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 Sarkozy et Merkel main dans la main

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: Sarkozy et Merkel main dans la main   Sarkozy et Merkel main dans la main Icon_minitimeLun 6 Fév - 9:34

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Sarkozy et Merkel main dans la main

Publié le 05/02/2012 à 07:33


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Le président français Nicolas Sarkozy, la chancelière allemande Angela Merkel et le premier ministre italien Mario Monti, le 30 janvier à Bruxelles.

Lundi soir, sur France 2 et la ZDF, le président et la chancelière feront leur première émission de télévision en commun.

Ensemble, ils ont publié plusieurs tribunes et animé d'innombrables conférences de presse. Mais ce sera lundi soir la première intervention télévisée commune de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Elle sera enregistrée à l'Élysée dans l'après-midi et diffusée sur les deux chaînes publiques, France 2 et la ZDF.

Le choix d'une intervention côte à côte, à douze semaines du premier tour de la présidentielle en France, n'est évidemment pas le fruit du hasard. Sarkozy a fait de la référence à l'Allemagne une constante de son discours économique et européen depuis la fin 2010. Au moment de la réforme des retraites, puis en commandant un rapport à la Cour des comptes pour comparer les fiscalités française et allemande, il a fixé le rattrapage de l'économie allemande parmi les priorités de la fin de son quinquennat. La crise des dettes souveraines dès l'été 2011 n'a fait qu'accentuer «l'ardente obligation» d'une convergence franco-allemande, sous peine d'explosion de la zone euro.

«Destins liés»

Cette émission doit donc illustrer la solidité de la relation entre le chef de l'État et la chancelière, dans un moment où les Français savent que «le destin de la France et celui de l'Allemagne sont liés», selon Franck Louvrier, le conseiller de l'Elysée chargé de la communication. Et pour piloter au mieux cette alliance si souvent «incertaine», pour reprendre l'expression de l'historien Georges-Henri Soutou, le duo Sarkozy-Merkel est le mieux placé, répète l'Élysée. «C'est un couple qui a traversé beaucoup d'épreuves et qui les a surmontées, cela compte quand il reste tant à faire», résume un conseiller de Sarkozy.

Quand Schröder, l'ex-chancelier social-démocrate, a rencontré à Paris le chef de l'État, celui-ci a confié qu'enfin, «après toutes ces années», il pensait avoir «obtenu la confiance d'Angela». Schröder a acquiescé, en soulignant qu'il ne fallait jamais oublier «son éducation rigoriste, ses origines d'Allemagne de l'Est» et qu'elle était, par éducation, «extrêmement méfiante».

La semaine dernière, lors de ses vœux à la presse, Nicolas Sarkozy a annoncé qu'à ses yeux, jamais dans l'histoire des présidentielles on n'aura vu le monde extérieur s'inviter à ce point dans le débat hexagonal. Sur ce terrain, son expérience des négociations internationales est un net avantage par rapport aux autres candidats et Nicolas Sarkozy ne manquera pas de le souligner. Après le duo télévisé formé avec Barack Obama, lors du G20 en novembre, l'intervention au côté d'Angela Merkel doit de nouveau en être l'illustration.

Le président français est convaincu, contre certains de ses proches, qu'imposer la référence allemande dans le débat de la présidentielle est un atout. On rappelle volontiers, à l'Élysée, l'enquête Ifop commandée par l'ambassade d'Allemagne à Paris qui établit que l'amitié franco-allemande est plébiscitée par 82% des sondés. Une majorité relative (43%) pense, en outre, que la crise de l'euro va obliger les deux pays à renforcer leur coopération. Dans ce sondage, les Français approuvent le principe d'une harmonisation franco-allemande renforcée, en matière tant de droit du travail (75%) que de fiscalité (70%).

Dépenses sociales

«Chaque fois que le président a parlé du “trésor de l'amitié franco-allemande”, nous avons eu des retours très positifs dans nos enquêtes qualitatives, note un conseiller de la présidence. Les Français apprécient que l'on dépasse le côté purement économique de la comparaison franco-allemande. Il faut aussi incarner une amitié et souligner avant tout que l'on sera plus fort ensemble.» Il ne s'agit pas de «recopier le modèle allemand», mais de dire aux Français que les Allemands ont su diminuer de trois points de PIB leurs dépenses sociales. Un effort qui attend encore les Français s'ils veulent que leur destin «se joue à l'intérieur de la zone euro», tranche un conseiller.

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Petrus.m

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MessageSujet: Le couple franco-allemand veut rester solidaire   Sarkozy et Merkel main dans la main Icon_minitimeLun 6 Fév - 12:04

Le couple franco-allemand veut rester solidaire

LEMONDE | 06.02.12 | 11h46 • Mis à jour le 06.02.12 | 12h36

La solidarité est souvent de mise dans les couples franco-allemands dans l'adversité. En janvier 2003, Jacques Chirac et Gerhard Schröder avaient accordé un entretien télévisé, un mois avant le discours de Dominique de Villepin à l'ONU contre la guerre en Irak. En septembre 1992, Helmut Kohl, le chancelier de l'unité allemande, était intervenu en duplex pour donner un coup de pouce à son ami François Mitterrand, affaibli, qui bataillait en faveur du traité de Maastricht.

De nouveau, la France est sur la défensive. C'est patent depuis que l'agence de notation Standard & Poor's l'a privée de son triple A. Les dirigeants européens défilent à Berlin, tandis que M. Sarkozy se concentre sur sa réélection. Paradoxalement, M. Sarkozy et Mme Merkel ont intérêt à montrer que le couple fonctionne comme avant. Le président pour faire croire qu'il dirige l'Europe, la chancelière pour prétendre le contraire. "La domination de l'Allemagne est frappante, mais l'idée qu'il y ait un couple est protecteur pour elle", estime l'ancien ministre socialiste des affaires étrangères Hubert Védrine. "Les Allemands ont besoin d'un appui français, ils ne savent pas gérer seuls leur leadership européen. Mme Merkel veut montrer que l'on n'est pas dans l'Europe allemande, que la politique suivie est partagée", renchérit un haut fonctionnaire.

Jamais l'Europe n'a été aussi allemande. "Toute cette crise a remis l'Allemagne au centre", constate l'économiste Jean Pisani-Ferry, directeur du cercle de réflexion Bruegel. L'Europe a retrouvé la situation qui prévalait dans les années 1980 avec le système monétaire européen (SME) et que l'euro était censé supprimer : l'Allemagne et ses emprunts d'Etat au centre du jeu, qui servent de référence. Certes, la France peut faire bonne figure : les émissions obligataires se placent bien depuis le début de l'année, mais les capitaux privés fuient le sud de l'Europe, y compris l'Hexagone.

CRISE DE COMPÉTITIVITÉ

Cette suprématie est la résultante d'une Allemagne qui a creusé l'écart avec ses partenaires. "Plus la crise se développe, plus elle apparaît comme une crise de compétitivité entre le nord et le sud de l'Europe", concède-t-on à l'Elysée. Longtemps, M.Sarkozy a prétendu que la France sortirait renforcée de la crise. L'inverse s'est produit. La France paie, selon Patrick Artus, économiste chez Natixis, une politique de la demande menée avant autant de constance que l'Allemagne a mené une politique de l'offre. "La France détient le record du monde des pertes de part de marché depuis 1998", analyse M. Artus.

Modération salariale en Allemagne, lois sociales durcies, hausse de 30 % de la capacité industrielle allemande : les causes ont été cent fois exposées. Troisième "larron", l'Italie Et là ou les entreprises françaises délocalisaient des productions à faible valeur ajoutée, comme la Dacia de Renault en Roumanie, les Allemands externalisaient des productions à forte valeur ajoutée en Europe de l'Est et raflaient la main-d'œuvre la plus qualifiée, comme Porsche en Slovaquie. "Les Allemands ont baissé le coût du haut de gamme sans baisser en gamme", résume M. Artus.

M. Sarkozy et Mme Merkel vont annoncer la convergence de l'impôt sur les sociétés dans les deux pays. La manœuvre doit montrer les vertus du modèle allemand, que M. Sarkozy veut copier, comme l'atteste la TVA sociale ou la flexibilisation des 35 heures. Le PS de François Hollande conteste la thèse du manque de compétitivité française. "L'Allemagne est exportatrice de lait vers la France. Ce n'est pas dû à sa capacité technologique", s'afflige un conseiller de l'Elysée. "Le sujet crève les yeux", estime M. Pisani-Ferry, qui prédit que "le message de Merkel à Hollande sera certainement un message dur."

La chancelière a opposé une fin de non-recevoir au candidat socialiste qui veut renégocier le traité européen ancrant la rigueur en Europe. Pour M. Védrine, "Merkel montre qu'elle a peur de Hollande. Il est peut-être en état de reconstituer un rapport de force psychologique." Pour l'heure, la scène européenne est rééquilibrée par l'entrée dans le jeu de deux professeurs italiens, le président de la BCE Mario Draghi et celui du conseil italien Mario Monti. "Monti essaie de montrer qu'il est le troisième larron du couple, mais les compromis se passent entre le président et la chancelière", glisse un conseiller de l'Elysée.

Le trio s'est rencontré une fois, à Strasbourg, et prévoit de le faire à la fin du mois à Rome. La comparaison avec l'Italie, délestée de Silvio Berlusconi, rend la situation encore plus inconfortable pour Paris. "La France a 50 milliards d'euros de déficit commercial industriel, l'Italie 50 milliards d'excédents", égraine M.Artus, qui juge l'écart de notation entre la France et l'Italie "incompréhensible". Mince espoir pour les Français, l'Allemagne a sans doute atteint son cap de compétitivité : le pays est en plein-emploi et les salaires devraient augmenter de 4 % en 2012.
Arnaud Leparmentier
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Donc le France est bien à la remorque de l'Allemagne et même si elle est plus mal notée, l'Italie dispose de 50 Mds d'excédents.
Par conséquent, le discours lénifiant de Sarkozy et consorts sur la crise responsable de tous les maux en France est nul et non avenu.
"La France détient le record du monde des pertes de part de marché depuis 1998", analyse M. Artus. La droite et la gauche en sont responsables à cause de leurs idéologies et de leurs nombrilismes respectifs.
Enfin d'après l'article, l'Allemagne connait le plein emploi (?), je me demande ce qu'on appelle le plein emploi de nos jours, il me semble que l'Allemagne connait un taux de chômage de 7,4%. Mais cerise sur le gâteau, les salaires pourraient être augmentés de 4%. Sarkozy pour nous prouver qu'il ne copie pas le système allemand ne le fera pas bien sûr. Il ne faut pas désespérer le Medef.
Amicalement
Pierre
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MessageSujet: Re: Sarkozy et Merkel main dans la main   Sarkozy et Merkel main dans la main Icon_minitimeLun 6 Fév - 14:32

Angela Merkel va soutenir Nicolas Sarkozy "quoi qu'il fasse"

LEMONDE.FR avec AFP | 06.02.12 | 12h35 • Mis à jour le 06.02.12 | 14h42

Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, à la fin de leur conférence de presse commune à l'Elysée, le 6 février.Olivier Laban-Mattei / NEUS pour Le Monde
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La chancelière Angela Merkel et Nicolas Sarkozy ont dirigé, lundi 6 février, en pleine campagne présidentielle française, le 14e conseil des ministres franco-allemand. Après un entretien en présence du premier ministre François Fillon, les deux dirigeants ont tenu une conférence de presse.

Angela Merkel a déclaré qu'elle "[soutenait] Nicolas Sarkozy quoi qu'il fasse car [ils appartiennent] à des partis amis". "Il est normal que nous soutenons nos partis amis", a-t-elle poursuivi, rappelant que M. Sarkozy était venu la soutenir en 2009 quand elle briguait un second mandat à la Chancellerie.

Après leur déjeuner, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel devaient enregistrer un entretien croisé qui sera diffusé en soirée sur les chaînes France 2 et ZDF.

"LES GRECS DOIVENT RESPECTER LEURS ENGAGEMENTS"

M. Sarkozy et Mme Merkel ont appelé la Grèce à "respecter scrupuleusement" leurs "engagements". "Il n'y a pas le choix, le temps presse. C'est une affaire de jours, maintenant il faut conclure", a déclaré M. Sarkozy alors que la Grèce est engagée dans une double négociation, à la fois avec ses créanciers privés, essentiellement des banques, pour qu'ils effacent une part substantielle de la dette grecque qu'ils détiennent, mais aussi avec cette troïka afin qu'elle octroie un nouveau prêt à la Grèce.

Les dirigeants français et allemands ont également souhaité que les intérêts de la dette grecque soient bloqués sur un compte. "Les intérêts de la dette grecque doivent permettre d'être sûr que cet argent sera durablement disponible", a ensuite dit Mme Merkel.

La chancelière allemande a assuré vouloir que la Grèce "reste dans l'euro", tout en prévenant qu'Athènes ne pourrait pas recevoir la nouvelle aide financière dont elle a un besoin vital si elle ne concluait pas d'accord avec l'UE et le FMI. "Il ne peut y avoir de nouveau programme si elle ne conclut pas avec la troïka" des créanciers publics d'Athènes, réunissant la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international, a-t-elle déclaré.
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Bonjour,
Angela Merkel soutient Sarkozy quoiqu'il fasse. Bigre!
En somme ils se soutiennent parce qu'ils sont issus de partis amis et non pas parce qu'ils sont les Chefs d’États amis. C'est dire l'intérêt qu'ils portent à leurs peuples respectifs........
Nous verrons qui, en France, la soutiendra quand elle se présentera aux suffrages des Allemands, l'année prochaine.
Amicalement
Pierre
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