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 Hollande va tenter de dissiper un doute grandissant

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: Hollande va tenter de dissiper un doute grandissant   Hollande va tenter de dissiper un doute grandissant Icon_minitimeJeu 16 Mai - 8:40

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Hollande va tenter de dissiper un doute grandissant

Mis à jour le 16/05/2013 à 08:30 - Publié le 15/05/2013 à 19:52

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François Hollande, lors de sa première et dernière conférence de presse à l'Élysée, le 13 novembre 2012.

Le chef de l'État tient ce jeudi la deuxième conférence de presse de son quinquennat, alors que la crise s'aggrave en France.

C'était il y a six mois. «J'ai fait mes choix. Je m'y tiens, sans avoir à prendre je ne sais quel changement ou quel ­virage.» Lors de la première conférence de presse de son quinquennat, le 13 novembre, François Hollande défendait les orientations de son gouvernement avec confiance. Il lançait la bataille pour la compétitivité économique du pays. Mais le chef de l'État était déjà impopulaire et la crise, profonde. «La seule question qui vaille, ce n'est pas l'état de l'opinion aujourd'hui, mais l'état de la France dans cinq ans», ajoutait-il. Six mois plus tard, est-il capable d'utiliser les mêmes mots avec la même assurance? Un an après sa victoire électorale, François Hollande tient jeudi, comme il s'y était engagé, sa deuxième conférence de presse. «Six mois, ça arrive vite», a-t-il plaisanté mercredi en Conseil des ministres.

Le décor sera le même: les ministres seront installés non loin du pupitre d'où le chef de l'État prononcera un propos introductif avant de répondre aux questions des journalistes. En Conseil des ministres, il n'a rien dévoilé de ce qu'il comptait dire. Mais son objectif est identique: répéter que les réformes sont en cours et rassurer sur le sens de son action.

La situation a empiré, pourtant. Mercredi, la France est entrée en récession et l'Insee a calculé une baisse record du pouvoir d'achat. La cote de popularité de François Hollande s'est enlisée au plus bas. Les retours du terrain «sont dures», dit-on à l'Élysée. «Le mot “déception” revient souvent», raconte un ministre après ses tournées auprès des électeurs. La gauche du PS a lancé l'offensive contre la «politique d'austérité». La récession est «la faute de François Hollande», accuse le Front de gauche, sur le même ton que l'UMP. «Le président de la République porte sa part de responsabilité personnelle dans l'aggravation de la situation économique de notre pays», assure Jean-François Copé. Au sein de la majorité, on s'interroge. L'ancienne candidate à la présidentielle Ségolène Royal s'est faite la porte-parole de ces critiques, en relayant cette semaine «le sentiment que du temps a été perdu».

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Le plus dur est à venir, mais François Hollande veut convaincre qu'il est sur la bonne voie. En attendant les résultats.
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L'entourage du chef de l'État assure qu'il «assumera», lors de sa conférence de presse, ses choix politiques. «La situation économique est grave, rien ne sert de la minimiser», a expliqué François Hollande à ses ministres mercredi, en commentant les mauvais chiffres du jour. Mais elle est «moins profonde que celle connue en 2008-2009», a-t-il ajouté, selon des propos rapportés par la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem. «La panne de la croissance concerne l'Europe tout entière», a-t-il ajouté, comme pour se dédouaner. Mercredi, il s'est ensuite rendu à Bruxelles pour rencontrer les membres de la Commission européenne. Le chef de l'État a donné des gages de sa volonté de réforme. «En France, nous avons engagé des réformes de compétitivité et nous allons continuer, non parce que l'Europe nous le demanderait mais parce que c'est l'intérêt de la France», a-t-il déclaré.

Le plus dur est à venir, mais François Hollande veut convaincre qu'il est sur la bonne voie. En attendant les résultats, le doute s'installe. «Il faut donner de l'espoir», explique un ministre qui, optimiste, ajoute que «c'est plus facile maintenant» qu'il y a un an. Encore faut-il être entendu et cru.

«Le contexte n'est pas facile», admet un proche du chef de l'État en citant les principaux chantiers qui attendent l'exécutif: réforme des retraites, de l'assurance-chômage, des allocations familiales et de la formation professionnelle. «Toutes ces réformes sont dures. La gauche est amenée à faire ces choses difficiles. Elle doit le faire avec le plus de justice possible. Mais ce sont des tâches que la gauche aurait préféré ne pas avoir», explique-t-on, sans oublier de rappeler les propos de Nicolas Sarkozy assurant qu'il réglerait la question des retraites… À l'Élysée comme au sein de la majorité, on renvoie la droite à son bilan pour récuser ses accusations.

Mais un an après son élection, François Hollande peut déjà être jugé sur ses décisions. L'opinion est sceptique. À la recherche d'un second souffle? Attention à ne pas trop chercher la formule de communication. «Je ne crois pas trop à cela», explique un proche du chef de l'État. On espère néanmoins dans la majorité qu'une autre étape puisse s'ouvrir. Le délai de deux ans obtenu par la France pour réduire son déficit peut en fournir l'impulsion. Certains voient d'ailleurs une inflexion dans l'insistance du président à parler de plus en plus de «croissance» et un peu moins de rigueur budgétaire. «La ligne a bougé», estime une députée.

À l'Élysée, on est convaincu qu'il n'existe qu'une ligne possible. «Notre politique est la seule qui restaure notre crédibilité», assure un proche collaborateur du chef de l'État en admettant qu'il s'agit «d'un petit corridor pas glamour». François Hollande devra se montrer très pédagogue pour l'expliquer.
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