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 Hollande privilégie une victoire d'Obama

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: Hollande privilégie une victoire d'Obama   Hollande privilégie une victoire d'Obama Icon_minitimeMar 6 Nov - 9:39

WEB - GOOGLE - ACTUALITÉ > Election Américaine

Hollande privilégie une victoire d'Obama

Mis à jour le 05/11/2012 à 19:16 | publié le 05/11/2012 à 16:17

Hollande privilégie une victoire d'Obama 868a305c-274d-11e2-9da2-88d9353874c5-493x328
François Hollande, le 9 octobre, à Paris.

Le chef de l'État français table sur un réengagement américain en cas de victoire du président sortant.

À la veille de l'élection américaine, François Hollande, ne dévoilera pas, bien évidemment, son «vote». Mais on peut parier, sans se tromper, sur son choix qui le porte naturellement vers Barack Obama. Ses ministres et le premier d'entre eux, Jean-Marc Ayrault, n'ont pas caché la prédilection du gouvernement français pour le camp démocrate. Certes, Nicolas Sarkozy restera sans doute comme «le plus pro-américain des présidents français», ainsi qu'on l'a qualifié à Washington. Mais son successeur s'est inscrit d'emblée dans le même fil d'une «alliance sans alignement». Le nouveau «couple» franco-américain est globalement dans la continuité du précédent. Le style mis à part, bien sûr. «François Hollande n'est pas un président de l'ego, il n'est pas dans la rivalité puérile», commente-t-on sans ambages à l'Élysée.

Sitôt élu, François Hollande s'était rendu à Washington, pour rencontrer son homologue à la Maison-Blanche, puis au sommet de l'Otan, à Chicago. Des pommes de discorde potentielles - comme le retrait français anticipé d'Afghanistan - ont été gérées en douceur. Et les deux hommes se sont retrouvés sur le thème de la croissance. Même «proximité sans surenchère», dit-on autour de François Hollande, sur la Syrie, l'Iran ou le Sahel. Depuis l'été, les échanges à haut niveau ont été bon train: Paul Jean-Ortiz, le «sherpa» du chef de l'État, s'est rendu à Washington et John Brennan, conseiller de Barack Obama pour la lutte antiterroriste, était récemment à Paris.

Une réélection d'Obama ouvrirait une nouvelle page. Des paramètres tels que la reprise économique aux États-Unis, les marges de manœuvres ouvertes par deuxième mandat à la Maison-Blanche, l'éventuel réengagement américain dans les crises (Iran, Proche-Orient…) marqueront de leur empreinte la relation bilatérale au cours des quatre prochaines années. François Hollande en a convenu, lundi depuis Vientiane, au Laos, en commentant l'«hypothèse» d'une victoire d'Obama. «S'il l'emporte, il y aura un rendez-vous très important qui est le mur de la dette», a dit le président français. «Comment fera-t-il pour renégocier au Congrès? Romney dit qu'il a une majorité. Obama en aura-t-il une?», s'est interrogé le président de la République en estimant que «s'il passe cette échéance, il y aura une croissance plus forte aux États-Unis».

«Diriger depuis l'arrière»

«Obama réélu, il aura moins de contraintes, mais il ne prendra sans doute pas de grandes initiatives structurelles», estime Justin Vaïsse, directeur de recherche à la Brookings Institution de Washington. Selon lui, le président démocrate continuera ses efforts pour réorienter le leadership américain vers la région Asie-Pacifique. Une poursuite du «pivot» qui aura des incidences nettes pour l'Europe et la France. «Pour Obama, l'essentiel est de consacrer les atouts de l'Amérique à ce qu'il juge important et ne pas se laisser happer par les crises, au Moyen-Orient, ou de nouvelles guerres…», souligne Justin Vaïsse.

L'Europe serait donc appelée à en faire davantage en vertu du principe, non-avoué à la Maison-Blanche, du «leadership from behind» («diriger depuis l'arrière»), appliqué en Libye. Une guerre qui n'a coûté aux États-Unis qu'un milliard de dollars, contre deux milliards par semaine en Afghanistan… «L'an prochain, nous aurons de nouveaux interlocuteurs, notamment après le départ annoncé d'Hillary Clinton, mais les priorités resteront les mêmes», se rassure-t-on à l'Élysée. À moins qu'une autre option se présente, celle d'une victoire de Mitt Romney qui pourrait provoquer une nouvelle mise sous tension du duo franco-américain.
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