Syrie : une journaliste américaine et un photographe français tués à Homs
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Jamel Administrateur
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Sujet: Syrie : une journaliste américaine et un photographe français tués à Homs Mer 22 Fév - 10:12
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Syrie : une journaliste américaine et un photographe français tués à Homs
Publié le 22.02.2012, 10h15 | Mise à jour : 10h35
La ville de Homs, siège de la rébellion au régime syrien.
Deux journalistes occidentaux sont morts mercredi matin en Syrie, à Homs, dans le bombardement d'un centre de presse de militants opposés au régime de Bachar al-Assad. Il s'agirait d'une journaliste américaine et d'un photographe français.
« Trois ou quatre autres journalistes étrangers ont été blessés », affirme à l'AFP Omar Chaker, un militant qui se trouvait sur place dans le quartier de Baba Amr.
Le 11 janvier dernier, le grand reporter français Gilles Jacquier a été le premier journaliste occidental tué en Syrie depuis le début de la révolte populaire il y a dix mois. Il a également trouvé la mort à Homs, épicentre de la contestation dans le centre de la Syrie, lors d'un voyage autorisé par les autorités qui restreignent drastiquement les mouvements des journalistes dans le pays. Les circonstances de ce décès demeurent toujours floues.
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Sujet: Re: Syrie : une journaliste américaine et un photographe français tués à Homs Mer 22 Fév - 10:20
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Deux journalistes tués en Syrie, dont un Français
Mis à jour le 22/02/2012 à 10:51 | publié le 22/02/2012 à 10:44
Des Syriens font leur marché dans une ville du nord du pays, près d'Idleb.
Une Américaine et un Français sont morts lors de bombardements sur Homs, mercredi. Depuis mars 2011, au moins 7600 personnes ont perdu la vie, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
• Deux journalistes, français et américains, sont morts
Deux journalistes, Marie Colvin et Rémi Ochlik, ont perdu la vie à Homs, mercredi, lors de bombardements qui ont touché un centre de presse du quartier de Baba Amr.Marie Colvin est une journaliste américaine, envoyée spéciale du Sunday Times. Le photographe Rémi Ochlik, lui, travaillait pour le magazine Paris-Match.
«Trois ou quatre autres journalistes étrangers ont été blessés», a ajouté un militant, Omar Chaker, présent sur place. Parmi ces victimes, une est Française. Elle serait blessée aux jambes.
• Plus de 7.600 morts depuis mars 2011
Plus de 7.600 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans les violences depuis l'éclatement de la révolte en Syrie en mars 2011, a rapporté mercredi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Parmi les victimes figurent 5.542 civils, 1.692 soldats et membres des services de sécurité et près de 400 déserteurs, indique le chef de l'OSDH.
• Dix-neuvième jour de bombardement sur Homs
Les bombardements ont repris mercredi matin sur la ville de Homs. Mardi, au moins 21 personnes ont été tuées et 340 blessées dans les bombardements de l'armée syrienne visant les quartiers rebelles de la ville de Homs, fief de la contestation au régime. Plus de 250 obus et roquettes se sont abattus à Bab Amro. Cette pluie de bombes est l'une des plus intenses à frapper le quartier sunnite tenu par les insurgés. L'hôpital de campagne aurait notamment été touché selon la BBC.
L'armée ne cesse d'avancer vers Bab Amro depuis le lancement de l'offensive contre Homs, le 3 février dernier. Des chars sont désormais déployés dans Inchaat, quartier contigu à Bab Amro. Environ 60% des 100.000 habitants de Bab Amro auraient fui depuis le début des combats. Un des groupes membre de l'opposition syrienne demande une évacuation des femmes et des enfants de cette zone, la plus durement touchée depuis le 3 février.
Le pire reste peut-être à venir. Un convoi de 56 chars et transports de troupes a été vu sur la route entre Damas et Homs, à proximité du village de Qara, suggérant un assaut final à brève échéance.
• Opération militaire meurtrière dans la province d'Idleb
Trente-trois civils ont été tués mardi dans des raids de l'armée syrienne contre plusieurs villages de la province d'Idleb dans le nord du pays, près de la frontière turque. «L'armée a pris d'assaut le village d'Abdita et traqué des habitants d'Iblin et Balchoune», a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
• Une manifestation nocturne réprimée à Damas
A Damas, gagnée par la contestation depuis la semaine passée, les forces de sécurité ont ouvert le feu sur des manifestations nocturnes dans le quartier de Hajar al-Assouad pour les disperser. Ces tirs ont fait quatre blessés. Les protestataires, qui avaient appelé à une «campagne de désobéissance civile à Damas en soutien à Homs et aux villes syriennes sinistrées», ont bloqué les rues menant à la place Baramkeh au centre de la capitale.
• La France veut «faire céder le régime sur l'aide humanitaire»
La France espère des résultats concrets de la conférence vendredi à Tunis sur la Syrie, notamment sur l'accès des organisations humanitaires aux victimes de la répression du régime de Bachar el-Assad. «Nous allons essayer de faire céder le régime sur l'aide humanitaire. La situation est désastreuse dans beaucoup d'endroits, à Homs mais pas seulement», a déclaré le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé sur Canal .
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) avait déclaré lundi mener des pourparlers «confidentiels» avec les autorités et les rebelles pour l'arrêt des hostilités dans les zones les plus affectées pour acheminer une aide humanitaire à la population. Le CICR aimerait obtenir l'observation de pauses quotidiennes d'au moins deux heures. Le chef de l'Armée syrienne libre (ASL), formée de militaires dissidents, s'est dit favorable à une telle requête.
Les États-Unis soutiennent «cet appel à un cessez-le-feu» humanitaire, a déclaré mardi le porte-parole du président Barack Obama, Jay Carney. Ce dernier a aussi déploré que «les actes répréhensibles du régime Assad nous aient mis dans une situation où les produits de base (et) les ressources humanitaires sont très rares» sur le terrain. Les Nations unies avaient déjà réclamé auparavant un accès «sans entrave» de l'aide aux populations dans le besoin.
Jamel Administrateur
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Sujet: Re: Syrie : une journaliste américaine et un photographe français tués à Homs Jeu 23 Fév - 0:41
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Syrie : les deux journalistes auraient été tués délibérément
Publié le 22.02.2012, 10h15 | Mise à jour : 20h06
Rémi Ochlik et Marie Colvin, morts à Homs le mercredi 22 février 2012. Rémi Ochlik et Marie Colvin, les deux journalistes occidentaux tués mercredi matin en Syrie à Homs dans le bombardement de leur centre de presse, auraient été délibérément visés par le régime syrien, révèle le quotidien anglais The Telegraph.
Le journal raconte que dans une conversation radio interceptée par les services de renseignements libanais, des officiers de l'armée syrienne ont donné l'ordre de «tuer n'importe quel journaliste qui mis le pied sur le sol syrien».
Le journaliste français Jean-Pierre Perrin (Libération), qui était encore la semaine dernière au côté de Marie Colvin à Homs, raconte également au Telegraph, qu'ils avaient déjà eu vent de ces menaces. «Il y a quelques jours, nous avons été invités à quitter la ville d'urgence. On nous a dit que si l'armée syrienne nous trouvait, elle nous tuerait. J'ai alors quitté la ville avec Marie, mais elle a fait marche arrière quand elle a vu que la grande offensive n'avait pas encore eu lieu», détaille le reporter de Libération.
Quelques heures avant sa mort, Marie Colvin, qui avait perdu un oeil lors d'un reportage au Sri Lanka en 2001 et portait depuis un bandeau noir, témoignait encore sur la BBC et la chaîne américaine CNN de l'horreur des massacres qui se produisaient sous ses yeux.
«Aujourd'hui, j'ai vu un bébé mourir. Absolument terrible. Il avait seulement deux ans et s'est fait tirer dessus. Le docteur a dit qu'il ne pouvait rien faire. Et ce genre d'événements revient quotidiennement. Ici, personne ne comprend pourquoi la communauté internationale ne fait rien», témoigne pour la dernière fois, Marie Colvin. VIDEO. Le dernier reportage de la journaliste avant sa mort (Attention, certaines images peuvent heurter les personnes sensibles)
Pour Jean-Pierre Perrin, pas de doute. Le régime de Bachar al-Assad connaissait bien l'existence de ce centre de presse, d'où les journalistes envoyaient leurs sujets. «Les Syriens savaient que, s'ils le détruisaient, il n'y aurait plus d'informations sortant de Homs», dénonce encore le journaliste français au Telegraph.
Dans la soirée, le ministre des affaires étrangères, Alain Juppé est allé dans ce sens. Au cours d'un point presse, il a accusé le gouvernement syrien d'être «responsable et comptable de la mort des journalistes». «La France tient les autorités syriennes responsables et comptables de la mort des deux journalistes tués à Homs.
Damas nous doit une réponse», a exigé Alain Juppé.
Le ministre syrien de l'Information, Adnane Mahmoud, lui, assure au contraire que les autorités de Damas n'étaient «pas au courant» de la présence à Homs de ces journalistes.
Rémi Ochlik, un photographe de guerre aguerri
Avec Marie Colvin, le photographe français Rémi Ochlik, 28 ans est lui aussi tombé sous les bombardements. Plus jeune que la journaliste américaine mais tout aussi aguerri, Ochlik avait couvert les évènements en Haïti et au Congo, ou plus récemment les révolutions en Egypte ou en Libye.
Un travail qui lui avait valu plusieurs récompenses. Jeune prodige du photojournalisme, Rémi était aussi l'un des co-fondateurs de l'agence photo française IP3 Press.
Il était retourné seul la semaine dernière en Syrie, où il décrivait encore mardi soir une «situation incroyablement tendue et désespérée» dans un mail adressé au rédacteur en chef photo de Paris Match.
«Il n'était pas pour nous à Homs, il est reparti là-bas comme indépendant, explique Guillaume Clavières, rédacteur en chef photo de l'hebdomadaire. Il était parti il y a quinze jours en Syrie avec l'un de nos reporters, Alfred de Montesquiou, mais on les a fait rentrer la semaine dernière. Rémi est reparti tout seul ».
«Ils ont été poursuivis alors qu'ils essayaient d'échapper aux bombardements»
Dans la matinée, François Hollande a fait part dans un communiqué de sa «très grande émotion» à l'annonce de la mort du jeune photographe. «Cette disparition me touche d'autant plus que Rémi Ochlik, qui était accrédité auprès de la campagne, était encore parmi nous il y a quelques jours», a déclaré le candidat socialiste à la présidentielle.
A l'ouverture de la séance, le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer a lui aussi tenu à rendre hommage à Rémi Ochlik, «souvent ici dans cet hémicycle pour suivre nos travaux».
«C'est absolument bouleversant. C'est terrible, confie pour sa part, le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand. Ils ont en plus été poursuivis alors qu'ils essayaient d'échapper aux bombardements».
Mercredi matin, un obus est tombé sur la maison où se trouvaient Marie Colvin et Rémi Ochlik. Des roquettes les auraient ensuite frappés alors qu'ils tentaient de fuir. D'autres journalistes, dont la Française Edith Bouvier, reporter au Figaro, présents dans l'immeuble au moment de l'attaque, ont été légèrement blessés. Dans une vidéo diffusée mercredi après-midi sur Youtube, on voit la journaliste du Figaro au côté d'un confrère, Paul Conroy, prise en charge dans un hôpital de Baba Amr à Homs.
Gilles Jacquier tué à Homs le 11 janvier
Les événements de la matinée portent désormais à trois le nombres de reporters morts en Syrie depuis le début de la révolte contre le pouvoir syrien. Le 11 janvier dernier, le grand reporter français Gilles Jacquier avait trouvé la mort à Homs lors d'un voyage autorisé par les autorités. Les circonstances de ce décès demeurent toujours floues.
Au total, plus de 7 600 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans les violences depuis mars 2011, selon un décompte de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme. Parmi eux, des centaines de personnes ont péri dans le bombardement incessant de plusieurs quartiers de Homs, assiégés et coupés du monde.
Nicolas Sarkozy a réagi mercredi à la mort en Syrie des deux journalistes, alors qu'il s'apprêtait à rencontrer les parlementaires de la majorité près de son QG de campagne, dans le XVe arrondissement. «Ca montre combien la liberté d'informer est importante et combien le métier de journaliste peut être difficile et dangereux.» Le président-candidat a ajouté : «Ca montre que maintenant ça suffit, ce régime doit partir il n'y a aucune raison que les Syriens n'aient pas le droit de vivre leur vie, de choisir leur destin librement».
Jamel Administrateur
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Sujet: Le corps de Rémi Ochlik remis à l'ambassade de France Dim 4 Mar - 3:55
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Le corps de Rémi Ochlik remis à l'ambassade de France
Mis à jour le 03/03/2012 à 22:11 | publié le 03/03/2012 à 15:46
Rémi Ochlik pris en photo alors qu'il couvrait la révolution tunisienne. En marge de la répression qui se poursuit, les corps des journalistes tués fin février ont été remis à leurs ambassades respectives en vue de leur rapatriement.
• Les corps de Rémi Ochlik et Marie Colvin remis aux ambassades
L'une des ambulances transportant les corps des journalistes.
Les corps des deux journalistes décédés le 22 février dans un bombardement à Homs ont été remis par les autorités syriennes aux ambassades de France et de Pologne, qui représente les intérêts des États-Unis en Syrie.
L'ambassadeur de France à Damas, Eric Chevallier, est monté à bord d'une ambulance où se trouvait la dépouille de Rémi Ochlik, tandis qu'une voiture de l'ambassade de Pologne accompagnait une deuxième ambulance transportant le corps de Marie Colvin. Les deux ambulances se sont dirigées vers l'Hôpital français dans le quartier de Kassa à Damas. Les cercueils demeureront dans une chambre froide jusqu'à ce qu'ils soient rapatriés à bord d'un avion vers Paris.
Les dépouilles des deux journalistes avaient été enterrées en début de semaine par les insurgés syriens dans un cimetière de la ville de Homs. «Nous ne pouvons pas garder davantage les corps faute d'électricité pour les réfrigérateurs. Nous avons décidé de les inhumer ici, dans un cimetière de Baba Amr», déclarait un médecin syrien dans une vidéo montrant les corps avant leur mise en terre.
Le quartier de Baba Amr étant désormais sous le contrôle de l'armée régulière syrienne, les autorités du pays ont pu partir à la recherche des corps des deux journalistes. Ces derniers ont été retrouvés vendredi, puis identifiés par les ambassadeurs français et polonais.
La justice française a ouvert le même jour une enquête pour le meurtre du photographe et pour tentative de meurtre sur la journaliste Edith Bouvier, qui a pu rejoindre vendredi le Liban puis la France au terme de quatre jours de voyage à haut risque.
• La Croix Rouge toujours interdite d'accès à Babar Amr
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et le Croissant rouge arabe syrien (CRAS) négocient toujours avec les autorités syriennes pour pouvoir pénétrer dans le quartier rebelle de Baba Amr et venir en aide aux blessés.
«Aucune équipe n'est entrée vendredi à Baba Amr et (les autorités) n'ont pas autorisé l'entrée des aides. Nous sommes toujours en négociation», a affirmé le porte-parole du CICR à Damas. Cet officiel a démenti de précédentes déclarations faisait état de l'entrée d'une équipe de la Croix Rouge dans le quartier, mais sans avoir pu prodiguer de soins. «Cette personne n'est pas autorisée à parler au nom du CICR», a rétorqué le porte-parole de l'organisation.
Les autorités syriennes interdisent l'accès à Baba Amr aux organisations humanitaires pour des raisons de sécurité. Cette attitude a été dénoncée par le ministre turc des Affaires étrangères qui évoque «un crime» de la part de la Syrie. «Maintenant nous, la communauté internationale (...) devons défendre les valeurs internationales. Et alors que de telles atrocités se poursuivent (en Syrie), le fait que l'on empêche l'aide internationale d'entrer et que l'on refuse l'accès aux responsables de l'Onu constitue un autre crime», a-t-il dit devant la presse à Istanbul, rapporte l'agence de presse Anatolie.
• Une explosion fait deux morts à Deraa
Au moins deux civils ont été tués et 20 personnes blessées samedi matin dans un attentat qualifié de suicide par les autorités dans la ville de Deraa, selon l'agence officielle syrienne Sana. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a rapporté de son côté que «deux civils sont morts et plusieurs autres blessés dans une explosion dans la ville de Deraa», sans préciser la nature de l'explosion.
Quinze autres personnes, en majorité des civils, ont également perdu la vie au cours de la journée. Dans la province d'Idleb (nord-ouest), six civils ont été tués dont trois à l'aube par l'explosion d'une bombe dans leur voiture, deux par des tirs à partir d'un bus militaire près de Sarakeb et un par des tirs depuis un barrage près de Maaret al-Nooman, selon l'OSDH. D'après la même source, un civil et un déserteur ont été tués dans des combats dans la localité d'Atareb, dans la province d'Alep (nord).
Dans le sud du pays, des déserteurs ont lancé une attaque à Hrak contre des véhicules militaires qui avaient pris d'assaut la localité. Au moins six soldats ont été tués et neuf autres blessés dans les combats, en marge desquels un civil est mort.
• La Chine demande l'arrêt des violences
La Chine appelle le gouvernement syrien et les autres «parties concernées» à cesser les violences, et elle s'oppose à toute ingérence étrangère en Syrie sous des prétextes «humanitaires», a indiqué dimanche l'agence Chine nouvelle, citant le ministère des Affaires étrangères. L'agence de presse officielle rapporte que le ministère a publié un communiqué d'un haut responsable, dont le nom n'est pas cité, qui appelle à un dialogue entre le pouvoir syrien et ceux qui expriment «des aspirations politiques». «Dans le communiqué, le haut responsable presse le gouvernement syrien et les parties concernées de cesser immédiatement, complètement et inconditionnellement tous les actes de violence, particulièrement les violences contre des civils innocents», indique Chine nouvelle.
Le communiqué souligne par ailleurs que la Chine est opposée à toute ingérence étrangère en Syrie. «La Chine désapprouve toute intervention armée ou toute pression pour un 'changement de régime' en Syrie», déclare le haut responsable cité par l'agence. «Nous nous opposons à ce que quiconque intervienne dans les affaires intérieures de la Syrie sous prétexte de questions 'humanitaires'», dit-il.
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