Le Blog-Forum de Jamel
Le Blog-Forum de Jamel
Le Blog-Forum de Jamel
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Blog-Forum de Jamel

Air du temps, Libre Expression, Médecine, Culture, Actualités, Politique, Société.
 
AccueilAccueil  PortailPortail  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -55%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
49.99 €

 

 Bayrou croit toujours au second tour

Aller en bas 
AuteurMessage
Jamel
Administrateur
Administrateur
Jamel


Messages : 14896
Date d'inscription : 25/10/2011
Localisation : Lyon

Bayrou croit toujours au second tour Empty
MessageSujet: Bayrou croit toujours au second tour   Bayrou croit toujours au second tour Icon_minitimeVen 9 Mar - 1:30

WEB - GOOGLE - ACTUALITÉ > Présidentielle

Bayrou croit toujours au second tour

Mis à jour le 09/03/2012 à 00:04 | publié le 08/03/2012 à 23:56

Bayrou croit toujours au second tour 021ba0e8-6971-11e1-967f-dacc60c11ed9-493x328
François Bayrou était l'invité de l'émission «Des paroles et des actes».

Le candidat centriste espère sortir du «faux plat» des sondages.

François Bayrou voit deux risques pour la France: le premier serait la «division», le second, l'«illusion». Le premier, donc, serait le fait du président sortant, Nicolas Sarkozy. Le second porté par le socialiste, François Hollande. Invité jeudi soir de l'émission «Des paroles et des actes» sur France 2, le candidat centriste à la présidentielle en a profité pour dénoncer «les sujets plus artificiels les uns que les autres» de ses challengers UMP et PS. Or, s'indigne-t-il, «on ne parle plus de la dette».

À quarante-cinq jours du premier tour, l'ancien troisième homme de 2007 sait que les prochains jours seront décisifs pour relancer sa campagne. Lui-même reconnaissait récemment avoir essuyé un «faux plat» dans les sondages, qui le créditent toujours entre 12 et 15 % d'intentions de vote. Mais c'est «un bon socle», se rassure-t-il. Pour autant, son entourage reconnaît être devant un problème: «François ne parvient toujours pas à transformer sa popularité, qui est forte dans les études qualitatives, en intentions de vote.»

Alors, peut-il encore rebondir? Bayrou répète que sa détermination est intacte et que «rien ne le fera dévier de (sa) route». Ainsi, quand sur le plateau de France 2, on lui demande s'il pourrait, lui aussi, quitter la politique en cas d'échec. «Certainement pas!», répond-t-il, ajoutant n'avoir «jamais envisagé l'échec». Une allusion au chef de l'État, qui, jeudi sur BFMTV-RMC, a annoncé qu'il quitterait la vie politique en cas de défaite en mai. «Lorsque Nicolas Sarkozy s'exprime ainsi, on a l'impression qu'il prépare sa sortie. Il y a quelque chose d'un peu crépusculaire», observe-t-il.

Et il ajoute: «Je ne crois pas que la politique soit une carrière (…). C'est autre chose. Lorsqu'on y croit, c'est un engagement pour défendre un pays et des idées.» Surtout, «l'hypothèse, pour moi, de ne pas être au second tour n'existe pas». Dans le public, Marielle de Sarnez, sa directrice de campagne, Yann Wehrling, porte-parole du MoDem et ancien secrétaire national des Verts, ou encore l'ancien ministre et cofondateur de l'UMP Philippe Douste-Blazy esquissent un sourire. Pour «Douste», la situation serait assez simple: «Dans les sondages, Bayrou est le seul à pouvoir battre Hollande», expliquait-il la veille. Sur Twitter, les Jeunes démocrates notent que leur champion «a mangé du lion».

Oral réussi? Pour ses proches, la force de Bayrou résiderait dans sa «cohérence». Mais, du bout des lèvres, d'autres reconnaissent que «paradoxalement» cette cohérence peut aussi sembler une faiblesse. «Contrairement à d'autres, pour ne citer qu'Hollande, Bayrou n'est pas dans la surenchère de promesses intenables. C'est vrai, peut-être devrait-il être plus dans une démarche de produits d'appel et créer ainsi un buzz positif autour de ses propositions», observe l'eurodéputé Robert Rochefort. D'autres proches voient un début de dynamique dans le soutien, mercredi, de dix-huit sénateurs. Y aura-t-il un mouvement similaire du côté de députés? «Si un sondage donne François à 17 %, nous aurons une réaction en chaîne», estime encore Rochefort. En attendant, jeudi, Bayrou a dévoilé le fond de sa pensée: «Mon espoir n'est pas de rallier Hollande, c'est de battre Sarkozy au premier tour et Hollande au second.» Ce qui ne l'a pas empêché d'envisager, face à son contradicteur PS de la soirée, Manuel Valls, qu'ils puissent un jour se retrouver…

Revenir en haut Aller en bas
https://sidi-bel-abbes.1fr1.net
Jamel
Administrateur
Administrateur
Jamel


Messages : 14896
Date d'inscription : 25/10/2011
Localisation : Lyon

Bayrou croit toujours au second tour Empty
MessageSujet: Re: Bayrou croit toujours au second tour   Bayrou croit toujours au second tour Icon_minitimeVen 9 Mar - 4:22

WEB - GOOGLE - ACTUALITE > Présidentielle 2012

François Bayrou sur France 2 : ce qu'il faut en retenir

Publié le 08/03/2012 | 23:18 , mis à jour le 09/03/2012 | 00:05

Bayrou croit toujours au second tour 383279
François Bayrou était l'invité de "Des paroles et des actes", jeudi 8 mars sur France 2.

Près de trois heures d'émission pour défendre "l'alternative", "la troisième voie", face à la "Sarkolandisation" du débat. François Bayrou était l'invité de "Des paroles et des actes", jeudi 8 mars sur France 2.

Ce qu'il faut retenir de la prestation du candidat centriste.

• L'attaque

Au cours de l'émission, sans surprise, François Bayrou ne cesse de renvoyer dos à dos François Hollande et Nicolas Sarkozy, qui ne traitent à ses yeux "aucun sujet de fond". "Le programme, pour Hollande c'est de battre Sarkozy, et pour Sarkozy c'est de battre Hollande !"

Pour lui, dit-il à plusieurs reprises, ces deux candidats représentent "les deux risques pour la société française" : la "division" pour Nicolas Sarkozy, "l'illusion" pour François Hollande. Et "si vous me demandez droite ou gauche, c'est que vous n'avez rien compris !".

• La phrase

"Vous êtes gonflés à l'hélium !" Voilà comment François Bayrou répond au journaliste Fabien Namias, lorsque celui-ci lui demande s'il espérait recevoir davantage de ralliements. "Hier, vingt sénateurs, des présidents de conseils généraux, se sont publiquement ralliés à ma candidature", ajoute Bayrou, pour éviter de répondre directement à la question.

Quant à son propre ralliement à l'un des deux finalistes entre les deux tours de l'élection présidentielle, le député béarnais refuse de répondre : "Je serai au second tour !", balaye-t-il. Oubliant qu'en juillet dernier, il avait indiqué que "cette fois, il y aura la nécessité de se prononcer au second tour".

• Les propositions

Au cours de l'émission, François Bayrou prend soin de préciser un certain nombre de ses propositions, en particulier celles qui permettront, selon lui, de réduire de 50 milliards d'euros les dépenses publiques (20 concernant l'Etat, 20 concernant la sécurité sociale et 10 les collectivités territoriales).

Promettant de s'attaquer aux niches fiscales, il propose de supprimer la niche Copé (qui permet d'exonérer d'impôt les plus-values réalisées par les entreprises sur la cession de filiales détenues depuis au moins deux ans), de même que la défiscalisation des heures supplémentaires, et souhaite réformer la défiscalisation des intérêts des emprunts contractés pour acheter des entreprises. Ces trois mesures rapporteraient "une petite dizaine de milliards d'euros", et quelque dix autres milliards d'euros seront obtenus par "un rabot" de 15% sur l'ensemble des autres niches fiscales.

Comme il l'avait déjà fait il y a plusieurs semaines, François Bayrou s'est également prononcé en faveur d'une réforme de l'impôt sur la fortune, proposant de revenir sur les allègements fiscaux liés à l'ISF et de l'intégrer dans l'impôt sur le revenu, "pour être juste et progressif".

Remettra-t-il aussi en cause la fameuse règle du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite ? Pas totalement. "Il ne faut pas le faire à l'aveugle", estime-t-il, en proposant de passer plutôt de passer de "un sur deux" à "un sur trois". Quant aux dépenses, François Bayrou a répété que s'il était élu, les dépenses publiques seraient gelées.

• Le temps fort

"Vous défendez le contraire de ce que vous défendiez en octobre dernier !" A l'occasion du duel avec le socialiste Manuel Valls, François Bayrou reproche à ce dernier de soutenir les propositions "coûteuses" de François Hollande, alors même que le député-maire d'Evry affirmait lors de la primaire socialiste qu"on ne pourra pas dépenser un euro de plus".

"Vous ne tiendrez pas vos promesses ! Vous ne ferez pas l[i]es 60 000 créations d'emplois dans l'éducation, vous ne ferez pas les 150 000 emplois jeunes, vous ne ferez pas l'allocation d'autonomie pour les étudiants... Le pays n'a pas les sommes nécessaires pour ce faire. (...) Cette accumulation de promesses ne correspond pas aux réalités du pays."

Justifiant les propositions de François Hollande, Manuel Valls rétorque alors : "Dans votre projet, il n'y a aucun soutien à la croissance. Vous ne pouvez pas présenter uniquement la saignée aux Français ! (...) Votre projet, c'est zéro croissance, zéro espoir." Plus loin, le directeur de la communication de François Hollande enfonce : "Vous avez dit tout à l'heure que Nicolas Sarkozy était le candidat de la division, François Hollande celui de l'illusion. Moi je crois que vous serez celui de la stagnation".

VIDEOS : Emission " Des Paroles et des Actes " du 08 Mars 2012 sur France 2

Invité François BAYROU














Revenir en haut Aller en bas
https://sidi-bel-abbes.1fr1.net
 
Bayrou croit toujours au second tour
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Blog-Forum de Jamel :: Général :: Economie-
Sauter vers: