Pantin : le deuxième forcené s'est donné la mort

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Pantin : le deuxième forcené s'est donné la mort

Publié le 18.01.2012, 11h36


PANTIN, MERCREDI MATIN. L'un des deux forcenés qui s'étaient retranchés dans un pavillon à Pantin (Seine-Saint-Denis) était toujours enfermé dans la maison, mercredi midi.

L'un des deux forcenés qui s'étaient retranchés dans un pavillon à Pantin (Seine-Saint-Denis), et qui était toujours à l'intérieur de la maison, mercredi midi, est mort. Selon la préfecture, citée par l'AFP, l'homme se serait suicidé. Dans la matinée, il avait tiré deux coups de feu, et aurait été blessé à la main par un tir de riposte de la police alors que son frère jumeau s'était rendu un peu plus tôt. L'homme a été «retrouvé mort une arme à la main» et «le suicide ne semble pas faire de doute mais seule une autopsie pourra le dire avec plus de précision», a confirmé une source policière.

La BRI (Brigade de recherche et d’intervention) s'était déployée dans la matinée pour tenter de maîtriser les deux hommes, retranchés chez leur mère après avoir tenté de tuer un autre de leurs frères, à Paris. Leur mère, très âgée, a pu sortir de la maison. Vers 6 heures, les jumeaux, âgés de 60 ans, auraient tiré sur la porte de l’appartement de leur frère, rue Catulle-Mendès, dans le XVIIe arrondissement de Paris, sans blesser personne, avant de prendre la fuite en direction de Pantin. Tous deux souffriraient de problèmes psychiatriques. Le maire PS de Pantin, Bertrand Kern s'est rendu sur place.