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 Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos

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Petrus.m

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MessageSujet: Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos   Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos Icon_minitimeLun 20 Jan - 15:00

Le Monde.fr | 20.01.2014 à 11h39 • Mis à jour le 20.01.2014 à 14h28 | Par Alain Faujas
Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos 1596357_3_42b6_pauvrete-famines-maladies-conflits-le_5f7a34f93b08c1c5869111453cc6a67d
Pauvreté, famines, maladies, conflits... Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon a estimé que le passage aux sept milliards d'êtres humains sur la planète n'était pas à prendre à la légère.

Les très riches et les très puissants participants du Forum économique mondial de Davos (Suisse) devraient pour la première fois se pencher, du mercredi 22 au samedi 25 janvier, sur les dangers que représentent l'aggravation des inégalités pour la stabilité mondiale.

Après avoir longtemps cru dur comme fer que les inégalités de revenus étaient nécessaires pour récompenser le talent et inciter à l'innovation, le Forum commence à écouter les économistes qui alertaient sur la dangerosité du fossé en train de s'élargir entre les riches et les pauvres, à l'instar de Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie en 2001, ou François Bourguignon, ancien chef économiste de la Banque mondiale (2003-2007).

L'ALERTE DU FMI

Dans son « Agenda mondial 2014 » publié en novembre 2013, le Forum avait classé la disparité grandissante des revenus au deuxième rang des risques les plus graves pour la stabilité sociale et pour la sécurité de la planète.

Interrogée dans le numéro du lundi 20 janvier du Financial Times, Christine Lagarde, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), invite les « maîtres du monde » réunis à Davos à s'inquiéter que,  « dans de trop nombreux pays, les bénéfices de la croissance ont profité à trop peu de gens, ce qui n'est pas la bonne recette pour la stabilité et la durabilité » de la croissance mondiale.

L'ONG Oxfam profite de cette prise de conscience pour rendre public, lundi 20 janvier, un rapport intitulé En finir avec les inégalités extrêmes qui fournira matière à réflexion aux congressistes de Davos.

Selon ce document, le degré d'inégalité économique a dépassé ce qui était « nécessaire pour le progrès et la croissance ». La concentration extrême des richesses « menace de priver des centaines de millions de personnes des fruits de leur talent et de leur travail ».

UNE MENACE POUR LA DÉMOCRATIE

La fortune du 1 % de l'humanité le plus riche s'élève à 110 000 milliards de dollars (81 126 milliards d'euros), c'est-à-dire autant que celle possédée par les 99 % restants. Ou encore 1 % des Américains les plus fortunés se sont approprié 95 % de la croissance postérieure à la crise financière depuis 2009 et les 90% les moins riches se sont appauvris. Sept personnes sur dix vivent dans un pays où l'inégalité économique a augmenté au cours des trente dernières années.

Oxfam affirme que ces évolutions sont « moralement contestables » et qu'elles permettent aux plus riches de « biaiser les règles en leur faveur », ce qui ébranle la cohésion sociale et les fondements de la démocratie.

L'ONG appelle les participants au Forum économique de Davois à s'engager notamment « à ne pas contourner la fiscalité (..) en tirant parti des paradis fiscaux », « à encourager les Etats à (..) financer une couverture universelle en matière de soins de santé, d'éducation et de protection sociale » ou encore « à défendre un salaire minimum vital dans toutes les sociétés qu'ils contrôlent ».
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Petrus.m

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MessageSujet: Re: Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos   Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos Icon_minitimeLun 20 Jan - 15:01

Selon le World Economic Forum, les inégalités menacent la stabilité mondiale

Le Monde.fr | 16.01.2014 à 12h08 • Mis à jour le 16.01.2014 à 12h42 | Par Alain Faujas
Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos 1147501_5_4861_le-fondateur-de-davos-klaus-schwab_faa496c99c681e3e4e87f9a750f29246
Le fondateur de Davos, Klaus Schwab.

L' aggravation des inégalités est le principal risque que court le monde, selon le rapport présenté jeudi 16 janvier à Londres par le Forum économique mondial (WEF) qui organise du 22 au 25 janvier le célèbre Forum de Davos

« Le fossé persistant entre les revenus des citoyens les plus riches et ceux des plus pauvres est considéré comme le risque susceptible de provoquer les dégâts les plus graves dans le monde au cours de la prochaine décennie », indique le rapport annuel du Forum sur les risques mondiaux.

Selon cette enquête, à laquelle ont participé plus de 700 experts mondiaux, les événements météorologiques extrêmes, le chômage, le changement climatique et les cyberattaques viennent ensuite dans la hiérarchie des risques les plus à même « de provoquer un choc systémique à l'échelle mondiale ».

L'AFFAIRE SNOWDEN PÈSE LOURD

Le rapport cite aussi les crises budgétaires, une éventuelle crise de l'eau parmi les risques les plus préoccupants, ainsi que la menace croissante de « cybergeddon » (défaillance massive des systèmes informatiques), car la « dépendance croissance » à l'égard d'Internet  rende le risque de défaillance systémique plus important que jamais, avertit le Forum.

D'autant qu'après les « récentes révélations concernant la surveillance des gouvernements » par l'ancien consultant informatique Edward Snowden, « la communauté internationale se montre moins désireuse de travailler conjointement à l'établissement de modèles de gouvernance pour remédier à cette faiblesse ».

« Nos vies changent à un rythme sans précédent. Les transformations à l'oeuvre dans l'économie, l'environnement, la géopolitique, la société et la technologie offrent des opportunités sans pareil, mais les interconnections entre elles entraînent également une augmentation des risques systémiques », estime Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, cité dans le rapport.

   Alain Faujas
   Journaliste au Monde
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MessageSujet: Re: Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos   Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos Icon_minitimeLun 20 Jan - 15:04

Joseph Stiglitz : « Toute la richesse depuis vingt ans a été captée par le sommet »

LE MONDE ECONOMIE | 17.09.2012 à 11h50 • Mis à jour le 20.01.2014 à 12h13 | Par Philippe Escande, Antoine Reverchon et Adrien de Tricornot
Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos 1105692_3_eaac_pour-le-prix-nobel-d-economie-le-president_c306b6b6e84fbcd2eeac1302f4923cb1
Pour le Prix Nobel d'économie, le président démocrate n'a pas pris la mesure de la captation des revenus par les plus riches, devenue un facteur d'inefficacité économique.

Joseph Stiglitz publie en France Le Prix de l'inégalité (Les Liens qui libèrent), trois mois après l'édition américaine, qui figure parmi les meilleures ventes outre-Atlantique.

Joseph Stiglitz, quel jugement portez-vous sur le bilan économique du président Barack Obama ?

En 2008, nous étions en chute libre. Avec la politique d'Obama, la Grande Dépression a été arrêtée et le système bancaire n'a pas explosé. Donc, nous sommes dans une situation meilleure qu'il y a quatre ans... et que si le président George W. Bush avait été réélu. Le plan de relance de Barack Obama a été beaucoup plus fort que celui de M. Bush. Néanmoins, ce plan a été d'une taille et d'une durée insuffisante, et pas totalement bien ciblé.

Les responsables économiques qui entourent le président, comme Tim Geithner [secrétaire d'Etat au Trésor] ou Larry Summers [alors chef des conseillers économiques de la Maison Blanche], ont sous-estimé l'ampleur du retournement économique. Leur hypothèse était que le taux de chômage atteindrait 10 % sans relance, et que celle-ci le réduirait à 7,5 %.

Or le taux de chômage officiel a culminé à 10 %. Les critiques en ont déduit que le stimulus ne marchait pas. En réalité, sans la relance Obama, nous aurions eu jusqu'à 12,5 % ou 13 %.
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De plus, les statistiques officielles ne tiennent pas compte du temps partiel subi, ou de l'inscription d'une part croissante de sans-emploi dans des régimes d'invalidité. Le vrai taux de chômage a probablement culminé à 18 % et se situe sans doute autour de 15 % à 16 % aujourd'hui. La participation au marché du travail est au plus bas depuis trente ans.

Le président américain s'est-il suffisamment attaqué au problème du logement, source de la crise ?

Très peu de mesures ont été prises en faveur des propriétaires : 20 % à 25 % d'entre eux sont toujours "sous l'eau", c'est-à-dire que la valeur de leur logement est inférieure à celle de leur crédit hypothécaire. Les prix ont baissé de 30 %. Quelque 7 millions de personnes ont déjà perdu leur maison, et 3 à 4 millions d'autres vont encore la perdre.

Face à ce désastre économique et social, les programmes d'aide commencent seulement à être efficaces. Il aurait fallu très rapidement présenter un programme de restructuration des dettes et changer la loi sur les faillites personnelles. Cela a été une erreur majeure.

On lui reproche aussi de ne pas avoir restructuré le secteur financier...

Le contribuable a sauvé les banques. En échange, on aurait dû demander à celles-ci d'être responsables économiquement et socialement : de prêter aux petites entreprises, d'arrêter la spéculation, les pratiques de crédit prédatrices, les poursuites contre les propriétaires immobiliers, les abus sur les commissions de cartes de crédit... Cela n'a pas été fait. Enfin, il aurait fallu re-réguler les banques.

Le lobbying des banques a été efficace...

Oui, mais pas seulement. Obama n'a pas été assez offensif, car il voulait avant tout stabiliser le système. Il est, de plus, d'un tempérament fondamentalement conservateur. Ses conseillers ne l'ont pas poussé non plus, car eux-mêmes sont issus de cette communauté bancaire et en partagent l'idéologie.

Par exemple, le comité du Sénat, qui supervise les produits dérivés, souhaitait que les banques garanties par l'Etat fédéral ne puissent pas s'engager dans des opérations de dérivés, ce qui mettrait l'argent des contribuables en jeu. Deux gouverneurs régionaux de la Fed ont approuvé cette proposition, mais le président de la Fed, Ben Bernanke, et M. Geithner ont passé outre. Les banques de New York gagnent beaucoup d'argent avec les produits dérivés...

De même, M. Geithner a écrit une lettre à la Banque d'Angleterre en 2008 pour faire part de ses doutes sur le calcul du Libor. Mais rien ne s'est passé. Un marché de 35 000 milliards de dollars (26 720 milliards d'euros) de produits dérivés, basé sur cet indice, a été manipulé et il n'a rien fait, et continue à ne rien faire !...

Le président Obama s'est-il trop concentré sur la réforme de la santé ?

La réforme de la santé est depuis longtemps l'ambition d'un gouvernement démocrate : depuis Johnson ! Les Américains commencent seulement à réaliser combien cet enjeu est important. D'ailleurs, Mitt Romney, qui l'avait rejetée, commence à changer d'avis : il a dit qu'il en conserverait certains aspects s'il était élu. Obama aurait pu mieux expliquer aux Américains les bénéfices de cette réforme. C'est ce qui a commencé à être fait lors de la convention démocrate.

Vous semblez, au final, déçu par le mandat Obama...

Obama va dans la bonne direction, mais pas assez vite. Dans les deux premières années, il aurait pu faire davantage, avec une majorité au Congrès. Et même après, il aurait pu peser en s'appuyant sur l'affirmation de ses valeurs. Mais il faut regarder l'alternative... ! (rire).

Mon espoir et mon but sont qu'Obama adopte les idées de mon livre... et il en a déjà adopté certaines. La convention démocrate a, par exemple, débattu du système des prêts étudiants. Il faut savoir à quel point il est mauvais : des taux d'intérêt élevés, l'impossibilité d'en être déchargé, même en cas de faillite personnelle. Cette disposition a été adoptée par les républicains. Il faut changer la législation pour que les banques arrêtent d'exploiter les étudiants, d'autant qu'étudier coûte de plus en plus cher.

Une autre idée a été reprise : taxer les gains sur le capital autant que sur le travail. Aujourd'hui, c'est moitié moins. Cela encourage la spéculation. On peut prendre des mesures spécifiques pour les gens qui créent leur entreprise, mais il ne faut plus encourager ceux qui spéculent sur l'immobilier ou les emprunts grecs...

Votre livre explique comment la richesse "ruisselle" des pauvres et de la classe moyenne vers les 1 % les plus riches. Comment accueillez-vous sa reprise dans l'opinion américaine sous la forme du slogan "Nous sommes les 99 %" ?

Je suis fier de cristalliser la discussion car certaines parties de notre système ne marchent pas. Tout le monde ne l'a pas encore réalisé : notre pays a glissé au dernier rang des pays développés lorsqu'on regarde l'étendue des inégalités, et la mobilité sociale est faible comparativement à beaucoup de pays européens.

Or, cela est totalement le contraire de l'image que nous avons de nous-mêmes et de ce que les gens pensent de nous ! Toute la richesse depuis vingt ans a été captée par le sommet. Et depuis que la crise a éclaté, ce sont les Américains moyens et pauvres qui en souffrent, pas le sommet.

Jusqu'au mouvement Occupy Wall Street, ce phénomène n'a pas été dénoncé, alors que des débats sur le nouveau visage du capitalisme ont lieu, surtout en Europe. Les choses commencent à changer, mais la façon dont notre société s'est divisée est un danger pour l'avenir. Avec autant d'inégalités, il devient très difficile d'obtenir un consensus sur la politique à mener.

Parcours

2012 Joseph Stiglitz, professeur d'économie à l'université Columbia, publie Le Prix de l'inégalité (Les Liens qui libèrent). 2001 Prix Nobel d'économie.

1997-2000 Chef économiste de la Banque mondiale.

1995-1997 Chef

des conseillers économiques

du président Bill Clinton.
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MessageSujet: Montée des inégalités ?   Les dangers de la montée des inégalités au menu du Forum de Davos Icon_minitimeJeu 23 Jan - 17:58

Absolument, il y a bien une montée des inégalités en Occident. Si la globalisation des échanges permet une multiplicité des produits offerts sur le marché, elle a aussi cette fâcheuse tendance à vouloir aligner les salaires par le bas à l' échelle mondiale. Ils nous tannent avec le coût des acquis sociaux en France et avec la politique sociale en Europe nous targuant de la légitimité à appliquer l' austérité pendant qu' ils font marcher la planche à billets de la BCE pour renflouer les banques sur le dos de nos impôts ou en leur vendant de la monnaie fraîche à 0,25 % aux banques privées qui la revendent à leur tour à 3% voire 15 ou 20 % selon la tête du client (Grèce par exemple).

L' Occident a perdu toute souveraineté monétaire puisqu' il loue sa monnaie à taux d' intérêt, ce qui a pour induire d' écraser toujours plus les états d' une charge de la dette de moins en moins supportable. 61,5 % de la dette française appartient à l' étranger (Arabie Saoudite, Japon, Russie, Chine, Usa...) bref, tous les fous qui pensent qu' on pourra faire défaut sur totalité ou partie de la dette n' imaginent pas les mesures de rétorsion envisageables contre la France qui déciderait un jour de voler ses créanciers. A moins peut-être de la renégocier au niveau européen sinon à mutualiser les dettes européennes !

Je suis convaincu qu' en fait ils veulent tout racheter et mettre le monde en servage. Dans un futur assez proche, le monde appartiendra à quelques dizaines de personnes qui feront la pluie et le beau temps sur la planète, les riches vivront dans des oasis closes, hi-tech et hyperprotégées, et les gueux n' auront rien (ni de quoi bouffer et de se chauffer, ni de quoi rembourser ses frais médicaux ni de quoi subvenir à sa retraite)... Les états seront bientôt ruinés et des villes tomberont sous la loi de mafias organisées où règneront le meurtre et la corruption.

C' est ça que nous promet le capitalisme. Encore une fois le clientèlisme, des injustices indignes dans le plus grand des mépris de la condition humaine minimale dont l' esclavage fera loi.

Quoiqu' on en pense, il est clair que la chute de l' URSS a démultiplié le dévoiement du libéralisme où seuls les plus puissants font la loi. Il est clair que même si le fascisme et le libéralisme sont incompatibles que les 2 ont une haine vicérale envers le socialo-communisme et qu' ils préfèrent s' allier contre leur pire ennemi.

70% des électeurs FN ont voté Sarkozy au 2ème tour de 2012, ils ont été une grande majorité à voter encore Sarkozy en 2007 cette fois, à tel point qu' on disait le FN fini et ruiné...

Durant les 30 glorieuses, le public et le privé cohabitaient, la société tournait bien, il n' y avait pas de chômage (pas d' immigration non plus permettant la déflation salariale) et il n' y avait pas de FN non plus.

Aujourd' hui, la société française est divisée derrière un pays où elle ne se reconnait plus où tout le monde s' accuse de tous les maux, idem dans toute l' Europe. Les libéraux cotés en bourse profitent de la chute des frontières pour délocaliser capitaux et entreprises (600 milliards d' euros français sortis du territoire ces 10 dernières années dont 80 milliards en 2012) ce qui représente autant de manque à gagner pour le fisc français.

La trahison est multiple, elle est sociale, politique et économique. Les politiques qui nous gouvernent depuis Pompidou à maintenant ont tout fait pour détruire la France et son peuple. De Gaulle doit se retourner dans sa tombe...

Moi, je pense qu' il faut un socialisme qui pratique la souveraineté monétaire, le protectionnisme industriel, et la laicité ferme envers tous les communautarismes, le tout à l' échelle européenne. A défaut, à l' échelle française.

Le FN et assimilés sont des menteurs, des falsificateurs, de dangereux mouvements à qui il ne faut absolument pas laisser le pouvoir sous peine de nous ramener aux années 30. Ca paraît évident mais 6,5 millions de français ont pourtant voté FN en 2012... Aberrant et pourtant... Le nationalisme, l' immigration et le capitalisme sont devenus des thématiques monopolisées par le FN à tort puisqu' elles étaient autrefois soviétiques. Le PCF faisant je le rappelle, allégeance à Moscou, à l' époque.

Au lieu de prôner la réconciliation nationale et de concerner les français au-travers d' un programme responsable en France, l' UMPS fait du pied aux frontistes. Est il nécessaire de le rappeler par des citations ou des guerres arbitraires ?

Il est temps que ça cesse ! Non à cette droite conservatrice et bourgeoise UMPSFN ! Non à ce FDG de BOBOs de salons parisiens déconnecté de la base !
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