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 François Bayrou se place en «candidat du recours»

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Jamel
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Jamel


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François Bayrou se place en «candidat du recours» Empty
MessageSujet: François Bayrou se place en «candidat du recours»   François Bayrou se place en «candidat du recours» Icon_minitimeDim 11 Mar - 1:39

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François Bayrou se place en «candidat du recours»

Mis à jour le 10/03/2012 à 21:55 | publié le 10/03/2012 à 21:20

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L'ancien troisième homme de la présidentielle de 2007 pense que les Français vont se fatiguer du «combat de coqs» que se livreraient le PS et l'UMP.

Le candidat centriste, qui était en meeting samedi soir à Toulouse, pense incarner le «vote utile» face à François Hollande.

Quand François Bayrou arrive samedi soir devant la Halle aux grains de Toulouse, où près de 2500 partisans l'attendent dans la salle, le candidat centriste prend son temps pour saluer «les gens» installés en terrasse. On lui donne du «Bayrou président». Lui, sourit. À ses cotés, Philippe Douste-Blazy, l'ancien maire de la ville rose, monte le premier sur l'estrade. Séance mea culpa: «Il y a dix ans, quand j'ai amené l'UDF à l'UMP, tu as voulu m'en dissuader. Tu avais raison...», lance, en substance, l'ancien ministre de la Culture au candidat centriste. La salle applaudit.

Lui succédant à la tribune, François Bayrou le remercie. Le message du jour est bien d'apparaitre «comme le candidat du recours». Pour lui, la campagne présidentielle en serait à un «moment crucial». Bien que stagnant dans les sondages entre 12 et 15% d'intentions de vote depuis plusieurs semaines, l'ancien troisième homme de la présidentielle de 2007 pense que les Français vont se fatiguer du «combat de coqs» que se livreraient le PS et l'UMP. Et, ainsi, espère-t-il, se «ressaisir»...

Son nouvel (ancien) ami Philippe Douste-Blazy le dit à sa façon: «Dans la démocratie confisquée de la sarkoland, on ne parle plus de dette». Ce qui fait dire à François Bayrou: «Chercher un avenir à la France, ce n'est pas de remettre à la place de ceux qui sont là aujourd'hui leurs prédécesseurs...» Guettant une réaction de la salle, il reprend: «C'est-à-dire remettre ceux qui les avaient précédés et qui avaient eu les mêmes résultats que ceux qui nous accablent aujourd'hui». À l'applaudimètre, effet réussi. Le ni droite ni gauche est respecté!

L'«illusion» des «affaires de boucheries»

Dénonçant encore, l'«illusion» des «affaires de boucheries» de la campagne présidentielle - où l'on ne parlerait que «halal» depuis des jours -, François Bayrou l'assure encore: «Ces affaires de divisions, nous ne les accepterons pas». «Si on accepte le poison de la division, notre peuple ne pourra se ressaisir», insiste-t-il. Bref, «nous sommes les porteurs de l'unité nationale, qui, seule, nous permettra de nous en sortir». Pour cela, il a encore appelé à «refuser et à combattre la facilité électoraliste». À commencer auprès d'«hommes et de femmes, qui sont aujourd'hui dans la majorité, et qui refusent ces dérives». Dans le public, en arrivant, beaucoup commentaient ou plutôt s'interrogeaient sur l'issue du congrès du Parti radical valoisien de l'après-midi-même, qui a finalement voté un «soutien de principe» à Nicolas Sarkozy.

Évoquants des «pressions», Bayrou poursuit: «Ce n'est pas parce que nous n'avons pas la même carte aujourd'hui dans notre poche que, demain, nous ne pourrons pas être ensemble». Le candidat centriste parle donc de «rassemblement». Comme il l'avait déjà dit jeudi sur France 2, il a répété son rêve d'une France «au-dessus de l'affrontement droite contre gauche»: «Mon espoir est de battre Nicolas Sarkozy au premier tour et François Hollande au second», a-t-il répété. Et de terminer, avant la Marseillaise habituelle: «Oui, il est possible de gagner cette élection présidentielle».
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