Un lotissement de Sidi Djillali baptisé au nom du chahid BOUASRIA El Bachir

UN LOTISSEMENT DE SIDI DJILLALI BAPTISÉ AU NOM DU CHAHID BOUASRIA EL BACHIR

02 novembre 2011

Mustapha B.

Le lotissement de sidi Djilali vient d’être baptisé à la faveur du cinquante-septième anniversaire du déclenchement de la révolution, au non de BOUASRIA BACHIR, un CHAHID Tombé à la fleur de l’âge (20 ans) au champ d’honneur, en 1961 à l’issue d’un violent accrochage tenu sur les hauteurs des monts du M’CID, une commune sise à 23 km du SFISEF. Si OKACHA, ainsi appelé par ses compagnons d’armes , s’est distingué d’une fort belle manière en 1958 suite à une opération « chirurgicale » menée, avec art et manière, contre un cantonnement militaire français implanté à SIDI ALI BOUSSIDI. Il réussi alors la gaguère d’emporter savamment des armes, munitions ainsi qu’un lot important d’habillement. Militant dès son jeune âge, OKACHA était selon son entourage le prototype d’un jeune voué corps et âme à la cause algérienne. Très tôt, il s’engagea côte à côte des grands moudjahidines dans la lutte armée. Outre ses actes de bravoures, très admirés, du reste, par ses ainés, BACHIR avait appris le coran à l’âgé de 16 ans. Affable, courtois et intrépide, OKACHA est mort célibataire, lui qui ne cessait de répondre à ses amis à tout bout de champ, quand on lui évoquait le mariage, il répliqua en ses termes on ne peut plus clair : Mon mariage est la cause algérienne.

Repose en paix si Okacha !