Nicolas Bedos flingue Depardieu et Carla

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Nicolas Bedos flingue Depardieu et Carla

Publié le 13.03.2012, 10h30 | Mise à jour : 16h33


Invité de C à Vous, sur France 5, Nicolas Bedos n'a pas mâché ses mots envers Gérard Depardieu et Carla Bruni.

A Villepinte, «j'ai laissé y aller des acteurs qui ont un passé extraordinaire mais qui devraient parfois fermer leur gueule. Depardieu est un immense comédien mais je pense que la drogue et l'alcool l'ont totalement lobotomisé». Sur le plateau de «C à Vous», lundi 12 mars, Nicolas Bedos n'a pas mâché ses mots. Interrogé par Patrick Cohen, le chroniqueur s'est fait acerbe pour commenter l'actualité politique au lendemain du grand meeting de Nicolas Sarkozy.

Rappelant la dernière chronique de Nicolas Bedos dans «Marianne» dans laquelle il décrit un président dans son lit, sous une montagne de couettes, le journaliste lui demande : «Il commence à vous faire pitié Sarkozy ?». «Oui, je vais peut être voter pour lui, finalement, par compassion, il parait que cet homme va mal», répond, ironique, Nicolas Bedos. «Il parait que Carla s'inquiète de sa santé». C'est justement sur le plateau de France 5 qu'elle s'en était ouverte. Et le fils de son père - à Florange le même jour pour soutenir les ouvriers ArcelorMittal - de tourner ses piques vers la première dame de France.

Carla, «pauvre mamie !»

«Elle est en campagne cette femme (...), estime le co-scénariste des «Infidèles». «C'est une girouette idéologique, absolument épatante ! lâche-t-il encore. Il paraît qu'elle regarde Plus belle la vie, qu'elle a changé de goûts... C'est quand même quelqu'un qui a rencontré les Rolling Stones, de grands intellectuels et la voilà... Pauvre mamie !». Selon lui, elle interprète un rôle. «Je sais que les gens avec qui elle est obligée de dîner en ce moment, ce qu'elle est obligée de dire à la télévision, je sens franchement que ça lui arrache la gueule ! A moins qu'elle a pris de la drogue», assène-t-il. «Vous pensez qu'elle se force ?», lui demande-t-on encore. «Bien sûr...!»

Et d'enfoncer le clou, mettant en cause Christian Clavier en prime. «C'est qu'elle a été pointue, elle n'a pas dit que des conneries Carla Bruni (...) elle aime les arts et la voilà entre Gégé et Clavier, elle doit passer des soirées originales, c'est nouveau pour elle !». Voilà la Première dame de France rhabillée par le tailleur Bedos. Pas sûr que le costume lui convienne.

VIDEO. Extraits de l'émission montés par Pure Médias