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 Ayrault : le rejet du traité européen entraînerait «une crise politique»

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: Ayrault : le rejet du traité européen entraînerait «une crise politique»   Ayrault : le rejet du traité européen entraînerait «une crise politique» Icon_minitimeMar 2 Oct - 17:17

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Ayrault : le «rejet» du traité européen entraînerait «une crise politique»

Publié le 02.10.2012, 16h37 | Mise à jour : 19h02

Ayrault : le rejet du traité européen entraînerait «une crise politique» 2198009_ayrault_640x280
Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a prononcé, devant les députés ce mardi, un plaidoyer en faveur de la ratification du traité budgétaire européen.

«J'entends les doutes, certains bruyants, d'autres silencieux. Je compte parmi les hésitants quelques amis.» A ces doutes, Jean-Marc Ayrault a tenté de répondre, ce mardi à l'Assemblée nationale. Avec un objectif affiché, convaincre les plus récalcitrants de ratifier le traité budgétaire européen. C'est donc bien un plaidoyer qu'a prononcé le Premier ministre à l'Assemblée nationale, alors que des députés de gauche comptent s'y opposer. Avec cette mise en garde : «La conséquence d'un rejet, d'un refus de la ratification, ce serait une crise politique et l'effondrement de l'union monétaire.»

Le traité n'entamera pas «la souveraineté» de la France


Dans son discours, le chef du gouvernement a tenté de rassurer «les parlementaires les mieux disposés (qui) ont pu s'inquiéter de l'introduction d'un carcan constitutionnel» : le traité n'entamera pas «la souveraineté» de la France. «La souveraineté budgétaire restera au parlement de la République française», a affirmé le chef du gouvernement. «Nulle règle d'or ne sera inscrite dans la loi fondamentale», a-t-il insisté, soulignant que «ce n'est pas le traité qui nous impose l'équilibre des comptes publics, c'est notre volonté».

Selon lui, «le traité lui-même ne comporte aucune contrainte sur le niveau de la dépense publique». «Il n'impose pas davantage de contrainte sur sa répartition. Il ne dicte en rien la méthode à employer pour rééquilibrer les comptes publics», a renchéri le locataire de Matignon alors que le texte reprend la «règle d'or» imposant aux 25 Etats signataires de ne pas dépasser, à moyen terme, un déficit «structurel» égal à 0,5% du PIB.

Ayrault : «Allons-nous conforter cette réorientation ou casser un élan nouveau?»


En première ligne, le Premier ministre, qui a invoqué l'histoire de la construction européenne - permettant «à nos vieux pays divisés» de renouer «avec l'entente et la paix» - a insisté sur l'enjeu. Alors que s'ouvrent les débats à l'Assemblée en vue de la ratification du texte, Jean-Marc Ayrault a jugé que «c'est sur la réorientation de l'Europe» que les députés ont à se prononcer. «Cette étape est-elle nécessaire pour que s'enchaînent les suivantes? Ma réponse est oui», a-t-il insisté prévenant que le refus sur traité aurait de bien funestes conséquences.

«L'Europe s'est remise en mouvement. La ratification du traité n'est qu'une première étape. Nous devons la franchir pour aller plus loin», a poursuivi le chef du gouvernement qui en a profité pour mettre en valeur le rôle joué par François Hollande. Tandis que, soulignent certains, ce texte est identique à celui qui a été négocié entre la chancelière allemande, Angela Merkel, et l'ancien président Nicolas Sarkozy, Jean-Marc Ayrault a affirmé : «L'Europe telle que nous l'avons trouvée n'était pas sur la bonne voie. Oui, il était nécessaire de modifier sa course. Oui, le président de la République y est parvenu.»

Reste, selon lui une question : «Allons-nous conforter cette réorientation ou casser un élan nouveau?» «Ne passons pas à côté de cette chance historique», a-t-il conclu. Le traité devrait toutefois être ratifié sans problème. Les députés PS et ceux de l'opposition de droite ont l'intention de voter pour, à... une poignée d'exceptions près.

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