Baba Ahmed en visite de travail à SBA

Ouest-Tribune Le Premier Quotidien de l'Oranie



Baba Ahmed en visite de travail à Sidi Bel-Abbès

Plusieurs infrastructures inaugurées

Le ministre de l’education M. Abdelatif Baba Ahmed, s’est rendu en fin d’après-midi de mardi à Sidi Bel-Abbès pour une courte visite de travail.

C’est vers quinze heures trente, que le ministre entama sa visite avec l’inauguration du nouveau lycée Ahmed Ben Bella, sis à la rocade sud et qui a ouvert ses portes lors de la rentrée scolaire 2013/2014. Un lycée qui a coûté plus de 61 milliards de centimes, y compris le bâti et l’équipement en partenariat avec une entreprise du Golf. Le ministre s’est entretenu avec l’ensemble du staff pédagogique, avant de suivre les réalisations de son secteur à Sidi Bel-Abbès, énoncées par le directeur de l’Education Redouane Kheddam. Ce dernier cita la réalisation de 36 écoles primaires, 29 CEM, 19 lycées et 31 demi-pensions entre la période allant de 1999 à 2013. Ce qui porte les chiffres actuels à 276 écoles primaires, 93 CEM et 39 lycées à travers toute la wilaya. Durant sa rencontre avec les lycéens et lycéennes de cet établissement, le ministre a dit: «je constate que les filles sont plus brillantes que les garçons et je vous conseille de persévérer dans vos études. N’écoutez pas les paroles de ceux qui disent, que l’enseignement ne mène à rien». Le ministre se dirigea ensuite vers l’école primaire Ahmed Talbi, où il a été reçu par des chants «One, two, tree, viva l’Algérie».

Des voix d’écoliers venus l’accueillir en cet après-midi de mardi, synonyme de repos. L’étape suivante fut le lycée Zeddour Brahim et sa salle d’informatique, suivie de deux opérations d’inauguration. D’abord, le CEM Gharbi Abdelkader, du quartier Sidi Djillali et la maison dite de repos de l’enseignant, qui était l’ultime escale pour cette courte visite. En marge de sa tournée d’inspection, Baba Ahmed Abdelatif s’adressa à la presse et déclara: «pour la session du baccalauréat de juin 2014, il n’y aura pas de rachat, ni de seconde session. C’est vrai qu’il y a une commission qui travaille dans ce cadre, mais avant de prendre telle décision, nous devons consulter nos partenaires et surtout les parents d’élèves». Pour le cas de l’examen de la cinquième, Baba Ahmed finit par conclure: «je constate, que le pourcentage de la réussite de la 5ème est très élevé, entre 80 et 90%. Donc, au lieu de poursuivre avec la deuxième session de la 5ème, on préfére que l’élève qui échoue redouble cette cinquième année primaire au lieu qu’il refasse l’année en première année moyenne».