETROUVER SON CAMP »

M. Lecerf note que c'est justement chez les sympathisants UMP que le décrochage est le plus marqué. « Ce sont eux qui font la différence », assure-t-il. Cela peut s'expliquer par le contexte des élections municipales. « C'est le moment où l'on doit choisir. Il y a peut-être un réflexe de vote utilitariste où l'on retrouve son camp », juge M. Lecerf. Un vote utile antigauche, donc, qui pourrait avoir son importance dans les grandes villes.

Pour l'instant, le FN se dit serein. « Nous sommes à 18 % d'intentions de vote en moyenne nationale. En revanche, il y a de fortes disparités entre les communes. Tout dépend de la situation locale et de la notoriété du candidat », rappelle Nicolas Bay.

Lire : A Perpignan, la campagne « centriste » de Louis Aliot (FN)
http://www.lemonde.fr/municipales/article/2014/01/31/a-perpignan-la-campagne-centriste-de-louis-aliot-fn_4357666_1828682.html

Le FN ne veut pas faire de pronostics sur les villes qu'il gagnera. Ses cibles sont dans le Var, le Vaucluse, les Bouches-du-Rhône ou encore le Gard. Il s'agit, entre autres, de Fréjus, Brignoles, Sorgues, Carpentras, Tarascon, Istres, Vauvert, Saint-Gilles ou Beaucaire. Mais aussi Forbach (Moselle), Perpignan ou Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais).

Le scénario idéal pour le FN serait celui de 1995, quand le parti a ravi Toulon, Marignane et Orange : une ville tenue par le PS où la liste frontiste arrive devant l'UMP avec un score d'environ 30 %. « Dans ce cas, on peut passer en triangulaire avec 35 %, estime M. Bay. Le vote utile contre la gauche peut jouer dans ce sens-là aussi. »

Lire : Le FN révise à la baisse sa présence aux municipales
http://www.lemonde.fr/municipales/article/2014/01/14/le-fn-revise-a-la-baisse-sa-presence-aux-municipales_4347579_1828682.html
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