Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: SBA : Polémique sur le dossier de la gare routière Mer 2 Mai - 6:11 | |
| Mercredi 2 mai 2012
SIDI BEL ABBES :
POLEMIQUE SUR LE DOSSIER DE LA GARE ROUTIERE
par M. Delli
La session extraordinaire de l'APC, prévue pour lundi 30 avril 2012, a été, finalement, annulée pour faute de quorum. L'absence des élus, à l'exception du maire ,d'un vice président et d'un élu du parti HAMAS, les 16 autres élus non concernés par les élections législatives ont, mystérieusement, brillé par leur absence bien que le point prévu à cette session revêtait une importance dont la crédibilité et l'honnêteté des élus de la municipalité devait être réhabilitées face aux accusations graves relatives à « la dilapidation, au détournement et au bradage» des deniers publics et du patrimoine communal. Cet ajournement, pour le moins inexpliqué et énigmatique, conforte le journal local dans toutes les informations qu'il a avancées sur le dossier de la gare routière jusqu'à preuve du contraire. C'est la lecture la plus basique de la tournure politicienne prise par le dossier qui a fait couler beaucoup d'encre et dont les responsabilités n'ont pas encore été délimitées. Le fait que le ministre des Transports, candidat aux législatives à Sidi Bel Abbés, soit impliqué dans le dossier et serait derrière ce retournement de situation à en croire des commentaires. Le Chef de la daïra aurait usé de son influence sur le P/APC pour annuler la session extraordinaire sous prétexte d'une sensibilité relative à la campagne électorale. Qu'a-t-on voulu cacher à l'opinion publique ? Le Chef de Daïra se contente de répondre par le recours à la justice dans le cas où la réglementation n'aurait pas été respectée dans le dossier de la gare routière. Il déclare devant un parterre d'élus et en présence du maire : «Il n'est pas du ressort d'un opérateur du transport lésé, ni d'un journal local de condamner l'APC. C'est à la justice de le faire ». Que « celui qui se sent lésé saisisse la justice » a-t-il rétorqué. Dans cet imbroglio, qui entoure le dossier de la gare routière, la position du maire est apparue confuse et évasive du fait qu'il ait usé de tous les subterfuges pour éviter d'aborder ce sujet devant la presse et la société civile .En dépit de l'envoi officiel des convocations aux élus, l'assemblée ne s'est pas tenue .Que s'est il passé ? Qui a empêché les élus d'y assister ? L'énigme demeure entière et le maire accusant un déficit flagrant en communication continue de tergiverser car à en croire des indiscrétions il aurait contacté les élus pour les convaincre afin de bouder l'assemblée. L'opinion publique reste sur sa faim et le dossier de la gare routière « Sakia El Hamra » demeure dans la boîte noire de l'APC. | |
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