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| Le dossier du jour - Il fait et défait le monde : Quel est le secret d'Israël ? | |
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Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: Le dossier du jour - Il fait et défait le monde : Quel est le secret d'Israël ? Ven 27 Avr - 9:53 | |
| Le dossier du jourEdition du 26/4/2012
Il fait et défait le monde : Quel est le secret d’Israël ?
Par : Imaad Zoheir
Exception - Et pourtant un pays échappe à ce classement comme s’il vivait hors du temps, en dehors de la planète et dont l’existence même est illégale.La puissance d’un pays se mesure généralement par un certain nombre de critères, comme par exemple son avancée technologique, sa capacité d’innovation et de création, la qualité de ses cadres, la compétence de ses universités et la performance de ses recherches. Et lorsqu’il a la chance d’avoir des ressources abondantes ou stratégiques, comme le pétrole, il devient alors une super- puissance. C’est le cas notamment des Etats-Unis, de la Russie, de la Chine, qu’on a coutume d’appeler pays émergent et dans une certaine mesure du Japon, malgré un sous-sol ingrat et un sol plutôt avéré. Quant aux puissances européennes, elles sont au nombre de cinq uniquement : La Grande-Bretagne, l’Allemagne, la France, l’Italie et l’Espagne. Le reste du monde est divisé entre pays en voie de développement, pays émergents et pays sous-développés. Et pourtant un pays échappe à ce classement, comme s’il vivait hors du temps, en dehors de la planète et dont l’existence même est illégale. Il n’a quasiment aucune ressource minière, encore moins de carburant, et plus encore, aucun allié politique dans la région. Malgré cet handicap, ce pays aussi grand qu’un mouchoir de poche demeure la plus grande puissance de la région et même une super-puissance, tout court. Mais comment cela peut être possible ? La réponse est simple : grâce à l’appui inconditionnel des Etats-Unis. Tout le secret est là. Tout le monde le sait. Pour être élu, un candidat à la présidence des Etats-Unis doit d’abord donner des gages au lobby sioniste. A l’exception de Roosvelt, Harriman et Dwig Eseinhower, qui avaient d’autres soucis concernant l’issue de la Seconde Guerre mondiale, tous les présidents qui se sont succédé à la Maison-Blanche, que ce soit Nixon, Ford, Carter ou Bush (père et fils) sont passés par là et n’ont pas dérogé à la règle. Même Obama a été obligé de rectifier son tir après son discours du Caire et les remontrances adressées à Natanyahu à propos des nouvelles colonisations juives. Non seulement le président israélien a réussi à le faire reculer, mais même à se faire applaudir devant le Congrès américain par 18 fois pour bien lui montrer qu’on ne plaisante pas avec les intérêts d’Israël. Le soutien des USA à Tel-Aviv est tel que l’armée de l’Etat hébreux est aujourd’hui équipée d’armes les plus sophistiquées et de dernière génération, sorties droit des manufactures américaines. Bref, rien n’est trop beau pour faire plaisir à L’Etat juif. Au point que lorsqu’il engage une opération contre les Arabes, Washington suit et applaudit automatiquement quelle que soit la nature de cette décision et les conséquences qui peuvent en découler. Fidèles à leurs traditions, les Etats-Unis ont toujours protégé Israël, tant et si bien que l’ennemi des sionistes devient dans l’ordre des choses leur propre ennemi. I.Z | |
| | | Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: Israël, une puissance dangereuse Ven 27 Avr - 9:56 | |
| Le dossier du jour
Edition du 26/4/2012 Une puissance dangereuse
Fait - Ce n’est un secret pour personne : Israël possède bel et bien l’arme nucléaire.
L’Etat hébreux ne le crie pas sur les toits et fait même mine d’orienter ses recherches vers le nucléaire civil pour son approvisionnement en électricité, mais le fait est là, comme le nez au milieu de la figure. En plus de ses appuis auprès de sa diaspora et des lobbyes américains qui lui fournissent tous les soutiens politiques dont elle a besoin, jusque et y compris au Congrès et au Sénat, Tel- Aviv dispose de l’arme ultime dans la plus grande discrétion et devient ainsi non seulement le gendarme de la région, mais une puissance au sens propre du terme. Alors qu’on assiste à une levée de boucliers en Europe et aux Etats-Unis contre une hypothétique arme nucléaire que fabriquerait l’Iran actuellement et que Téhéran est menacé des pires sanctions, personne ne souffle mot contre Israël. On nous dit, pour défendre l’Etat juif, qu’aucune preuve formelle n’a été établie en ce sens, ce qui est en partie faux, et qu’à supposer qu’il possède quelques têtes d’ogives, il faut bien qu’il se défende contre ses voisins qui l’entourent et qui ne demandent qu’une seule chose, le voir rayé de la carte. On se rend compte, là encore de la différence de traitement entre un pays tiers et Israël, la politique de deux poids et deux mesures toujours en faveur d’Israël, ce qui explique, entre autres, pourquoi les sionistes bombent le torse et exhibent les pectoraux dans cette zone étant assurés de l’impunité la plus totale. La preuve, en dépit des différentes résolutions de l’ONU qui les condamne systématiquement pour leurs dépassements, les responsables israéliens, qui n’ont rien à craindre de ce «machin», continuent quotidiennement à bafouer les lois et à provoquer la morale internationale. Rien ne peut se décider par les Palestiniens sans l’accord d’Israël. Que ce soit pour l’eau ou l’électricité, pour le transport ou pour la douane, même les dons qui leur sont destinés sont vérifiés et contrôlés. Même les aides financières qu’accordent les pays étrangers aux Palestiniens transitent par les services financiers de Tel Aviv qui les laissent souvent «poireauter» avant de les distribuer à leurs légitimes propriétaires. Conscient de sa supériorité technologique et de sa force, Israël a, au cours de ces trois dernières années, détruit dans la ville sainte de Jérusalem tout ce qui pouvait rappeler les Palestiniens et leur histoire. Des maisons ont été saccagées, des terrains occupés par les juifs qui n’ont aucun titre de propriété. Des villas ont été confisquées et attribuées à des occupants juifs et les propriétaires chassés à coups de pierre. Des colonies entières ont été installées avec armes et bagages dans la bande de Gaza. Bref, l’Etat d’Israël continue sa politique de peuplement pour éliminer jusqu’au souvenir des Palestiniens. Se contentant de pousser des cris de vierge effarouchée, la communauté internationale s’est avérée incapable de mettre le holà. Et pour cause. l’oncle Sam est là. Et quand il décide d’attaquer Saddam ou Kadhafi, elle court aussitôt l’aider à occuper l’Irak et bombarder Tripoli. I. Z. | |
| | | Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: Israël : Les lignes rouges Ven 27 Avr - 9:57 | |
| Le dossier du jour
Edition du 26/4/2012 Les lignes rouges
Assurance - Quels que soient ses dépassements sur la scène internationale et particulièrement dans la région du Moyen-Orient, Israël n’a de comptes à rendre à personne et encore moins aux Nations unies, assuré qu’il est du soutien de tous les instants, de Washington.Ses nombreuses bravades ont fait dire aux observateurs les plus enclins à tout lui pardonner qu’ils avaient affaire finalement à un Etat voyou. Ce comportement de cow-boy s’explique, une fois encore, par l’appui indéfectible de Washington à son protégé et son alignement systématique sur ses positions. Rien ne peut arriver à Israël, les USA veillent au grain. Lorsqu’une sanction contre Israël est votée au niveau de l’Assemblée générale de l’ONU, les Etats-Unis sont là pour mettre leur véto au Conseil de sécurité et bloquer toute décision. Voici quelques exemples qui nous font penser à juste titre qu’Israël est une super- puissance intouchable et inviolable. Dans les années 1960, les israéliens achetèrent aux Français des vedettes de guerre. Pour des raisons administratives, ces bâtiments restèrent au port de Cherbourg. Quelques mois plus tard, éclate la guerre des Six-Jours qui permit au général Moshe Dayan de prendre les armées arabes par surprise et de les défaire complètement. On se souvient par exemple que les avions de Nasser furent cloués au sol, avant même qu’ils ne livrent le moindre combat. Aux termes d’une défaite qui changea radicalement les lignes tracées par le partage de la Palestine en 1948, Israël occupera en plus une partie de l’Egypte (le désert du Sinaï) et de la Syrie (le plateau du Golan). Pour sauver le peu d’honneur qui restait aux Arabes, l’ONU interdira à tous les belligérants d’acheter dorénavant des armes. C’est cette résolution que le général de Gaulle appliquera et qui va lui permettre d’arraisonner les vedettes de Cherbourg d’autant qu’il n’avait pas beaucoup de sympathie pour Tel- Aviv. Malgré leurs différentes démarches pour récupérer leurs navires, les sionistes se heurteront à un niet catégorique. Pour endormir les autorités du port, les Israéliens ne feront pas de scandales, au contraire ils se mettront au vert en attendant le moment propice et éviteront de faire parler d’eux. C’est la veille du Nouvel an qu’ils choisiront pour passer à l’action. Il y a moins de monde sur les quais, les dockers font leurs emplettes en ville, les grutiers aussi et le personnel administratif a d’autres soucis que de surveiller ces vedettes. Les quelques gardiens en permanence sont copieusement arrosés pour fermer les yeux, l’Etat d’Israel a fini par corrompre jusqu’aux rares responsables encore en poste ce soir-là. En quelques heures, des marins très discrets prennent alors possession des appareils, font tourner les moteurs vérifient les jauges et quittent furtivement Cherbourg. Le lendemain, le pot aux roses est éventré et tous les journaux de France saluent admiratifs l’exploit de Tel-Aviv. Le général de Gaulle prend très mal les choses. Des têtes tombent, des cadres sont sommés de rendre des comptes. Mais le mal est fait, Israël ne sera pas inquièté et s’en sort même avec panache et les bons baisers des Français. Et le jour où israël décrétera qu’il devait rapatrier le reste de sa diaspora d’Ethiopie, les fameux falachas, Addis-Abeba s’exécutera sans un mot. L’Etat juif poussera l’impunité jusqu’à noyer clandestinement des avions cargo pour ramener d’autres falachas qui n’étaient pas prévus dans le programme initial de rapatriement. Il s’autorisera même à kidnapper en plein jour des hommes en Amérique centrale et en Amérique du Sud soupçonnés par lui d'être des criminels nazis. I.Z. | |
| | | Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: Re: Le dossier du jour - Il fait et défait le monde : Quel est le secret d'Israël ? Ven 27 Avr - 10:01 | |
| Le dossier du jour
Edition du 26/4/2012 Les relais de Tel Aviv
Procédés - Les intellectuels juifs publient à longueur de pages dans les principaux quotidiens de l’Hexagone des contributions hypocrites qui appellent à la paix entre les deux communautés.Impuni, rarement sanctionné, bravant toute les lois internationales, jamais poursuivi pour ses crimes et qui fait à peine mystère de son arsenal atomique, Israël est le seul pays au monde qui ne doive sa survie qu’à ses lobbys. C’est d’eux qu’il tient sa toute puissance et l’assurance de sa survie dans une région où il n’a que des ennemis. Le lobby français, par exemple, tient le commerce, particulièrement le textile et surtout les médias. Et les médias, comme tout le monde sait, sont le nerf de la guerre. A chaque fois que l’armée de Tsahal tue aveuglément des Palestiniens, déclenche un début de génocide et que l’opération soulève l’indignation du monde occidental, vous êtes à peu près sûrs que le soir même tous les écrans de télévision rediffusent les malheurs de la Shoa ou le journal d’Anne Frank, qui font forcément pleurer dans les chaumières. Et lorsque les deux films, à force d’être projetés ne soulèvent pas grand-chose dans le public, le lobby organise pour les adolescents des visites guidées dans les mémoriaux de la Seconde Guerre mondiale. De leur côté, les intellectuels juifs publient à longueur de pages dans les principaux quotidiens de l’Hexagone des contributions hypocrites qui appellent à la paix entre les communautés d’Israël et les communautés palestiniennes, comme si les victimes devaient faire un effort pour embrasser en plus leurs bourreaux. Le plus engagé dans la compromission avec son pays naturel, même s’il se défend d’être d’abord français, est Bernard Henri Levy, qui a l’oreille du président Sarkozy. C’est lui, avant même les bombardements de l’Otan qui a mené la croisade contre le régime de Kadhafi. Et lorsque le maître de Tripoli fut abattu et le pays libéré de son joug, Bernard Henri Levy, heureux comme un pinson, avouera sans sourciller :«Je l’ai fait pour Israël, Kadhafi est le pire ennemi d’Israël.» Du reste, à chaque fois que l’occasion leur est fournie, les présentateurs vedettes de TF1, qui sont pour la plupart d’origine juive, ne se privent pas de noircir encore davantage l’image de l’Arabe. Parfois avec le sourire, pour mieux faire passer la pilule. Jean Pierre Foucault, dont la mère était juive, n’a-t-il pas posé un jour cette devinette à Djamel Debbouze sur le ton de la plaisanterie : «Djamel, qu’est-ce qui différencie l’homme de l’animal ?» Devant son ignorance, il répondra «Pourtant c’est facile, c’est la Méditerranée». Comparé au lobby américain, le lobby français apparaît comme un conglomérat de sous-traitants, sans punch réel et sans relief. Le lobby américain est une autre dimension, une véritable force de frappe par la diversité de sa composante. Ce sont des sénateurs qui comptent, des membres du Congrès influents qui lui donnent toute son assise et bien plus encore des membres de l’Exécutif qui peuvent voir le président à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. A titre de repère, signalons les secrétaires d’Etat juifs qui ont eu leur mot à dire dans le conflit isrélo palestinien et toujours en faveur de Tel-Aviv. Henry Kissinger et Albreight pour ne citer que ceux-là. MarchandageAvant de s’installer en Palestine par la force et la terreur, les premiers sionistes ont pensé d’abord acheter un territoire. Mais pas n’importe lequel. Un pays qui soit situé au Moyen-Orient, près de la terre promise. Pas question, bien sûr, de faire la proposition aux Arabes, même s’ils savaient par ailleurs que leurs dirigeants étaient corrompus et capables de toutes les félonies. C’est ainsi qu’ils se rapprochèrent du sultan de Turquie, un monarque puissant, mais dont le trésor s’était vidé suite aux nombreuses guerres que l’Empire ottoman avait menées.Ils firent alors miroiter au maître de Constantinople la somme de 1 milliard or, ce qui correspond aujourd’hui à des centaines de milliards d’euros. Le sultan refusera en les priant de ne plus remettre les pieds en Turquie. I. Z. | |
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