Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: SBA : Le syndicat des travailleurs de la Faculté de médecine exige une enquête Sam 3 Déc - 8:45 | |
| Samedi 3 Décembre 2011
SIDI BEL-ABBÈS :
Le syndicat des travailleurs de la Faculté de médecine exige une enquêteAprès les remous qui ont dernièrement agité la faculté de médecine de l'université Djilali-Liabès de Sidi Bel Abbès, suscités par le recalement injuste d’une dizaine d’étudiants en 2e année (2010-2011) qui ont finalement été réhabilités dans leur droit d’admission en 3e année et les responsables de cette erreur, même si elle est matérielle, se sont vu sanctionnés, voilà une fois de plus cette même faculté qui monte au créneau par le biais du syndicat des travailleurs qui a décrié une mauvaise gestion des œuvres sociales et a exigé une commission d’enquête. Après avoir rendu publics, plusieurs communiqués où les travailleurs dénonçaient ce qu’ils appellent un malaise, le syndicat dans une pétition dont une copie a été adressée dans la journée du jeudi dernier à la Maison de la presse a tenu à informer la tutelle et les responsables locaux, demandant par la même occasion une enquête, au niveau des œuvres universitaires de la faculté dont la gestion est confiée, déclare-t-il, à des personnes n’ayant aucun pouvoir officiel pour assumer cette mission. «Le compte bancaire de ces œuvres affirme le syndicat est l’objet d’opérations injustifiées et la banque n’a pas le droit de s’y opposer puisqu’elle n’est destinataire d'aucun écrit de la part de l'administration.» Dans cette même pétition, les travailleurs évoquent leur statut de contractuels, alors qu’ils disent exercer depuis de 10 ans au sein de cette faculté. «D’autres travailleurs moins anciens que nous sont déjà titularisés. En ce qui concerne les stages de promotion, nous n’y avons pas droit car nous ne sommes pas concernés par le favoritisme même plus encore affirment-ils, certains ne rejoignent pas leur poste pour assumer leur mission et reçoivent normalement leur salaire alors que la nôtre ainsi que les primes sont toujours sujets à des retards considérables de versement». A. M. | |
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