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| Meurtres en série dans l'Essonne : les enquêteurs ont un signalement | |
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Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: Meurtres en série dans l'Essonne : les enquêteurs ont un signalement Ven 6 Avr - 11:00 | |
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Meurtres en série dans l'Essonne : les enquêteurs ont un signalement
Publié le 06.04.2012, 11h50 | Mise à jour : 12h12 Grigny (Essonne), jeudi. Des membres de la police scientifique relèvent des indices à la sortie du hall d'un petit immeuble de quatre étages, dans le quartier de la Grande Borne, où une femme de 47 ans a été abattue par un tireur qui s'est enfui à moto. Les enquêteurs de la police judiciaire de Versailles (Yvelines) redoublent d’effort pour remonter, au plus vite, la piste d’un tueur en série, auteur présumé de quatre meurtres commis dans le département de l’Essonne depuis le mois de novembre 2011. Les policiers ont, aujourd’hui vendredi, la certitude qu’une seule et même arme de calibre 7,65 mm a été utilisée pour abattre les quatre victimes.
Le dernier fait en date remonte au jeudi 5 avril, à Grigny. Une femme âgée de 47 ans a été abattue dans le hall de son immeuble. Plusieurs témoins ont décrit comme étant l'auteur des faits un homme de grand taille, mesurant au moins 1,80 m, de corpulence mince, de type européen et porteur d’un casque de moto noir. Ce mystérieux meurtrier était vêtu d’un blouson de type bombers en cuir de couleur sombre et d’une sacoche. Il serait arrivé sur les lieux du meurtre sur une moto de marque Suzuki, type GXSR 1 000 de couleur bleue, supportant des autocollants ou des bandes blanches. Le deux-roues n'avait pas, semble-t-il, de plaques d’immatriculations.
Dernière édition par Jamel le Dim 8 Avr - 9:32, édité 1 fois | |
| | | Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: Meurtres en série dans l'Essone : un appel à témoins pour retrouver la moto Ven 6 Avr - 18:30 | |
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Meurtres en série dans l'Essonne : un appel à témoins pour retrouver la moto
Publié le 06.04.2012, 18h11 | Mise à jour : 18h51 C'est une moto comme ce modèle susceptible d'être utilisée par le tueur en série qui sévit dans l'Essonne que recherchent les enquêteurs de la DRPJ de Versailles.
La direction régionale de la police judiciaire de Versailles (Yvelines) a lancé vendredi soir un appel à témoin pour remonter, au plus vite, la piste d’un tueur en série, auteur présumé de quatre meurtres dans le département de l’Essonne depuis le mois de novembre 2011.
Les policiers ont, aujourd’hui, la certitude qu’une seule et même arme de calibre 7,65 mm a été utilisée pour abattre les quatre victimes. Le dernier fait en date remonte au jeudi 5 avril, à Grigny. Une femme âgée de 48 ans a été abattue dans le hall de son immeuble. Plusieurs témoins ont décrit l'auteur des faits comme un homme de grand taille, mesurant au moins 1,80 m, de corpulence mince, de type européen et porteur d’un casque de moto noir. Ce mystérieux meurtrier était vêtu d’un blouson de type bombers en cuir de couleur sombre et porteur d’une sacoche. Il serait arrivé sur les lieux du meurtre sur une moto supportant des autocollants ou des bandes. La DRPJ de Versailles où une centaine de policiers sont mobilisés pour l'enquête vient de lancer un appel à témoins : «Toute personne ayant vu sur l'Ouest parisien une moto SUZUKI modèle GSXR 750 année 2001 de couleur bleue et blanche, avec le R du modèle rouge, passage de roue arrière blanc, coque arrière blanche ainsi que le capot de selle, deux feux incrustés dans le passage de roue, pot de couleur noire, bulle noire, de bien vouloir téléphoner au numéro vert suivant (gratuit) 0800 33 60 98 ou de faire part de son témoignage au mél : n791@interieur.gouv.fr». | |
| | | Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: Meurtres de l'Essonne : les policiers face à une énigme Dim 8 Avr - 9:31 | |
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Meurtres de l’Essonne : les policiers face à une énigme
Les quatre crimes perpétrés dans le département en moins de cinq mois ne répondent à aucune logique, compliquant la tâche de la centaine d’enquêteurs mobilisés.
Publié le 08.04.2012, 07h16 Juvisy-sur-orge, le 28 novembre. Nathalie Davids est abattue dans ce parking le 27 novembre. Son voisin Jean-Yves Bonnerue le sera le 22 février au même endroit. A enquête exceptionnelle, moyens exceptionnels. Alors qu’un « dispositif de surveillance renforcée » a été mis en place hier dans l’Essonne pour « contrôler les comportements suspects » et tenter par là même de rassurer la population, une centaine d’enquêteurs restent mobilisés pour tenter de percer le mystère de la série de quatre crimes commis en moins de cinq mois dans le département.
Un cas quasi unique de tueur en série par arme à feu, dépourvu — en apparence — de toute logique. « L’arme utilisée est le lien entre ces quatre affaires », a rappelé vendredi Marie-Suzanne Le Quéau, procureur d’Evry. Mais les investigations se heurtent à une série d’incohérences. Un suspect incarcéré mais une arme qui continue à tuerL’ancien petit ami de Nathalie Davids, la première victime, qui venait de rompre avec lui, a été mis en examen pour assassinat et incarcéré le 3 décembre. Ce père de famille, décrit comme « mythomane » et « grande gueule », a passé des aveux partiels avant de se rétracter. Selon nos informations, des traces de poudre correspondant à celles retrouvées sur les douilles relevées sur la scène de crime ont toutefois été mises en évidence sur l’un de ses vêtements. Le suspect n’a pas donné de précisions sur l’arme qui a servi à abattre Nathalie Davids. Mais c’est ce même pistolet semi-automatique de calibre 7,65 mm qui a tué de nouveau à Juvisy, Ris-Orangis et Grigny alors que le suspect était sous les verrous. Des victimes « sans histoires » que rien ne relieSeules les deux premières victimes se connaissaient. Presque trois mois après le meurtre de Nathalie Davids, son voisin Jean-Yves Bonnerue, qui a découvert son corps, est assassiné à son tour dans le même parking de leur résidence. Pour autant, ni l’un ni l’autre ne fréquentait les deux victimes suivantes, Marcel Brunetto et Nadjia Lahcene. Aucune relation n’a pu, non plus, être établie pour l’heure entre ce retraité de 81 ans et cette mère de famille de 48 ans. Sans lien ni point commun avéré entre les quatre victimes « sans histoires » selon la procureur, difficile de faire émerger un mobile. Les deux premiers meurtres pourraient s’expliquer. L’hypothèse d’un complice du meurtrier de Nathalie Davids qui aurait conservé l’arme et voulu « faire taire » le voisin devenu un témoin gênant est envisagée. Sans pour autant expliquer les deux autres homicides. Et les policiers ne croient pas à la thèse de crimes « de diversion ». Un mode opératoire qui divergeCommis à quelques kilomètres de distance, les quatre crimes n’ont pas été perpétrés selon le même scénario précis. Trois mois s’écoulent entre le premier et le deuxième. Puis, ils s’enchaînent à trois semaines d’intervalle. Les trois derniers meurtres ressemblent à des exécutions quasi professionnelles, tandis que Nathalie Davids a été touchée par sept impacts. Des repérages ont été effectués lors des deux derniers crimes et les victimes attendues, sans que l’enquête ait pu encore démontrer si elles étaient réellement ciblées ou choisies au hasard. Lors de chaque meurtre, en revanche, des témoins ont évoqué la présence d’un homme circulant à moto. Un appel à témoins a été lancé pour tenter de retrouver une Suzuki bleu et blanc, modèle GSXR 750, montée par un inconnu casqué qui a été vu prenant la fuite lors du meurtre de Nadjia Lahcene. Un profil de tueur atypiquePour les enquêteurs, l’hypothèse d’un tueur à gages paraît peu probable. Un professionnel n’utilise pas quatre fois la même arme, qui plus est en laissant des douilles. L’idée d’une arme partagée par plusieurs criminels est, elle, exclue. En principe, un calibre utilisé pour tuer ne reste pas en circulation. Enfin, le mélange de détermination et de prise de risque du ou des tueurs, qui, dans les deux derniers cas, a agi en plein jour en pouvant être reconnu, interpelle. Un mystère de plus. Toute personne ayant des informations peut joindre le 0800.33.60.98 ou cette adresse mail : n791@interieur.gouv.fr. | |
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