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 Sécurité et immigration : une gestion délicate pour Valls

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Jamel
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MessageSujet: Sécurité et immigration : une gestion délicate pour Valls   Sécurité et immigration : une gestion délicate pour Valls Icon_minitimeVen 18 Mai - 10:17

WEB - GOOGLE - ACTUALITE > Sécurité

Sécurité et immigration : une gestion délicate pour Valls

Mis à jour le 18/05/2012 à 10:38 | publié le 17/05/2012 à 20:12

Sécurité et immigration : une gestion délicate pour Valls 6c93e5a2-a01c-11e1-9456-9e21a1af4100-493x328
Manuel Valls arrive, jeudi, à l'hôtel Beauvau, pour la passation de pouvoirs avec son prédécesseur, Claude Guéant.

Le nouveau ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a annoncé qu'il voulait rompre avec la «politique du chiffre» des années Sarkozy.

«Réalisme», «pragmatisme», «fermeté et humanité». Verra-t-on refleurir les mêmes termes sous un gouvernement socialiste en 2012 que lors du congrès de Villepinte qui devait marquer en 1997 la «conversion sécuritaire» de la gauche? À l'heure où Manuel Valls prend ses quartiers Place Beauvau, François Hollande a déjà tracé, dans son programme présidentiel, quelques pistes en matière de sécurité et de justice.

Même si «aucun sujet structuré de réflexion majeure n'émerge», estime le criminologue Alain Bauer, qui inspira fortement la politique de Nicolas Sarkozy ces dix dernières années, le nouvel hôte de l'Élysée a promis de créer 10.000 postes de gendarmes et de policiers en cinq ans, avant d'ajouter dans ce total les places à créer également dans la justice, pour les magistrats et les greffiers. «10.000 places, c'est ce qu'a coûté à toutes ces institutions la mise en place des 35 heures…», rappelle perfidement un cadre de l'UMP.

Si Hollande veut créer des «zones de sécurité prioritaires», la «police de proximité» n'est plus dénommée ainsi dans le projet PS. On l'appelle désormais «police de quartier». Et si elle reste valable sur le principe, aux yeux du PS, elle n'ira pas de pair avec la «politique du chiffre» des années Sarkozy, tant décriée par la gauche.

Inévitables objectifs

Ancien directeur général de la police nationale sous Jospin, le préfet Patrice Bergougnoux, qui reviendra en force dans les réflexions de son camp, en dévoile déjà les raisons dans son livre L'Intérieur, paru en février: «Les statistiques mensuelles que l'on s'évertue à produire n'ont pas une grande signification si l'on veut bien admettre que seul le long terme permet de dégager des tendances chargées d'un véritable sens.»

Exit donc le petit cérémonial de la transparence, à chaque début de mois, et même la grand-messe statistique ordonnée chaque année dans le salon d'honneur du ministère. Depuis deux ans environ, il est vrai que les contorsions auxquelles se livraient les directeurs généraux de la police et de la gendarmerie pour présenter des bilans positifs commençaient à faire sourire les spécialistes…

Mais piloter la Place Beauvau ne se fera pas sans des instructions claires et un minimum de rigueur dans la réalisation des inévitables objectifs que devront fixer les grands patrons de la sécurité nationale. Sauf à prendre le risque de voir les résultats se dégrader à grande vitesse.

Le rapprochement police-gendarmerie réalisé sous Sarkozy n'ira pas plus loin. Les GIR seront peut-être maintenus. Un équilibre fin devra être trouvé en matière d'expulsion des clandestins, sauf à créer un gigantesque appel d'air pour les ressortissants des pays en crise, à commencer par ceux des révolutions arabes.

En tout état de cause, un grand préfet le dit: «À Beauvau, ce sont les événements qui dictent.» C'est dans l'épreuve que se révèle un grand ministre de l'Intérieur. Et les épreuves ne manqueront pas à Manuel Valls…



Dernière édition par Jamel le Mer 23 Mai - 9:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Malaise dans la police : Valls opposé à la présomption de légitime défense   Sécurité et immigration : une gestion délicate pour Valls Icon_minitimeVen 18 Mai - 10:37

WEB - GOOGLE - Actualité > Seine-et-Marne

Malaise dans la police : Valls opposé à la présomption de légitime défense

Publié le 17.05.2012, 16h49 | Mise à jour : 18.05.2012, 08h25

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Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis), jeudi. Au soir de son entrée en fonction comme ministre de l'Intérieur, Manuel Valls s'est rendu au commissariat de la rue de Neuilly, d'où est parti le mouvement de grogne des policiers après mise en examen d'un de leur collègue.

Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a immédiatement tenté de répondre au récent malaise dans la police, lors d'une visite symbolique jeudi au commissariat de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis), quelques heures après sa prise de fonctions place Beauvau. Le ministre a conclu sa première sortie sur le terrain par une rencontre avec les policiers du commissariat de Noisy-le-Sec, dont l'un des gardiens de la paix a été mis en examen pour homicide volontaire, le 25 avril, après avoir tué un malfaiteur en fuite.

Cette affaire avait été le point de départ de manifestations de policiers, inquiets du risque encouru par les agents de perdre leur salaire en cas d'interdiction d'exercer pendant une procédure judiciaire. Au commissariat de Noisy, après s'être entretenu à huis clos avec des fonctionnaires et des syndicalistes policiers, le ministre a annoncé une mission de réflexion sur leur protection juridique, l'un des problèmes soulevés par la mise en examen du gardien de la paix.

«Des experts reconnus et incontestables»


«J'ai entendu et compris l'émotion qui traverse les rangs de la police», a déclaré M. Valls, devant la presse, devant le commissariat. «Je serai inflexible dans la sanction des fautes professionnelles», a-t-il prévenu, avant de préconiser «une réflexion approfondie» sur «les mécanismes qui touchent à la protection fonctionnelle des policiers». «Dans les prochaines heures, les prochains jours, je demanderai à des experts reconnus et incontestables et, pour certains d'entre eux indépendants vis-à-vis du ministère (...) de conduire une mission de réflexion pour formuler des propositions concrètes et réalistes sur ce sujet», a-t-il ajouté. Il a précisé que «cette réflexion doit porter sur les conséquences juridiques et matérielles des décisions judiciaires d'interdiction d'exercer et des décisions de suspension administratives conservatoires».

Interrogé sur la présomption de légitime défense pour les policiers, proposée par Marine Le Pen, puis reprise par Nicolas Sarkozy lors de la campagne électorale, M. Valls a écarté cette solution: «Si nous lançons cette réflexion, c'est que cette piste, incontestablement, n'est pas celle qu'il faut prendre», a-t-il dit. Le ministre, qui a pris ses fonctions place Beauvau à la mi-journée jeudi s'est d'abord rendu à la gendarmerie de Mormant (Seine-et-Marne), entre champs de blé et pavillons de banlieue, où il a adressé un «message de confiance et de soutien aux gendarmes», mais aussi «à la sécurité civile et la police nationale».

«Le ministre de l'Intérieur nous paraît être à l'écoute de notre profession»

M. Valls s'est également rendu auprès des pompiers de Pontault-Combault (Seine-et-Marne) où il a délivré, tantôt tout sourire, tantôt grave, le même message consensuel. Puis, autres paysages plus urbains, il a rejoint Noisy-le-Sec. Devant le commissariat de Noisy, Nicolas Comte, secrétaire général du premier syndicat de gardiens de la paix Unité police SGP-FO, a salué la proposition du ministre destinée à répondre au malaise policier. «Le ministre de l'Intérieur nous paraît être à l'écoute de notre profession», s'est-il félicité. «Il a apporté à nos collègues une réponse» car «ils ont le sentiment de travailler sans filet».

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MessageSujet: Le Dessin de HIC   Sécurité et immigration : une gestion délicate pour Valls Icon_minitimeVen 18 Mai - 16:47

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