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 USA : Dieu et Jérusalem ébranlent la convention démocrate

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: USA : Dieu et Jérusalem ébranlent la convention démocrate   USA : Dieu et Jérusalem ébranlent la convention démocrate Icon_minitimeJeu 6 Sep - 6:17

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Dieu et Jérusalem ébranlent la convention démocrate

Publié le 06/09/2012 à 07:22

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Visiblement très embarrassé, le président de la convention Antonio Villaraigosa s'est empressé de proposer un vote rapide pour rétablir la version de 2008.

Les démocrates américains ont réintroduit mercredi dans leur programme gouvernemental la référence à Jérusalem comme capitale d'Israël et à Dieu, après avoir reçu une consigne en ce sens de Barack Obama et avoir suscité l'indignation du clan républicain.

Pourquoi les démocrates avaient-ils enlevé toute mention de Dieu et de Jérusalem comme capitale de l'Etat d'Israël dans leur plate-forme, rompant avec une tradition vieille de plusieurs décennies? La question a déboulé comme un ouragan dans l'arène Time Warner de Charlotte mercredi soir, au lendemain de la publication du texte, menaçant de bousculer l'agenda de l'impressionnante et joyeuse machine de la convention démocrate. Il était difficile mercredi soir de savoir qui avait pris l'initiative de ces omissions, mais elles semblaient donner des sueurs froides aux élus qui acceptaient de répondre à la question. Interrogé par Le Figaro dans la soirée, le sénateur de Pennsylvanie Robert Casey Jr a raconté qu'il avait «été très critique de la version originale» de la plate-forme, quand il l'avait découverte ce mercredi matin. «Cela ne reflète pas ce qui est ressenti largement par les démocrates. J'ai fait connaître comme d'autres mes sentiments et j'ai pensé qu'il était important de clarifier des positions que nous défendons depuis très longtemps», a lancé cet élu catholique qui avait été l'un des premiers à soutenir la candidature d'Obama en 2008. Le sénateur disait ignorer, qui, au sein de la Commission en charge de rédiger la plate-forme du parti avait pris cette initiative, mais selon les télévisions américaines, le président Obama serait intervenu personnellement pour demander que les deux termes soient réintroduits. Selon les télévisions américaines, l'affaire a en effet suscité une véritable levée de boucliers parmi les donateurs juifs du parti et les communautés chrétiennes, dont une partie non négligeable compte des électeurs indépendants, susceptibles de basculer côtés démocrate comme républicain. Visiblement très embarrassé, le président de la convention Antonio Villaraigosa s'est empressé de proposer un vote rapide pour rétablir la version de 2008. Mais les délégués paraissaient divisés et beaucoup ont crié «non» lors du vote, forçant Villaraigosa à s'y reprendre à trois fois pour arriver à un «oui» à peu près clair, sous les sifflets des mécontents.

Ces quelques mots sur Jérusalem ou Dieu pourraient paraître anodins, mais ils pèsent lourd aux Etats-Unis, pays très religieux où Dieu est invoqué en permanence dans le débat politique et où la relation avec Israël, allié stratégique, revêt une importance cruciale, notamment dans l'électorat juif. Celui-ci est traditionnellement majoritairement acquis aux démocrates et avait voté à 74% en faveur de Barack Obama en 2008, mais ce pourcentage a un peu faibli selon de récents sondages de l'instiutt Zogby, tombant à 68%. Les relations difficiles du président avec le premier ministre Benyamin Nétanyahou ont été instrumentalisées par les républicains pour tenter de le présenter comme un allié peu fiable d'Israël (ce que réfutent les démocrates soulignant notamment que la coopération militaire israélo-américaine n'a jamais été aussi dynamique). Les commentateurs conservateurs se sont d'ailleurs jetés avec empressement sur le mini-scandale mercredi, soulignant que le parterre démocrate à Charlotte avait «hué Dieu». Omettre de mentionner le créateur «suggère un parti qui est de plus en plus coupé de la majorité du peuple américain», a dénoncé le candidat lui-même. A Charlotte, pourtant, cette diversion a été finalement vite occultée par le discours magistral de l'ancien président Clinton, sans doute un tournant de la campagne.
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Jamel
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MessageSujet: Clinton : Obama a toujours le feu sacré   USA : Dieu et Jérusalem ébranlent la convention démocrate Icon_minitimeJeu 6 Sep - 6:20

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Clinton: Obama a toujours le feu sacré

Mis à jour le 06/09/2012 à 06:21 | publié le 06/09/2012 à 06:03

L'ancien président américain Bill Clinton a enflammé la convention démocrate hier soir à Charlotte, qui a formellement investi Barack Obama pour représenter les couleurs du parti à la présidentielle de novembre.


Dans un discours d'une cinquantaine de minutes, longuement ovationné, M. Clinton a lancé un vibrant plaidoyer en faveur du président Obama, disant croire en lui "de tout coeur" et insistant sur les capacités du président sortant à redresser l'économie.

L'ancien président de 66 ans, toujours extrêmement populaire aux Etats-Unis, a une fois de plus montré qu'il était un orateur hors pair en jouant avec un public conquis d'avance tout en lançant des charges assassines contre le candidat républicain Mitt Romney et son colistier Paul Ryan.

"Je veux un homme qui croit sans le moindre doute que nous pouvons recréer le rêve économique américain", a affirmé Bill Clinton, dénonçant au passage "la pagaille totale" laissée par les républicains à Barack Obama il y a quatre ans, qu'"aucun homme n'aurait pu résoudre".

"Aucun président, aucun président - pas moi-même ni aucun de mes prédecesseurs, personne n'aurait pu réparer les dégâts causés en seulement quatre ans", a-t-il dit.
M. Obama, arrivé plus tôt dans la journée à Charlotte et qui s'exprimera jeudi soir devant la convention démocrate, est ensuite monté sur la tribune du Time Warner Cable Arena, enceinte où étaient réunis près de 6.000 délégués du Parti démocrate. Devant un public en délire, M. Clinton l'a accueilli en s'inclinant et en l'embrassant, avant que les deux hommes se retirent.

Un "couac" autour de Jérusalem

Alors que les républicains martèlent depuis des jours un argument qui avait déjà été utilisé par Ronald Reagan contre le démocrate Jimmy Carter en 1980, "Etes-vous dans une meilleure situation qu'il y a quatre ans?", M. Clinton leur a réservé une réponse claire et nette.

"Sommes-nous là où nous le souhaitons? Non. Est-ce que le président est satisfait? Non. Mais sommes-nous dans une meilleure situation que quand il a pris ses fonctions, avec une économie en chute libre, qui perdait 750.000 emplois par mois? La réponse est oui!", s'est écrié l'ancien président.

Quant à M. Obama, il a "posé les bases d'une économie plus moderne, plus équilibrée, qui produira des millions de nouveaux emplois, de nouvelles entreprises dynamiques, et beaucoup de nouvelles richesses pour les innovateurs", a-t-il dit.

En fin de soirée, les démocrates ont procédé au vote, Etat par Etat et par ordre alphabétique, en faveur de M. Obama, une procédure longue et totalement cérémoniale puisque le président était le seul candidat.

M. Obama tentera le 6 novembre de conserver la Maison Blanche face à M. Romney, quatre ans après le début d'une crise économique aiguë qui a coûté plus de huit millions d'emplois.

Président de 1993 à 2001, M. Clinton avait lui dirigé les Etats-Unis en période de forte croissance, de chômage faible et de surplus budgétaires, malgré une politique fiscale moins avantageuse pour les riches que celle défendue par les républicains, un fait que rappelle souvent M. Obama pour argumenter en faveur de ses propres projets.

Dans une campagne âpre qui reflète le faible écart des sondages, le camp de M. Romney a assuré que M. Obama, sous qui la dette publique a crû de plus de 5.000 milliards de dollars, ne pouvait pas décemment se réclamer de M. Clinton.

Le discours d'Obama jeudi n'aura pas lieu comme prévu dans un stade découvert de 73.000 places, mais dans le même "Time Warner Cable Arena", une enceinte cinq fois plus petite, en raison d'un risque de violents orages.

La convention, censée montrer au grand public une image d'unité, a connu un "couac" mercredi lorsque des délégués ont bruyamment manifesté leur désaccord avec la réintroduction dans le programme démocrate, à la demande de M. Obama selon son équipe, de la mention de Jérusalem comme "capitale d'Israël".

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