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 Mali : une Suissesse enlevée dans le Nord par un groupe armé

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Jamel
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Jamel


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Mali : une Suissesse enlevée dans le Nord par un groupe armé

Publié le 16.04.2012, 07h37 | Mise à jour : 08h23

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Une ressortissante suisse a été enlevée dimanche dans le nord du Mali, région contrôlée par des groupes armés dont le mouvement islamiste Ansar Dine, qui s'est dit prêt au dialogue avec les autorités maliennes pour trouver une issue à la grave crise dans cette partie du pays.

Une ressortissante suisse a été enlevée dimanche dans le nord du Mali, région contrôlée par des groupes armés. «Béatrice a été enlevée ce dimanche à Tombouctou par des hommes armés», a déclaré Mohamed Ould Hassen, fonctionnaire au gouvernorat de Tombouctou. «J'ai vu six hommes armés embarquer Béatrice ce dimanche, ils ont crié «Allah Akbar» (Dieu est grand)», a confirmé un habitant.

Cette femme âgée d'une quarantaine d'années est une chrétienne très impliquée dans les actions sociales, qui vivait depuis longtemps à Tombouctou. Dernière Occidentale encore présente, elle avait refusé de quitter la ville après sa chute le 1er avril aux mains du mouvement islamiste Ansar Dine. Celui-ci est appuyé par des éléments d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui opère depuis le nord-Mali dans plusieurs pays du Sahel, y procédant régulièrement à des enlèvements.

Celui de la Suissesse porte à 21 le nombre d'otages enlevés au Sahel. Treize Occidentaux, dont six Français, et sept Algériens sont retenus par Aqmi et par un groupe dissident, le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'ouest (Mujao).

Le Mali, un nouvel «Afghanistan» ?


Le même jour, Ansar Dine, qui impose son ascendant dans le Nord sur les rebelles touareg et d'autres groupes, a fait une offre de dialogue au pouvoir central malien. «Entre frères musulmans, on peut arriver à s'entendre. Mais il ne faut pas que les non-musulmans se mêlent de nos problèmes», a indiqué Oumar Ag Mohamed, un proche d'Iyad Ag Ghaly, le chef d'Ansar Dine, en référence aux puissances occidentales.

De leur côté, l'ex-junte et la classe politique maliennes, réunies à Ouagadougou autour du médiateur, le président burkinabè Blaise Compaoré, ont appelé à ouvrir «sans délai» des pourparlers entre les autorités de transition et les groupes armés. La situation dans la partie septentrionale du pays fait craindre notamment au président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz que le Mali ne devienne «un Afghanistan», comme il l'a dit dimanche. Investi jeudi, le président intérimaire malien Dioncounda Traoré a d'ailleurs envoyé dimanche un émissaire en Mauritanie pour demander l'aide de Mohamed Ould Abdel Aziz, alors que des dirigeants de la rébellion touareg sont basés à Nouakchott. Son émissaire Tibilé Dramé a souhaité que s'ouvrent «bientôt» des entretiens entre Bamako et les rebelles.

Des négociations en cours

Les délégués présents au Burkina Faso ont par ailleurs décidé que les membres de l'ex-junte du 22 mars, le président Traoré, ainsi que son Premier ministre et son gouvernement qui restent à nommer, ne pourront pas être candidats à la prochaine présidentielle, dont la date n'est pas encore fixée. Mais la «déclaration solennelle» lue dimanche soir après deux jours de difficiles discussions montre qu'ils ont échoué à définir la durée de la transition, qui sera déterminée plus tard. La crise dans le Nord malien était l'un des principaux points au menu des discussions entre les putschistes, les politiques et les représentants de la société civile du Mali.


Seule confirmation : la durée du mandat du président de transition excèdera bien les 40 jours prévus par la Constitution, comme le stipulait déjà l'accord de sortie de crise signé le 6 avril, en raison de la crise exceptionnelle que traverse le pays. Le Premier ministre pourrait être nommé «d'ici demain» lundi après concertation entre l'ex-junte et le président burkinabè, a affirmé un représentant du chef des anciens putschistes, le capitaine Amadou Sanogo. D'autres sources ont parlé d'un délai de 48 heures. Le gouvernement est attendu dans la semaine. Des sources proches des négociations ont fait état d'une liste de trois «premier-ministrables»: Soumana Sacko, qui avait déjà dirigé la transition en 1991-92, le patron de l'Onusida Michel Sidibé et un universitaire établi aux Etats-Unis, Dialla Konaté.
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