Jamel Administrateur
Messages : 14896 Date d'inscription : 25/10/2011 Localisation : Lyon
| Sujet: Les regrets de Valérie Trierweiler Mer 20 Juin - 6:46 | |
| WEB - GOOGLE - Actualité > Elections Législatives 2012 Les regrets de Valérie Trierweiler
Publié le 20.06.2012, 07h24 Valérie Trierweiler regrette d’avoir soutenu publiquement Olivier Falorni, le rival de Ségolène Royal. Ses impressionnants escarpins et son élégant brushing ne feront pas les délices de la presse mexicaine, comme ils avaient marqué les esprits outre-Atlantique. Cette fois, Valérie Trierweiler n’a pas fait le déplacement au G 20 avec son compagnon (lire ci-dessus). Une absence qui intervient après la tempête conjugalo-électorale que la première dame a déclenché en une phrase tapotée sur le clavier de son smartphone pour soutenir Olivier Falorni, l’adversaire de Ségolène Royal à La Rochelle, élu député depuis.
Dans l’entourage de la journaliste, on balaie d’un revers de main les rumeurs que provoque cette absence. Si la première dame n’est pas au Mexique, c’est tout simplement qu’elle avait prévu, bien avant le « tweetgate », de rester aux côtés de ses deux enfants qui passent leur bac cette semaine. Ses proches l’assurent, il n’a d’ailleurs jamais été question qu’elle se rende à Los Cabos. Hier, elle a passé la journée à l’Elysée pour travailler. Autre effacement très remarqué : la notice biographique de la première dame a disparu du site Internet de la présidence de la République. Là encore, rien de grave, assure-t-on au Château. Une nouvelle mouture est en cours de rédaction et sera publiée prochainement. Quelque chose a changé, toutefois, depuis une semaine. Très discrète, absente même ces derniers jours, Valérie Trierweiler reste dans l’ombre. Plus question de parler officiellement à la presse (du moins pour l’instant). L’affaire du tweet a fait des dégâts. « J’ai commis une erreur », a confié la première dame à une de ses amies. Même la défaite de sa rivale ne lui a pas mis de baume au cœur. Elle regrette aujourd’hui d’avoir encouragé publiquement Olivier Falorni. En tout cas de cette façon. « Elle n’a pas bien calculé les conséquences que son tweet aurait sur l’autorité du chef de l’Etat, sur le PS, sur ses enfants et ceux de François Hollande », témoigne un ami qui se désole que certains l’aient considérée comme une quasi « criminelle » pour un message de cent trente-cinq signes. « Le tweet n’a pas eu d’incidence sur le score final à La Rochelle. Au plan national, le PS a obtenu la majorité absolue et n’a pas perdu quarante sièges, comme le prédisaient certains observateurs. Mais Valérie est quand même anéantie. Elle s’en veut d’avoir donné une image négative », poursuit ce confident. L’explication avec François Hollande a été orageuse. « Il était furieux, glisse pudiquement un de ses proches. Il est clair que cela ne pourra pas se reproduire. » Pourtant fine connaisseuse des rouages médiatiques, la journaliste ne s’attendait pas à une telle tempête. Et, bien qu’elle trouve les réactions disproportionnées, elle a promis d’être plus prudente à l’avenir. Une réserve dont elle compte faire preuve, y compris dans les chroniques littéraires qu’elle va poursuivre dans « Paris Match ». Demain, dans les colonnes de l’hebdomadaire, point de portrait en creux d’elle-même, comme avec la récente biographie d’Eleanor Roosevelt, first lady américaine et journaliste, mais un article sur le dernier roman d’Amanda Sthers… « Rompre le charme ». Quant à son compte Twitter, malgré le scandale, elle n’a pas l’intention de le fermer. | |
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