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 Après le décision de la CéDéAO de valider le plan militaire : Alger fermerait sa frontière en cas de guerre au Mali

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: Après le décision de la CéDéAO de valider le plan militaire : Alger fermerait sa frontière en cas de guerre au Mali   Après le décision de la CéDéAO de valider le plan militaire : Alger fermerait sa frontière en cas de guerre au Mali Icon_minitimeMer 14 Nov - 9:56

Après le décision de la CéDéAO de valider le plan militaire : Alger fermerait sa frontière en cas de guerre au Mali Logo_liberte_algerie

Actualité

Mercredi, 14 Novembre 2012 09:50

Après la décision de la CéDéAO de valider le plan militaire : Alger fermerait sa frontière en cas de guerre au Mali

Par : Merzak Tigrine

Après le décision de la CéDéAO de valider le plan militaire : Alger fermerait sa frontière en cas de guerre au Mali 7_200_150

L’Algérie, qui a insisté lors du Sommet de la Cédéao, à Abuja, pour que l’option préférée dans la résolution de la crise politique au Mali reste le dialogue, a averti qu’elle fermera sa frontière si l’intervention militaire est déclenchée.


Bien que les dirigeants de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest aient adopté, dimanche à Abuja, un plan pour une intervention militaire dans le nord du Mali pour combattre les groupes armés qui l’occupent depuis le mois de mars, il est souligné, sur insistance de l’Algérie, que le dialogue restait le meilleur choix pour résoudre la crise politique dans ce pays. Il n’en demeure pas moins que les autorités algériennes ont “assuré qu’elles fermeraient leur frontière” en cas d’action militaire africaine pour reconquérir le nord du Mali, occupé par des groupes islamistes armés, selon le président de la commission de la Cédéao, Kadré Désiré Ouedraogo. “Les autorités algériennes ont déjà assuré qu’elles fermeraient leur frontière”, a déclaré M. Ouedraogo à des journalistes, soulignant qu’Alger avait participé à toutes les réunions de préparation d’une intervention africaine orchestrée par la Cédéao. Ceci étant, dans le communiqué sanctionnant le sommet, les responsables de la Cédéao ont affirmé que “la conférence réitère que le dialogue reste l’option préférée dans la résolution de la crise politique au Mali”.

À ce sujet, le communiqué final du sommet d’Abuja précise qu’un “comité national” devra “conduire, avec la facilitation du médiateur, le dialogue interne entre les différentes parties prenantes à la transition et aussi avec les groupes armés non impliqués dans les activités terroristes et criminelles et qui acceptent sans condition de reconnaître l’unité et l’intégrité territoriales du Mali ainsi que le caractère laïc de l’État”. Cette version est confirmée par le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères, Amar Belani, qui a relevé, lundi, dans des déclarations à l’APS, que le sommet de la Cédéao a confirmé que le dialogue demeurait “l’option préférée” dans la résolution de la crise malienne. Il a également indiqué que l’Algérie a réaffirmé, à cette occasion, par la voix du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, sa position bien connue. “Nous retenons que ce sommet a confirmé que le dialogue reste l’option préférée dans la résolution de la crise politique au Mali et c’est la position que l’Algérie défend”, a dit Amar Belani. Ce dernier a rappelé que l’Algérie n’a cessé de souligner qu’“une sortie de crise par un dialogue à engager entre les autorités maliennes et les groupes de la rébellion au nord du Mali est tout à fait possible”. Il a aussi ajouté que “la décantation, qui s’opère actuellement au niveau de ces groupes rebelles, permet d’envisager une solution politique viable respectant la souveraineté, l’unité et l’intégrité du Mali”. Une guerre contre les islamistes armés qui occupent le nord du Mali serait dévastatrice pour les pays voisins qui seront alors victimes d’un “volcan aux cendres incandescentes”, a affirmé lundi le président de l’Assemblée nationale de Mauritanie. “Ce pays, longtemps décrit comme un modèle de démocratie en Afrique, ressemble à un volcan sur le point d’entrer en éruption. Et si ce volcan se réveillait, il déverserait ses cendres incandescentes sur tous les États voisins”, a déclaré Messaoud Ould Boulkheïr, au cours d’une réunion du Parlement mauritanien.

“Compte tenu des frontières que nous partageons avec ce pays et de l’étroite imbrication des intérêts entre nos deux peuples frères, notre pays ne peut naturellement rester à l’écart d’un tel développement”, a dit M. Ould Boulkheïr. De son côté, le représentant spécial des Nations unies pour l’Afrique de l’Ouest, Saïd Djinnit, a souligné la nécessité de “garder une forte pression à mesure que les modalités du plan militaire avancent”. Réagissant à la décision de la Cédéao, Ansar Dine, l’un des groupes islamistes armés occupant le nord du Mali, et la rébellion touareg du MNLA ont fermement condamné, lundi, le choix fait par des dirigeants africains d’envoyer 3 300 militaires dans ce pays pour aider à rétablir l’unité du pays.

“La décision des chefs d’État africains, poussés par la France, constitue un mauvais choix et un parti pris contre une partie des populations du Mali”, a déclaré Iyad Ag Ghaly, le chef d’Ansar Dine, à l’agence de presse en ligne mauritanienne Sahara Médias. Il a fustigé une “erreur historique” et assuré qu’une guerre aurait des conséquences pour “tous les peuples de la région”. Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), par la voix de ses responsables, présents aussi à Ouagadougou, a également affiché son opposition à une guerre. “Nous refusons toute intervention sur le territoire de l’Azawad sans règlement politique du différend qui nous oppose au Mali”, a déclaré à l’AFP Mahamadou Djeri Maïga, un responsable du MNLA.

M T
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