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 Ben Bella décède à l'âge de 96 ans

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: Ben Bella décède à l'âge de 96 ans   Ben Bella décède à l'âge de 96 ans Icon_minitimeJeu 12 Avr - 2:59

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PREMIER PRÉSIDENT DE L'ALGÉRIE INDÉPENDANTE

Ben Bella décède à l'âge de 96 ans

Jeudi 12 Avril 2012

Par Brahim TAKHEROUBT

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Une figure marquante de l'histoire contemporaine de l'Algérie

A moins de trois mois de la célébration du cinquantenaire de l'Indépendance, un des derniers historiques tire sa révérence.

L'horloge biologique a sonné. Le premier président de l'Algérie indépendante (1962-1965), Ahmed Ben Bella, est décédé hier à son domicile familial à Alger à l'âge de 96 ans, a-t-on appris auprès de ses proches. Ahmed Ben Bella avait été admis, rappelle-t-on, à deux reprises, il y a plus d'un mois, à l'hôpital militaire de Aïn Naâdja, suite à un malaise. Ahmed Ben Bella n'aura pas la chance d'assister à la célébration du cinquantenaire de l'Indépendance de l'Algérie, qui interviendra dans moins de trois mois.

Hélas! le verdict implacable de la vie en a décidé autrement. Ahmed Ben Bella n'assistera pas au cinquantenaire de l'Indépendance de l'Algérie. Une célébration qui s'annonçait grandiose en ce sens qu'elle allait constituer une halte dans le parcours accompli par l'Algérie aux plans politique, social et économique. Réhabilité par le Président Bouteflika depuis le sommet de l'Union africaine à Alger en 1999, Ben Bella est resté une personnalité très influente dans les hautes sphères de l'Etat. Certaines sources vont même jusqu'à lui prêter certains choix et certaines décisions prises par les autorités depuis ces dix dernières années. Une influence qu'il tire de par son passé de chef historique et surtout ses réseaux dans les pays arabes, les monarchies du Golfe et les pays occidentaux. C'est tout un pan de l'Histoire de l'Algérie contemporaine qui est parti avec le décès de cette personnalité au parcours très atypique. Autant le nom de Ahmed Ben Bella est intimement lié à l'Histoire de l'Algérie indépendance, autant la controverse l'a poursuivi jusqu'à son dernier souffle: dans son engagement dans le Mouvement national, son combat pour l'indépendance, la prise du pouvoir, son renversement par le colonel Houari Boumediene par un coup d'Etat en 1965, son emprisonnement jusqu'à 1980, son exil de 1980 à 1990, son retour au pays, la dissolution de son parti, le MDA, et même l'annonce de sa mort.

Depuis plus de trois mois, une totale confusion régnait en effet, sur son état de santé. Le 22 février dernier, certains confrères on line et de la presse écrite ont annoncé le décès de Ben Bella après avoir été admis dans un état critique à hôpital militaire de Aïn Naâdja où il avait été maintenu en observation pendant des heures. Une information qu'a démentie l'Agence officielle APS en se basant sur des proches de l'ancien président «La nouvelle de sa mort est fausse. M.Ben Bella est toujours en vie, sous observation médicale à l'hôpital après avoir été évacué dans la nuit de mardi à mercredi», avait annoncé cette source à l'APS.

Il y a trois mois, le 30 janvier dernier, l'Algérie a enterré un autre géant du Mouvement national, en la personne de Abdelhamid Mehri qui a été, lui aussi, hospitalisé à l'hôpital militaire de Aïn Naâdja, Alger, depuis le début de l'année 2012. Avec le décès de Ahmed Ben Bella, Hocine Aït Ahmed sera le dernier des chefs historiques à survivre 50 ans après l'Indépendance du pays.
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MessageSujet: Re: Ben Bella décède à l'âge de 96 ans   Ben Bella décède à l'âge de 96 ans Icon_minitimeJeu 12 Avr - 3:06

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AHMED BEN BELLA EST DÉCÉDÉ

Vie privée, vie publique

Jeudi 12 Avril 2012

Par Zouhir MEBARKI

Il avait une capacité de résistance hors du commun. Il avait connu deux fois la prison. Mais celle de la période entre 1965 et 1980 aura été la plus longue et la plus marquante. Très particulière aussi. Destitué, alors qu'il était le premier président élu de l'Algérie indépendante, Ahmed Ben Bella a été arrêté dans la nuit du 18 au 19 juin 1965 à la Villa Joly (bâtisse qui fait face au Palais du peuple) qui lui servait de résidence. Une nuit dans laquelle il restera plongé, en quelque sorte, durant 15 ans aux yeux de l'opinion publique. Plus personne n'aura de nouvelles de lui.


Le secret absolu était maintenu quant à son lieu de détention ou à son état. Sans qu'il y eut besoin de texte officiel, il était interdit à quiconque de poser la moindre question sur cette personnalité. L'interdit était transmis de bouche à oreille. Comme une rumeur mais que tout le monde croyait. Personne n'évoquait son nom pas même en famille de peur de subir les foudres de l'autorité d'alors. Une autorité que tout le monde s'accordait à dire qu'elle avait des «oreilles» partout. Ce qui n'empêchait pas, cependant, les intrépides de se chuchoter des infos le concernant. Il y avait du vrai et du faux dans ce qui circulait «sous le manteau». De ces «murailles» insonorisées dans lesquelles il était plongé allait pourtant «tomber» une nouvelle qui fit pourtant l'effet du tonnerre dans les milieux de la presse d'alors. Ben Bella allait se marier en prison. Et avec qui? Avec une consoeur de l'hebdomadaire Révolution Africaine. Zohra Sellami. Dans tout ce que comptait la presse comme organes à l'époque, seules deux ou trois journalistes étaient des femmes. La profession n'avait pas «bonne presse» auprès des familles. A l'image de celle des artistes. Une vie décousue. Anticonformiste. Qui n'entrait pas dans la rectitude et l'aliénation d'alors. Les choses ont heureusement changé depuis. Mais à l'époque, la grande question que se posaient ceux qui avait eu vent de la nouvelle qui ne s'est répandue que plus tard et très lentement dans le grand public était: quelle idée avait Ben Bella d'avoir attendu un demi-siècle (il avait en 1965, 49 ans) pour se décider à se marier en prison et de plus avec une journaliste? Quant à Zohra Sellami, notre consoeur, elle avait tout simplement disparu des «radars» dès le début de la nouvelle. Impossible donc pour nous d'en savoir plus sur cet «étrange» mariage. Qui n'avait, à vrai dire, rien d'étrange mais que personne n'a vu venir. Que personne n'arrivait à saisir. Ben Bella et Zohra se connaissaient-ils auparavant? Personne n'a pu «normaliser» ce choix ni expliquer le moment choisi. Ce qui, forcément, donnait libre cours à toutes sortes de rumeurs fantaisistes et toujours «sous le manteau» même dans le milieu des journalistes. Que c'était un mariage arrangé et forcé. Que et que... Bien longtemps après, il a été question d'humanisation des conditions de détention de l'illustre prisonnier. La vérité sur ce mariage n'a jamais été donnée ni par les intéressés (Zohra étant morte avant son mari) ni officiellement. Cette tranche de la vie du premier président de la République algérienne fait partie de l'histoire de notre pays. C'est pourquoi nous nous sommes permis de l'aborder.

«A Dieu nous appartenons, à lui nous revenons!» Puisse Dieu l'accueillir en Son Vaste Paradis!
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MessageSujet: L'homme de l'autogestion et des contreverses   Ben Bella décède à l'âge de 96 ans Icon_minitimeJeu 12 Avr - 3:10

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AHMED BEN BELLA EST DÉCÉDÉ

L'homme de l'autogestion et des controverses

Jeudi 12 Avril 2012

Par Ahmed MESBAH

Le premier président de l'Etat algérien, qui est mort hier, a eu une vie très mouvementée et bien remplie.

Ahmed Ben Bella a commencé à faire parler de lui bien avant le déclenchement de la guerre de Libération. Il était encore membre de l'Organisation spéciale (OS) et participait à ce titre à l'attaque de la poste d'Oran. Dans les livres d'histoire, tous les écoliers apprennent aussi que Ben Bella était dans l'avion détourné en 1956. En ce 22 octobre, il était en compagnie d'autres membres du FLN que sont Mohamed Boudiaf, Mohamed Khider, Rabah Bitat, Mostefa Lacheraf, Hocine Aït Ahmed.


A sa sortie de prison, en 1962, il se distingua en tant que personnalité avide de pouvoir. Il pouvait compter sur l'appui de Nasser et de Fidel Castro. Ils avaient d'ailleurs protesté lorsque Boumediene lui ravit la présidence après le «redressement» du 19 juin 1965 qui évinça Ben Bella.

Le premier président de l'Algérie indépendante ne demeura que trois ans à son poste. Pendant son règne, il nationalisa hammams et boulangeries, mit les cireurs de chaussures dans les écoles, eut à affronter les terribles réalités d'après-guerre. Retour des réfugiés, abandon des usines et des fermes par les Français. Par- dessus tout, il avait à préparer en urgence la rentrée scolaire et la campagne agricole. On se souvient aussi de Ben Bella comme étant l'homme du «Soundouk ettadhamoun» (Fonds de solidarité), opération lors de laquelle des milliers de femmes ont fait don de leurs bijoux pour alimenter les réserves de la Banque centrale. Mais pas seulement, dit-on. C'est aussi pendant son règne qu'il y eut l'autogestion des moyens de production. Mais pas encore les plans de développement. Sur le plan social, beaucoup lui reprochent d'avoir fait appel à des coopérants des pays arabes, ce qui est interprété plus tard comme un début d'islamisation de la société. Pendant les quelques années qu'il resta au pouvoir, il eut le temps suffisant pour accaparer les pleins pouvoirs après le gel de la Constitution. C'est lors de ces premières années de l'Indépendance qu'allait se dessiner le sort du pays. Boudiaf et Aït Ahmed n'avaient pas apprécié sa ligne politique comme d'autres membres de l'Assemblée constituante. Les deux historiques ont même fondé leurs propres partis pour contrer ses orientations. Un dictateur, Ben Bella? Pas du tout, se plaisait-il à répondre à la presse, surtout étrangère, qui l'interrogeait sur son style de gouvernance. Il n'avait même pas de portrait officiel, insiste-t-il en guise d'argument pour réfuter l'accusation selon laquelle il serait un fervent du pouvoir personnel. Houari Boumediene ne l'entendait pas de cette oreille. Il le déposa et le mit en prison. Jusqu'à l'arrivée de Chadli Bendjedid.

A l'ouverture politique de 1989, il fonda un parti, le Mouvement démocratique algérien (MDA). Les partisans de Ben Bella lui avaient préparé le terrain car il était l'initiateur du MDA. Il reprit du poil de la bête surtout lorsqu'il fut appelé à présider, depuis 2007, le Groupe des Sages de l'Union africaine. Ce n'est que justice puisque l'homme était membre fondateur de l'Organisation de l'Unité africaine (OUA).
Le président Bouteflika l'a ensuite régulièrement invité aux grands événements lorsqu'il s'agissait de commémorer les dates importantes de l'histoire de l'Algérie comme le 1er Novembre et le 5 Juillet.
Ben Bella n'a pas toujours été tendre envers ses compagnons d'armes. Il n'a pas hésité à égratigner Aït Ahmed ou Boudiaf entre autres. Le premier est trop kabyle, le second pas assez révolutionnaire.
Ces prises de position lui ont valu une salve de critiques à travers la presse et des familles des moudjahidine et des chouhada.

Il ne se fait pas remarquer par ses déclarations uniquement les 90 ans passés. C'est lui qui insista sur le fait que l'Algérie est arabe, arabe, arabe. Plusieurs années, plus tard, on rectifia cette erreur historique. Dans l'intervalle, il y a même eu des chansons pour lui reprocher ses lacunes en matière de connaissance du passé de son pays.

Lui, justement, qui a eu à vivre la guerre de Libération et la guerre des sables lorsque le Maroc tenta d'annexer une partie du territoire algérien.

Le président, au col Mao avait d'autres motifs pour se distinguer. Il vécut en prison plusieurs années de sa vie. Pendant la période coloniale et après l'Indépendance.

La controverse et le paradoxe, il connaît bien. Il ne trouve aucun inconvénient à déclarer que ses parents étaient d'origine marocaine.

La France lui remet la Médaille militaire pour sa participation en Italie, à la bataille de Monte Cassino lors de la Seconde Guerre mondiale. En 1945, tout bascule.

Il intègre le comité central du Mtld. Lors de la Guerre d'indépendance, Ben Bella rejointLe Caire. Membre du Cnra de 1956 à 1962. Il a soutenu, le contrat de Rome (dit de Sant' Egedio) la politique de réconciliation nationale et il est auteur de «L'Islam et la révolution algérienne et la filiation maudite». Il est né le 25 décembre 1916 à Maghnia. Il sera enterré aujourd'hui au Carré des Martyrs à El Alia.
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MessageSujet: Re: Ben Bella décède à l'âge de 96 ans   Ben Bella décède à l'âge de 96 ans Icon_minitimeJeu 12 Avr - 15:56

Salam,

Que d'éloges sur feu Ahmed Ben Bella, d'origine marocaine, en ce moment et en direct sur la chaîne TV " Canal Algérie " ! Bien sûr, les personnes interrogées disent toutes du bien sur le défunt Ben Bella " Que Dieu ait son âme ". C'est vrai, ça été un patriote de chaque instant avant l'Indépendance. Il a rempli son devoir de très belle manière et on lui doit au moins ça. Par contre, je dirai qu'il a dévié de la cause lorsqu'il prit le pouvoir dès septembre 1962. Il fut élu premier président de l'Algérie indépendante en septembre 1963 et c'est à ce moment-là que l'homme a beaucoup changé. Il avait entre ses mains tous les pouvoirs soit Président de la République, patron du parti unique, le FLN, Chef du gouvernement, etc... Cette concentration des pouvoirs entre ses seules mains lui a fait perdre la raison démocratique (bien qu'elle n'existât pas...) et qu'il est devenu par la force des choses un dictateur qui cultivait le culte de la personnalité (il portait même des cols Mao...), un despote en puissance, un notoire faiseur de rois. Il a pratiqué aussi le népotisme néfaste pour la justice. En politique, il avait introduit en Algérie le socialo-communisme de l'ex-URSS, le Panarabisme à la Nasser et il avait hâte de transformer l'Algérie en une nation arabo-musulmane qu'elle ne l'était pas et avec un haut degré d'islamisme. C'est lui qui avait décrété l'interdiction de l'alcool et la fermeture des night-clubs. Ce dernier point a fait que la démographie a été galopante et explosive, le planning familial a été pris de vitesse à ce rythme-là. C'est lui aussi qui a fait arraché les plus belles vignes de la Mitidja dont celles du fameux Domaine de Lismara exploité par le colon suisse Borgeaud, originaire de Lutry dans le Canton de Vaud. Il a introduit la Révolution agraire soit l'Autogestion par les fellahs des terres et des fermes agricoles laissées vacantes par les Européens. Cela a été un fiasco total. Il avait exigé de tous les Algériens de lui remettre tout l'or qu'ils possédaient pour une cagnotte nationale imaginaire dont on a jamais vu la couleur. Cet admirateur de Nasser, de Mao, de Fidel Castro, de Che Guevara a commis les plus graves erreurs dans la gestion étatique des premières années de l'Algérie. Il adorait se montrer dans les grands sommets comme ceux des Non-Alignés, de l'Union Africaine et de l'ONU. Son vice-président et ministre de la Défense, le rusé colonel Boumédiene l'a déposé par un coup d'Etat le 19 juin 1965. Ainsi, Boumédiène mit fin à sa carrière politique et ça n'a pas été un grand mal. Voilà ce que j'avais à dire concernant Ben Bella qui ne m'a jamais laissé un très bon souvenir de son vivant, lui qui prônait un islam intégriste et qui s'était acoquiné, il y a quelques temps, avec les tueurs de l'ex-FIS de Abassi Madani et Ali Benhadj. Je ne le regretterai jamais !

Amicalement,

JAMEL
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MessageSujet: Le Dessin de DILEM   Ben Bella décède à l'âge de 96 ans Icon_minitimeDim 15 Avr - 7:45

Ben Bella décède à l'âge de 96 ans 64_dilem_120414100006
Dilem du Samedi, 14 Avril 2012 , Édition N°5972
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MessageSujet: Re: Ben Bella décède à l'âge de 96 ans   Ben Bella décède à l'âge de 96 ans Icon_minitime

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