Jamel Administrateur
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| Sujet: Un sondage place Mélenchon en troisième position Dim 1 Avr - 9:46 | |
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Un sondage place Mélenchon en troisième position
Mis à jour le 01/04/2012 à 11:28 | publié le 01/04/2012 à 10:37 Jean-Luc Mélenchon dans son QG des Lilas le 30 mars. Le candidat du Front de gauche recueille 15% d'intentions de vote dans un nouveau sondage. Arnaud Montebourg au PS réaffirme vouloir négocier avec Jean-Luc Mélenchon pour les législatives. Jean-Luc Mélenchon se hisse à la troisième place dans un sondage LH2-Yahoo sur les intentions de vote au premier tour à la présidentielle, avec 15%, soit une progression de quatre points par rapport au précédent sondage du même institut, qui avait été rendu public le 18 mars. Das ce même sondage, Nicolas Sarkozy stagne avec 27,5% et demeure derrière François Hollande, qui, à 28,5%, reste en tête mais recule de deux points. Quant à Marine Le Pen, elle perd un point à 13,5% et régresse à la quatrième place.Le troisième homme de 2007, François Bayrou, ne récolte que 12% des intentions de vote. La progression du candidat du Front de gauche peut représenter une inquiétude pour les socialiste, même si, dans ce sondage, François Hollande l'emporterait largement au second tour avec 54% des voix. Le représentant spécial de François Hollande, Arnaud Montebourg, reste ouvert à des négociations avec les Front de gauche. Il estime qu' «on peut négocier avec Jean-Luc Mélenchon». S'exprimant dans une interview au Journal du Dimanche, Montebourg estime que les négociations pourraient avoir lieu au moment des législatives: «Les législatives ont pour objectif de construire l'union des programmes. C'est dans ce cadre là qu'on peut négocier avec Jean-Luc Mélenchon et les partis composant le Front de gauche.» Il estime qu'après la présidentielle, ces négociations «seront naturelles et se feront avec l'ensemble des partis de gauche qui auront soutenu le candidat PS au deuxième tour». Comme élément de convergence avec le leader du Front de gauche, Arnaud Montebourg parle «de l'affrontement inéluctable entre les peuples et la finance» et «une volonté commun de renégocier le traité européen ‘austéritaire'». Montebourg souligne aussi les différences avec Mélenchon, notamment sur la question du Smic, «qui n'est pas un bon outil de pouvoir d'achat». | |
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