VIDEO. Trierweiler : «Je tournerai sept fois mon pouce avant de tweeter»

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VIDEO. Trierweiler : «Je tournerai sept fois mon pouce avant de tweeter»

Publié le 15.07.2012, 08h01 - Mise à jour : 10h10



Valérie Trierweiler n'a pas été soumise au silence longtemps. Samedi, lors d'une sortie avec François Hollande à Brest, elle s'est amusée de l'affaire du «tweetgate». «Je tournerai sept fois mon pouce avant de tweeter», rigole-t-elle.

Elle n'aura pas attendu longtemps avant d'ironiser sur la situation. Attendue au tournant, le jour de sa première sortie officielle depuis l'affaire du «tweetgate», Valérie Trierweiler s'est amusée de la situation à Brest, samedi après-midi.

«Je tournerai sept fois mon pouce maintenant avant de tweeter», rigole-t-elle devant les caméras de BFM-TV avant de monter sur un chalutier avec son compagnon.

Plus de prudence désormais avant de tweeter donc... Ce ton plutôt léger diffère des déclarations solennelles et quelque peu embarrassées du chef de l'Etat sur le «Trierweilergate», quelques heures plus tôt. Interviewé lors d'un long entretien télévisé -un rituel du 14 juillet pour les présidents français- François Hollande a été contraint de s'expliquer. Pour la première fois, il a du évoquer ce fameux tweet de soutien de Valérie Trierweiler à un candidat PS dissident qui se présentait contre Ségolène Royal aux législatives. «Les affaires privées se règlent en privé», a-t-il déclaré laconique. «Le principe que je viens de rappeler sera scrupuleusement appliqué», a ajouté le chef de l'Etat, visiblement gêner de devoir discuter de cette affaire, psychodrame politico-sentimental. La séquence dans l'entretien aura duré seulement deux minutes. Le socialiste était pressé de mettre un terme à cette séquence politique, qui va à l'encontre des principes qu'il a prôné avant son élection. Durant toute la campagne présidentielle, le socialiste avait promis de bien séparer vie privée et vie publique, autre domaine dans lequel il voulait se démarquer de son prédécesseur Nicolas Sarkozy.

Après François Hollande et Valérie Trierweiler ce samedi, Thomas Hollande, le fils du chef de l'Etat a donné également pour la première fois son avis sur la situation, cette semaine. Ce tweet «a détruit l'image normale» que le président «avait construite», a déclaré au Point l'avocat de 27 ans, sévère. «Je savais que quelque chose pouvait venir d'elle un jour, mais pas un si gros coup. C'est hallucinant», poursuit le jeune homme. Cet article rapporte également que les enfants de l'ex-couple Royal-Hollande ne souhaite plus parler à la compagne du président depuis. Lors d'un dîner, Hollande lui a demandé de «ne pas alimenter le feuilleton». Et a assuré samedi, qu'un tweet de la sorte ne se reproduirait pas.

VIDEO. Valérie Trierweiler s'amuse du «tweetgate»

Bonsoir,

Cette dame est à la fois jalouse et possessive. Elle ne supporte pas de voir des gens heureux autour d'elle. Je comprends mieux ses deux mariages ratés. Elle va droit au mur à cette allure. Moins on la voit, mieux c'est. D'ailleurs, cette personne a fait voir sa mentalité et son manque de jugeote autant que de coeur. C'est classé. De plus avec son accoutrement d'hier, elle faisait tache. Elle n'est pas à la hauteur de la situation et de plus, non seulement elle ne sert à rien, mais elle dessert le président Hollande et donne de la compagne du président une image ringarde. Elle se fait détester de tous les Français et ce n'est que le début. Nous sommes déjà la risée du monde avec cette femme. Mr le Président surtout n'épousez pas cette mégère. Merci!

Cordialement,

Andrée