Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
Sujet: Débat télévisuel Fillon - Aubry sur F2 Jeu 2 Fév - 23:00
WEB - GOOGLE - Actualité > Présidentielle 2012
EN DIRECT. Aubry à Fillon : «Vous parlez trop et je ne peux pas montrer mon caractère»
Publié le 02.02.2012, 08h07 | Mise à jour : 23h14
Temps fort de l'émission «Des paroles et des actes», la face à face entre martine Aubry et François Fillon.
Quatre jours après l'intervention télévisée de Nicolas Sarkozy, François Filllon est monté au créneau pour défendre le bilan du président sortant, ce jeudi soir sur France 2. Invité de l'émission «des Paroles et des Actes», le Premier ministre a été confronté à Martine Aubry, Première secrétaire du PS. A moins de trois mois de la présidentielle, alors que le président sortant ne s'est pas déclaré officiellement dans la course à l'Elysée, le candidat socialiste est le grand favori des sondages.
Déclarations et réactions politiques : le film de la journée de jeudi
22h35. Aubry : «M. le Premier ministre, vous vous parlez trop et je ne peux pas montrer mon caractère». à Fillon vient de l'interrompre en glissant : «Je connais votre caractère.»
22h30. Dan sun duel très technique, Aubry et Fillon s'écharpent sur la TVA sociale et le coût du travail.
22h27. TVA. Aubry : «Cette TVA Sarkozy (NDLR : hausse annoncée dimanche par le président de la république) va conduire à une augmentation de l'inflation».
22h22. François Fillon défend la politique fiscale du gouvernement et l'allègement de l'ISF
22h17. La Première secrétaire du PS attaque le Premier ministre sur les cadeaux «faits aux riches».
22h12. Fillon à Aubry : «Je suis blessé quand je vous entends» reprocher au gouvernement «d'avoir favorisé les plus riches». Réponse d'Aubry :«Vous n'avez pas à être blessé.»
22h05. Martine Aubry, première secrétaire du PS arrive sur le plateau.
21h42. Contre. Il se déclare contre le mariage entre personnes de même sexe. «En revanche, je suis favorable à ce qu'on aille plus loin dans ce qui est le Pacs avec notamment une cérémonie en mairie.»
21h40 . Bluff. Interrogé sur les difficultés de la candidate du Front national à la présidentielle à obtenir les précieuses 500 signatures, François Fillon déclare : «C'est du bluff. Il faut se mettre à la place des maires [...]. C'est pas facile de donner leur parrainage. C'est quand même un drôle de progrès de la démocratie de rendre anonyme les parrainages. C'est un recul. C'est contraire à la transparence. Elle (NDLR : Marine Le Pen) devrait se poser la question de savoir pourquoi c'est si difficile pour elle d'obtenir les signatures.»
21h31. Tordre le cou. François Fillon sur France 2 est interrogé sur la politique fiscale menée par le gouvernement depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy à l'Elysée en 2007. Il espère avoir «l'occasion de faire un sort à cette idée selon laquelle (son) gouvernement a avantagé les plus riches».
21h22. Retraite. «En Allemagne, il n'y a pas eu une seule manifestation, pour la réforme de leurs retraites», assure François Fillon sur France 2.
21h17. Modèle allemand. «Il n'y a pas un modèle allemand mais une réussite», relativise le Premier ministre sur France 2. Lors de son intervention télévisée dimanche, Nicolas Sarkozy avait cité à de nombreuses reprises la politique menée outre-Rhin.
21h06. Choqué. «Il y a cette idée que la majorité que j'anime ne serait pas légitime. Cela me choque», déclare François Fillon à propos de l'attitude de l'opposition dans le débat politique.
20h56. Regret. Interrogé sur France 2 sur son plus gros regret, François Fillon se confesse : «Sur la baisse du coût du travail. On a trop hésité en 2007. C'est un regret.»
20h55. Fier. François Fillon confie la réforme dont il sera le plus fier lors de son quinquennat à Matignon. «Il s'agit d'avoir achevé la réforme du dialogue sociale. C'est sans doute celle qui aura attiré le moins l'attention du public.»
20h49. Fillon règle ses comptes. Le premier ministre réagit vivement à une information du Canard Enchaîné qui relate un coup de déprime de l'hôte de Matignon. «Depuis cinq ans, presque chaque semaine dans le Canard Enchaîné il y a des propos qui me sont prêtés que je n'ai jamais tenus, rétorque Fillon. «Je ne sais pas comment fonctionne ce journal, qui lui diffuse ces informations mais c'est assez régulier», a-t-il regretté. «Soit ce sont des propos pour essayer de me fâcher avec le président de la République, soit ce sont des propos pour essayer de semer la zizanie à l'intérieur du gouvernement mais je vous assure que je n'ai jamais dit cela et que je ne le pense pas du tout», a assuré M. Fillon.
20h45. 12 ministres sur le plateau. «Soyez le bienvenue». David Pujadas accueille le Premier ministre François Fillon sur le plateau de France 2 «des Paroles et des Actes». «On est pas très loin du record, vous avez tenu cinq ans à Matignon». 12 ministres sont présents sur le plateau, précise Pujadas, parmi lesquels Valérie Pécresse, Nadine Morano, François Baroin, Roselyne Bachelot, Patrick Ollier.
20h38. Fillon se prépare. France 2 diffuse à la fin du JT de 20 heures, une image de François Fillon dans les couloirs de France 2. Le face à face se précise.
19h30. Cote de confiance : Sarkozy perd 2 points, Fillon chute de 6. Selon le baromètre CSA-Les Echos publié jeudi, Nicolas Sarkozy suscite la confiance de 35% des personnes interrogées «pour affronter efficacement les principaux problèmes». Elles étaient 37% il y a un mois. 63% ne lui font pas confiance (+2 sur un mois). 2% ne se prononcent pas. Le Premier ministre, François Fillon, perd six points de confiance à 35% et gagne 7 points de défiance (61%). 4% ne se prononcent pas. C'est sa plus basse cote de confiance depuis mai 2007 (35%), relève CSA. François Bayrou conserve la tête du classement des personnalités politiques, avec 50% d'image positive (-1 point). François Hollande (-2 points) et Alain Juppé (+1) sont ex-aequo derrière lui avec 46% d'image positive. Parmi les candidats à la présidentielle, Dominique de Villepin (31%) cède 5 points, Jean-Luc Mélenchon (29%) en gagne 2, Marine Le Pen (25%) est stable, Eva Joly (23%) perd un point, Hervé Morin (15%) 4 points. (Baromètre réalisé par téléphone les 31 janvier et 1er février auprès d'un échantillon national représentatif de 1 008 personnes de 18 ans et plus, méthode des quotas).
19h20. Montebourg : «Bien sûr que Nicolas Sarkozy peut gagner». Invité d'Europe 1, Arnaud Montebourg met en garde le PS alors que François Hollande fait figure de grand favori dans les sondages à 80 jours du premier tour de la présidentielle. «Bien sûr qu’il peut gagner», lance-t-il à propos de Nicolas Sarkozy, qui ne s'est toujours pas déclaré candidat. «Et notre rôle est de montrer que nous avons un autre projet, un autre chemin et rappeler à la responsabilité d’un bilan désastreux.» Au passage, il attaque le président sortant : «Son attitude est devenue très arrogante», affirme-t-il, alors que l'arrogance a été l'angle d'attaque privilégié de l'UMP contre François Hollande depuis le meeting du Bourget.
18 heures. Sondage : Le Pen devant Sarkozy dans les intentions de vote des actifs. Selon un sondage Ifop pour «L'Humanité» à paraître vendredi, François Hollande est tête des intentions de vote (27%) des actifs pour le premier tour de la présidentielle. Marine Le Pen arrive en deuxième position (24%), devant Nicolas Sarkozy (18%), François Bayrou (13%) et Jean-Luc Mélenchon (8%). En ce qui concerne les actifs proches d'un syndicat, la présidente du FN est également deuxième (19%) derrière le candidat socialiste (33%). Ils sont suivis par Jean-Luc Mélenchon (14%) et François Bayrou (13%), Nicolas Sarkozy (12%) venant en 5e position. Les autres candidats recueillent moins de 5% des voix. Auprès des actifs proches d'aucun syndicat, Le Pen se classe première, avec 28% des intentions de vote. Hollande (24%) devance de deux points Sarkozy (22%). Vient ensuite Bayrou (14%) tandis que Mélenchon ne recueille que 4% des intentions de vote.
Selon cette enquête rendue publique jeudi et réalisée du 10 au 27 janvier auprès d'un échantillon de 4 859 personnes selon la méthode des quotas , François Hollande obtient 28% des intentions de vote pour l'ensemble des Français, Nicolas Sarkozy 22%, Marine Le Pen 20,5%, François Bayrou 13,5%, et Jean-Luc Mélenchon 8%.
17h30. Bertrand ironise sur les propositions de Hollande en matière de santé. Le ministre de la Santé s'étonne que François Hollande «reprenne des bonnes idées du gouvernement» dans ses propositions sur la santé. «Qu'il y ait des reprises ne me dérange pas», déclare Xavier Bertrand interrogé par l'AFP. «Mais comment se fait-il qu'il reprenne des bonnes idées du gouvernement alors qu'il a voté contre, je pense notamment aux maisons de santé pluridisciplinaires, à toutes les mesures pour l'installation des jeunes médecins.» «Est-ce qu'il a voté contre par posture ou par absence de convictions ?» raille Xavier Bertrand.
17 heures. Sarkozy recevra vendredi des salariées de Lejaby et leur repreneur. Dans un communiqué, l'Elysée annonce que Nicolas Sarkozy recevra vendredi à 17 heures une délégation de salariées de l'usine Lejaby d'Yssingeaux (Haute-Loire) ainsi que Vincent Raberin, PDG de Sofama, sous-traitant de Vuitton qui propose de reprendre le site. Le chef de l'Etat présidera une réunion «consacrée au projet de la société Sofama sur ce site, ainsi qu'aux moyens que les pouvoirs publics pourront mobiliser pour former et accompagner les salariés concernés pendant cette phase de transition», écrit la présidence dans un communiqué.
16 heures. Les candidats veulent séduire les entrepreneurs. Un bon nombre d'entre eux défilent ce jeudi au Salon des entrepreneurs à Paris, exposant leurs propositions en faveur des petites et moyennes entreprises, de la relance des exportations ou de la réindustrialisation. Après Nicolas Sarkozy mercredi et Dominique de Villepin ce jeudi matin, c'est au tour de François Bayrou. Le candidat du MoDem revient sur les mesures de son programme économique. Quant à François Hollande, il est représenté par le président de l'Association des Régions de France (ARF), Alain Rousset.
15h20. Interrogé sur sa sécurité, Hollande réagit sur Twitter. «Nombreux sont aujourd'hui les journalistes qui me questionnent sur ma securite», écrit le candidat socialiste sur son compte Twitter, qui poursuit : «Je tiens à vous dire que je ne changerai pas la maniere avec laquelle je veux dialoguer avec les Français. Je souhaite garder ma liberté.» Toutefois, le dispositif de protection de François Hollande a été renforcé ce jeudi, passant de deux policiers à quatorze, dont deux capitaines, sous l'autorité d'une commandante. Mais cette consolidation avait été décidée dès fin décembre, avant l'incident survenu mercredi au Palais des Expositions de la Porte de Versailles à Paris. C'est Daniel Vaillant, ancien ministre de l'Intérieur, qui avait négocié ce renforcement de sécurité avec la place Beauvau.
13h20. Parrainages : les Sages se prononceront avant le 22 février. Le Conseil constitutionnel annonce qu'il statuera sur la requête du Front national concernant les parrainages présidentiels avant le 22 février, date du Conseil des ministres devant examiner le décret de convocation des électeurs. Le Conseil disposait en principe d'un délai de trois mois pour trancher la Question prioritaire de constitutionnalité (QPC) déposée par Marine Le Pen, qui conteste l'obligation de rendre publics les 500 parrainages d'élus nécessaires pour briguer l'Elysée.
13 heures. Sarkozy justifie ses mesures pour faire baisser les prix du logement. Dans l'Essonne, le président de la République est revenu les mesures annoncées dimanche soir pour doper la construction de logements et en faire baisser les prix. «Mon objectif est très clair, que les Français puissent se loger pour moins cher, puissent acheter leur logement pour moins cher, en augmentant l'offre de logements pour qu'il y ait davantage de choix et que ce choix corresponde au pouvoir d'achat des classes moyennes», a plaidé Nicolas Sarkozy lors d'un discours prononcé à Longjumeau après une visite de chantier à Mennecy. Le président a indiqué qu'il souhaitait engager «une modification en profondeur de notre droit de l'urbanisme» et entamer «le grand chantier de la réforme de la fiscalité sur l'immobilier», dénonçant notamment des droits de mutation trop élevés.
12h15. François Hollande souhaite mettre en place un «plan d'urgence» pour l'installation des jeunes médecins. Le candidat socialiste assure qu'il va fixer «des priorités de santé publique» pour répondre au problème des déserts médicaux. «Je mettrai en oeuvre un plan d'urgence pour l'installation des jeunes médecins qui, bien au-delà des incitations financières, visera à les aider dans la construction des projets médicaux, à les accompagner dans les démarches administratives et à contractualiser les carrières et les parcours professionnels», a-t-il déclaré dans une interview au bimensuel Espace social européen.
12 heures. François Hollande ne portera pas plainte contre la femme qui lui a renversé un sac de farine sur la tête, selon BFM-TV.
11h30. Sécurité renforcée autour de François Hollande. L'équipe du candidat socialiste passe de 2 à 14 policiers dirigés par une commandante. Conséquence immédiate de l'enfarinage dont François Hollande a été victime hier ? Confirmant des informations du Monde.fr, le préfet Nacer Meddah, secrétaire général de la campagne du socialiste, précise à l'AFP qu'il avait été décidé dès la fin décembre de compléter le dispositif avec 14 experts, dont deux capitaines, sous l'autorité d'une commandante. Par un télescopage de calendrier, ceux-ci ne devaient prendre leur service qu'à partir du jeudi 2 février. Ce mercredi, ils étaient venus au QG parisien pour se faire connaître et rencontrer l'équipe, une «visite de courtoisie», a dit Nacer Meddah. C'est Daniel Vaillant, ancien ministre de l'Intérieur, et proche du candidat qui a négocié ce renforcement avec la place Beauvau, a précisé le préfet. La femme à l'origine de l'incident a été admise en psychiatrie.
11heures. Sarkozy candidat ? Ça dépend des caméras. Nathalie Schuck, chargée du suivi de l'Elysée pour le «Parisien» - «Aujourd'hui en France», rapporte sur Twitter les propos de Nicolas Sarkozy lors de son déplacement dans l'Essonne. Alors qu'un ouvrier demande au chef de l'Etat : «Candidat, pas candidat ?», ce dernier répond : «Caméra ou pas ?» Voyant une caméra de TV, Sarkozy élude : Pas de réponse. Bon on se comprend hein ! » Dans un autre registre, à un autre ouvrier qui lui propose de marier son nouveau-né a Giulia, «le président éclate de rire : «C'est une demande en bonne et due forme ?»
10 heures. Nathalie Arthaud (LO) : il ne serait «pas normal» que le FN ne soit pas en course. Selon la candidate de Lutte ouvrière, le système de parrainages n'est «pas démocratique, c'est un véritable obstacle». «Je pense quand même que si, moi, je parviens à réunir ces 500 signatures et pas Marine Le Pen, c'est qu'il y a un problème du côté de ses idées, de tous les préjugés qu'elle véhicule et qui ne passent pas. Maintenant, je ne trouverais pas normal que le courant de Marine Le Pen ne puisse pas être représentée, c'est sûr», assure-t-elle sur LCI.
9h30. Eric Besson (UMP) : «Je ne pense qu’on puisse gagner en 2012 une élection présidentielle, sans dire très clairement ce que l’on fera sur un certain nombre de sujets clés». C'est l'analyse du ministre de l'Industrie, interrogé ce matin sur France Info.
9h10. Marine Le Pen (FN) : «Il me manque encore 150 signatures». Invitée sur RTL, la candidate frontiste confie au micro de Jean-Michel Apathie, qu'il lui manquait autant de sésames sur les 500 nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle. Interrogée sur sa baisse dans les dernières études, Marine Le Pen répond que « les sondages devaient se regarder sur une dynamique, un temps assez long » « Donnez moi une émission d'une heure et demi sur neuf chaînes de télévision retransmise en direct et je vais largement récupéré le demi-point que j'ai perdu»
9 heures. Claude Bartolone (PS) : « Le comportement personnel de Nicolas Sarkozy va lui coûter cher ». Le député socialiste de Seine-saint-Denis réagit aux dernières confidences de Nicolas Sarkozy, mercredi soir à lors d'une réunion à l'Elysée. Le chef de l'Etat aurait lâché : «Hollande a tiré toutes ses cartouches. Qu'est-ce qu'il lui reste ?» Et, «il se prend même de la farine sur la tête», en faisant référence à son enfarinage hier après-midi. «Ce qui va lui coûter cher, ce n'est pas simplement sa politique économique et sociale, c'est son comportement personnel», assure l'ancien ministre délégué à la ville. «J'ai lu dans la presse ce matin qu'il a fait des déclarations sur Hollande sur le thème il a mis toutes ses cartes sur la table et en plus il reçoit de la farine. Vous voyez, c'est ce genre de comportement qui a dégradé la fonction présidentielle et qui va lui coûter très cher au moment de la présidentielle».
8h42. Laurent Wauquiez (UMP) : «François Bayrou appartient à notre famille politique». Son programme «est complètement incompatible avec celui de François Hollande», enchaîne-t-il. Il assure que les propositions du socialiste «repose sur 44 milliards d'impôts en plus». Et fait un appel du pied à François Bayrou, après que le centriste ait présenté son programme économique hier.
8h30. Laurent Wauquiez (UMP) : «Rien n'aurait été possible sans l'engagement Nicolas Sarkozy, son rôle a été déterminant» dans le dossier Lejaby. Le ministre de l'enseignement supérieur se réjouit que le gouvernement soit arrivé «à sauver un dossier comme çà qui était un symbole de délocalisation». «C'est la responsabilité des politiques de sauver une centaine de familles»
8h20. Bernard Accoyer (UMP) : «Le moral est bon chez les députés». «A l'assemblée, ils sont mobilisés», assure le président de l'assemblée nationale au micro de Patrick Cohen sur France Inter.
7h55. NKM sur le logement : «Il faut débloquer le foncier». Dans la matinée, la secrétaire d'Etat chargée de l'écologie recevra le Président de la République chez elle, dans l'Essonne, sur le thème du logement. Au lendemain des assises du mal-logement de la fondation Abbé Pierre, Nicolas Sarkozy pourrait annoncer ou préciser ses propositions en la matière. Interrogée par Pascale Clark sur France Inter sur l'éventualité d'être la porte-parole de Nicolas Sarkozy dans une future campagne, la maire de Longjumeau répond : «C'est le candidat qui n'est pas encore le candidat qui devra faire le choix »
7h50. Henri Guaino (UMP): «Il va être difficile à François Hollande de tenir toute la distance». La plume de Nicolas Sarkozy s'en prend à François Hollande au micro de Christophe Barbier sur I-télé.«Il va être difficile à François Hollande de tenir toute la distance avec son programme, n'est pas à la hauteur des circonstances. Que va-t-il dire dans les mois qui viennent ? »
7h44. Jean-Vincent Placé (EELV) : «Je n'ai pas de problème avec Eva Joly. Je la défends depuis le début». Le sénateur de l'Essonne revient sur la candidature d'Eva Joly, qui ne décolle toujours pas dans les sondages. «Quand les premiers syndicalistes à la fin du 19e siècle ont commencé à dire qu'il fallait que les enfants travaillent moins, qu'on s'occupe davantage des salaires, qu'on arrête de travailler le dimanche, ça n'était pas très populaire, rappelle-t-il. Si on avait fait un sondage à cette période là, je ne suis pas sûr que ça aurait fait plus de 3%. Ce que je sais, c'est que nos idées sont pertinentes et justes». Malgré les températures glaciales qui sont tombés sur la France, Jean-Vincent Placé, le sénateur de EELV l'assure. Sans nucléaire ? «C'est possible» .
Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
Sujet: Débat sur F2 : Martine Aubry jugée plus convaincante que François Fillon Ven 3 Fév - 6:08
WEB - GOOGLE - Actualité > Présidentielle 2012
Aubry ou Fillon : lequel vous a le plus convaincu ?
Martine Aubry : 56.7 %
François Fillon : 43.3 %
Publié le 02.02.2012, 21h17
Fiscalité, coût du travail, crise économique, le duel télévisé qui a opposé Martine Aubry à François Fillon restera dans les mémoires comme très technique.
Invité de l'émission «Des paroles et des actes» sur France 2, le Premier ministre, en passe de battre des records de longévité à Matignon, a admis que son gouvernement n'avait «pas tout réussi» et que des «espérances» avaient été «déçues» depuis 2007.
Mais il a défendu pied à pied le bilan d'un quinquennat marqué depuis 2008 par la crise économique, vantant le «courage d'affronter les situations telles qu'elles étaient», à quelques jours de la présentation au Conseil des ministres de nouvelles réformes comme la hausse de la TVA.
Chargée d'apporter la contradiction dans la deuxième heure de l'émission, Martine Aubry, qui pourrait lui succéder à Matignon en cas de victoire de François Hollande à la présidentielle, ne s'est pas cantonée aux questions économiques et budgétaires. La première secrétaire du PS a choisi de l'attaquer sur les discours de Dakar (2007) et de Grenoble (2010) de Nicolas Sarkozy, regrettant qu'«on ne l'ait pas entendu à ce moment-là». «J'étais d'accord avec le discours de Dakar», a rétorqué M. Fillon, pour qui ce discours a été «caricaturé».