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 Législatives : 10 faits marquants du premier tour

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: Législatives : 10 faits marquants du premier tour   Législatives : 10 faits marquants du premier tour Icon_minitimeLun 11 Juin - 7:21

WEB - GOOGLE - ACTUALITÉ Législatives : 10 faits marquants du premier tour F_tetrub Élections

Législatives : 10 faits marquants du premier tour

Mis à jour le 11/06/2012 à 01:13 | publié le 11/06/2012 à 00:50

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Jean-Luc Mélenchon a été sèchement battu à Hénin-Beaumont.

De la claque de Jean-Luc Mélenchon au score de plusieurs personnalités, ce premier tour a réservé des surprises, sur fond d'abstention record.

Le score de la gauche et de la droite s'inverse.

L'ensemble de la gauche (PS, EELV et Front de gauche) totalise 46,77% des voix, contre 34,07% pour la droite (UMP et alliés) et 13,6% pour le Front national, selon des résultats partiels publiés à 23 heures. En 2007, la gauche avait recueilli que 35,5% des voix contre 45,6% à la droite et 4,3% au FN.

Le PS et ses alliés visent la majorité absolue.

Selon des projections réalisées par des instituts de sondage, le PS et ses alliés (PRG et Divers gauche) recueilleraient entre 283 et 329 sièges et peuvent obtenir la majorité absolue (289) dimanche prochain sans même l'appui des écologistes. L'UMP et ses alliés obtiendraient entre 210 et 263 sièges, le Front national de 0 à 3 sièges, comme le MoDem.

Une abstention record.

L'abstention est de 42,77%, contre 39,6% en 2007. C'est le plus faible taux de participation pour un premier tour d'élections législatives. En raison de cette abstention record, le nombre de triangulaires sera beaucoup moins important que prévu, autour d'une quarantaine.

Le succès de Marine Le Pen et des têtes d'affiche du FN.

La présidente du Front national dépasse les 42% dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais, et élimine Jean-Luc Mélenchon du second tour. En tête également, Marion Maréchal-Le Pen (3e circonscription du Vaucluse) et Gilbert Collard (2e du Gard) se situent autour de 34%. À l'échelle nationale, le FN juge avoir réalisé un «très bon score». Le FN sera présent dans 61 circonscriptions au second tour, dont 32 triangulaires.

Le PS propose un «désistement républicain» à l'UMP.

L'UMP et le PS n'adopteront pas la même stratégie dans les triangulaires impliquant le FN. Martine Aubry a appelé au «désistement républicain» entre les deux partis. «Nous allons maintenir nos candidats partout où ce sera possible», ont déclaré Jean-François Copé et François Fillon. Ce qui n'exclut pas les initiatives personnelles. Dans le Gard, Étienne Mourrut «hésite» ainsi à se maintenir face à Gilbert Collard et au PS. Roland Chassain, dans les Bouches-du-Rhône, va «réfléchir» encore une nuit sur un éventuel désistement.

Jean-Luc Mélenchon sèchement battu.

Arrivé troisième dans la circonscription d'Hénin-Beaumont, derrière le Front national et le candidat socialiste, Jean-Luc Mélenchon n'est pas qualifié pour le second tour. «Son échec démontre la déconnexion totale entre lui et l'électorat populaire», a souligné Marine Le Pen. La déroute vaut aussi pour le Front de gauche qui, avec environ 8% des voix, n'est pas assuré de conserver son groupe à l'Assemblée.

Le premier ministre et cinq ministres réélus.

Jean-Marc Ayrault, Laurent Fabius, Victorin Lurel, Delphine Batho, Bernard Cazeneuve et Frédéric Cuvillier ont été élus dès le premier tour. La plupart des ministres-candidats sont en bonne position pour le second tour. Le cas d'Arlette Carlotti, ministre déléguée en charge des personnes handicapées, arrivée juste devant Renaud Muselier dans les Bouches-du-Rhône, paraît être le plus compliqué.

Un duel très difficile pour Ségolène Royal.

Olivier Falorni, candidat socialiste dissident face à Ségolène Royal dans la 1ère circonscription de Charente-Maritime, refuse la main tendue de la représentante du PS et maintient sa candidature au second tour. Les deux socialistes s'affronteront donc dimanche prochain.

Un second tour «ardu» pour Bayrou.

«Les résultats sont difficiles», a commenté François Bayrou, placé en triangulaire dans sa circonscription des Pyrénées-Atlantiques. «Une partie importante de mon électorat n'a pas compris ma décision de voter pour François Hollande», a analysé le député MoDem sortant.

La fortune diverse des anciens ministres.

François Fillon rate de peu l'élection dès le premier tour, avec 48,62% des voix dans la 2e circonscription de Paris. Laurent Wauquiez est en bonne position, tout comme Nathalie Kosciusko-Morizet. Éric Woerth est arrivé en tête, de même que Benoist Apparu, Jean-Louis Borloo ou Xavier Bertrand. L'ancien ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, qui a devancé le DVD Thierry Solère, est en ballottage favorable dans les Hauts-de-Seine. Nadine Morano est elle devancée par un socialiste, tout comme Hervé Novelli. Rama Yade est éliminée.
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Petrus.m

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MessageSujet: Re: Législatives : 10 faits marquants du premier tour   Législatives : 10 faits marquants du premier tour Icon_minitimeLun 11 Juin - 8:53

Législatives : Copé ne veut pas d'un "Front républicain" face au FN

Le Monde.fr | 11.06.2012 à 09h58 • Mis à jour le 11.06.2012 à 09h58

Par Alexandre Lemarié (avec AFP)

Quelle attitude l'UMP va-t-elle adopter face au FN, lorsque le parti d'extrême droite parvient à se maintenir au second tour des élections législatives ? Le parti dirigé par Jean-François Copé devrait préciser sa position ce lundi 11 juin, au lendemain du premier tour qui a donné un avantage certain au PS, même si l'UMP a bien résisté.

De son côté, le PS a tranché : Martine Aubry a appelé dès dimanche soir au "désistement républicain" entre PS et UMP pour "faire barrage au FN".

>> Lire : "La gauche appelle au 'désistement républicain' pour faire barrage au FN"
http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/06/10/pour-la-gauche-les-francais-confirment-leur-soutien-au-changement_1715924_823448.html
L'UMP, qui a enregistré une forte baisse dimanche au premier tour des législatives par rapport à 2007, doit se positionner face au Front national pour le second tour. Avec 13,4 %, le parti d'extrême droite ne s'effondre pas comme en 2007, où il était passé de 10 % à 4,5 % des voix entre présidentielle et législatives.

Le FN réalise son deuxième meilleur résultat à des législatives (14,9 % en 1997). Il est arrivé en tête du premier tour dans cinq cas, et peut espérer une victoire dans quatre circonscriptions. Au premier tour de la présidentielle, Marine Le Pen était sortie en tête dans 23 circonscriptions.

>> Lire : "Le Pen, Collard, Maréchal-Le Pen... Cinq candidats FN en tête au 1er tour"
http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/06/10/le-fn-fait-un-score-satisfaisant-mais-aura-peu-d-elus_1715919_823448.html
32 TRIANGULAIRES AVEC LE FN

Le parti de Marine Le Pen sera présent au second tour dans 61 circonscriptions. Il y aura 32 triangulaires avec des candidats lepénistes et 29 duels, dont 20 face à la gauche. Des candidats FN et la droite parlementaire s'opposeront donc dans 9 duels.

S'agissant des "éventuels duels" entre un candidat de gauche et le FN, le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, a botté en touche dimanche soir, en déclarant : "On en parlera demain."

La position de l'UMP sera en effet débattue lundi après-midi lors d'un bureau politique extraordinaire, précédé d'un déjeuner de M. Copé avec les anciens premiers ministres François Fillon, Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin, le président de l'Assemblée Bernard Accoyer et le patron des députés UMP Christian Jacob.

Très concrètement, un duel va par exemple opposer le 17 juin le candidat du FN, Florian Philippot, à une candidate PS. Que fera l'UMP dans ce cas de figure ?

LE "NI-NI" DEVRAIT L'EMPORTER

Sauf surprise, c'est le "ni-ni" (ni Front national, ni "Front républicain" anti-FN) qui devrait l'emporter. L'ancien ministre de l'intérieur, Claude Guéant, lui-même candidat, a réaffirmé dimanche soir, sur France 2, qu'il était partisan de cette position qui consiste à ne pas appeler à voter pour un candidat en particulier.

Une ligne déjà adoptée par Nicolas Sarkozy et Jean-François Copé il y a un an aux cantonales, mais dont s'était affranchi le premier ministre d'alors, François Fillon, en appelant à "voter contre le FN". Ce qui avait contraint M. Sarkozy à effectuer un recadrage de ses troupes.

Lundi matin, M. Copé a de nouveau rejeté sur Europe 1 tout accord de désistement réciproque avec le PS contre le FN au second tour. Il a justifié cette position par les alliances qu'il prête au PS avec la gauche radicale. "Faut-il soutenir un candidat du PS qui est allié avec l'extrême gauche de Jean-Luc Mélenchon ? Je n'en suis pas sûr", a-t-il dit.
[dailymotion]<iframe frameborder="0" width="480" height="270" src="https://www.dailymotion.com/embed/video/xrgh9r"></iframe><br /><a href="https://www.dailymotion.com/video/xrgh9r_cope-contre-un-accord-face-au-fn_news" target="_blank">Cop&eacute; contre un accord face au FN</a> <i>par <a href="https://www.dailymotion.com/Europe1fr" target="_blank">Europe1fr</a></i>[/dailymotion]
L'ancien ministre, Bruno Le Maire, a également souhaité lundi sur Canal + qu'il n'y ait "ni accord, ni entente, ni discussion" avec le FN en vue du second tour des législatives, et rejeté aussi les possibilités de désistement de candidats UMP en faveur des socialistes pour un Front républicain face au Front national.

De son côté, François Fillon a dit dimanche soir que l'UMP examinerait "chaque cas de manière extrêmement précise" dans les circonscriptions où elle ne sera pas présente.

Plusieurs ex-ministres ont déjà fait savoir avant les élections que, face à une telle alternative, ils voteraient pour la gauche. C'est notamment le cas de la sénatrice UMP et ex-ministre Chantal Jouanno qui avait indiqué qu'elle voterait pour le PS en cas de duel entre un candidat du FN et un candidat du parti de Martine Aubry au second tour des législatives.

DES RAPPROCHEMENTS AU NIVEAU LOCAL

M. Copé a par ailleurs prévenu que les candidats UMP se maintiendraient partout où ils sont qualifiés, donc y compris en cas de triangulaire, et qu'il "n'y a pas d'alliance avec le FN". Une consigne qui, visiblement, a du mal à passer au niveau local, où il existe des tentations d'alliances FN-UMP.

Ainsi, le député UMP sortant de la 2e circonscription du Gard, Etienne Mourrut, bien que qualifié pour le second tour, loin derrière Gilbert Collard (FN) et le PS, a déclaré dimanche soir qu'il "hésitait" à maintenir sa candidature. Il prendra sa décision d'ici à mardi avec "la base" localement, mais pas avec la direction de l'UMP à Paris, a-t-il prévenu.

Dans les Bouches-du-Rhône, le sortant Michel Vauzelle (PS) pourrait être confronté au désistement du candidat UMP, Roland Chassain, en faveur du FN, comme ce dernier l'avait évoqué dès mercredi. M. Copé avait pris ses distances avec cette position. Ce serait "un signe terrifiant pour l'avenir de la République", a lancé dès dimanche soir M. Vauzelle.

FRANÇOIS FILLON INSISTE SUR "LES VALEURS" DE L'UMP

L'ancienne ministre UMP, Nadine Morano, devancée dans sa circonscription, a lancé dès dimanche soir un appel appuyé aux électeurs du FN "qui partagent [ses] valeurs" et "ne veulent pas du vote pour les étrangers". "Une vraie déclaration à la Pasqua !", a dénoncé un de ses ex-collègues.

Comme dans un rappel à l'ordre, M. Fillon a prévenu : "On a fait cette campagne sur nos valeurs, on la fera au second tour de la même façon." Alors qu'en 2007, cent députés UMP et apparentés avaient été élus dès le premier tour, ils sont moins d'une dizaine cette fois-ci.

>> Lire : "Législatives : 36 députés élus ou réélus au premier tour"
http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/06/11/legislatives-36-deputes-elus-ou-reelus-au-premier-tour_1716046_823448.html
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Bonjour,
Les choses sont claires, après l'appel à voter FN de Jacques sur ce blog, l'UMP est prête à tout pour favoriser la montée du nationalisme et de l’extrême droite. Nous y sommes.
Attendons néanmoins le résultat du second tour et les mois qui suivront. J'attends avec impatience les règlements de comptes qui ne manqueront pas pas de survenir à l'UMP, future filiale du FN.....
Amicalement
Pierre

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Tartenpiont




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MessageSujet: Re: Législatives : 10 faits marquants du premier tour   Législatives : 10 faits marquants du premier tour Icon_minitimeLun 11 Juin - 9:52

Bonjour,

Dans le Pas-de-Calais, l'opportuniste Mélenchon a reçu une belle raclée. Pour moi, c'est un réel plaisir. Qui sème le vent récolte la tempête ! Les électeurs d'Hénin-Beaumont ont majoritairement voté pour Marine Le Pen et n'ont pas voulu de ce provocateur et usurpateur. Et il n'est pas le seul usurpateur et provocateur de la "vie politique française". On ne lui dira jamais assez : ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir abattu ! Il n'a pas arrêté de nous bassiner pendant les 2 élections avec ses "et moi et moi et moi" (sûrement fan de Jacques Dutronc). Résultat nul à chaque fois ! Resultat final : à trop se vanter on finit par se ridiculiser !! Au revoir Mélenchon ! D'autre part, arrêtons de pointer du doigt Mme "Jean Marine Lepen" et ses soi-disant succès électoraux! Si elle à 1 siège sur les 577 de l'Assemblée Nationale (encore faut-il qu'elle y arrive) En quoi peut on dire qu'il s'agit là d'une victoire ? Je me marre bien sur ce coup là... Cette femme est dangereuse et ses idées encore plus...

Cordialement,

Tartenpiont

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