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 Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement

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Jamel
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Jamel


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MessageSujet: Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement   Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement Icon_minitimeMer 7 Mar - 4:02

WEB - GOOGLE - ACTUALITE > Présidentielle 2012 > Nicolas Sarkozy

Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement

Publié le 07.03.12 | 00h45

Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement 1652875_3_a9c7_nicolas-sarkozy-sur-le-plateau-de-des-paroles_0376858f01de35c8254822c062ee163d
Nicolas Sarkozy sur le plateau de "Des paroles et des actes", mardi 6 mars.

Nicolas Sarkozy, distancé dans les sondages par son rival socialiste François Hollande, s'est efforcé mardi 6 mars au soir sur France 2 de minimiser son impopularité persistante, a regretté quelques écarts de son mandat et a annoncé un nouvel impôt pour les grandes entreprises.


Invité de l'émission "Des paroles et des actes", le chef de l'Etat a tenu à relativiser les sondages qui le donnent toujours à la traîne au premier tour et battu à plate couture au second, à 47 jours du premier tour. Dans les derniers sondages, Nicolas Sarkozy est distancé au premier tour par François Hollande, de 2 points (CSA) à 4,5 points (Ipsos-Logica) et jusqu'à 8 points (BVA). Il est largement battu au second tour. "La France est un peuple libre, frondeur, qui déteste qu'on lui dise ce qu'il doit faire", a-t-il réagi. "Dans deux mois, on verra qui a eu raison, qui a eu tort".



>> Lire: Quand se joue la présidentielle ?

"J'AI FAIT UNE ERREUR"

Interrogé sur des écarts qui ont suscité la polémique tout au long de son mandat, Nicolas Sarkozy a concédé quelques erreurs. Sur sa soirée controversée de victoire en 2007 au Fouquet's, il a confirmé qu'on ne l'y prendrait plus. "Cette fois-ci, j'ai une famille, une famille solide, et je sais où je pourrai la fêter cette victoire: avec ceux que j'aime, avec ma femme et mes enfants et peut-être avec quelques amis", a-t-il dit.
>> Revoir les regrets de Nicolas Sarkozy sur le Fouquet's au 20 heures de France 2, le 23 février.

Le chef de l'Etat a concédé qu'il n'aurait "pas dû" répondre par la "fameuse phrase" "Casse-toi pauv'con" à un participant qui l'avait apostrophé lors du salon de l'agriculture en 2008. "J'ai fait une erreur", a-t-il convenu. S'agissant de l'épisode du Guilvinec, fin 2007, lorsqu'il avait dit à un pêcheur "de descendre" pour répéter l'insulte qu'il venait de proférer, le candidat de l'UMP s'est refusé à tout mea-culpa: "Je n'aurais pas dû lui répondre, mais ce sont des gens que je respecte".



NOUVEL IMPÔT SUR LES GRANDS GROUPES DU CAC 40

Concernant ses liens avec certains PDG, Nicolas Sarkozy a renvoyé les socialistes à leurs propres amitiés patronales, comme Pierre Bergé, rappelé les fortunes personnelles de Laurent Fabius, qu'il devait affronter en débat plus tard dans l'émission, ou Dominique Strauss-Kahn. Souvent moqué par la gauche comme le "président des riches", le candidat de l'UMP a réfuté tout cadeau aux plus privilégiés. "C'est un mensonge éhonté", une "imposture", s'est-il emporté. "Je suis le seul président en Europe qui a maintenu un impôt sur les grandes fortunes".

Il a rejeté son image de président qui "divise" et a répondu par sa volonté de réformer. Évoquant son programme économique, le président sortant a annoncé la création d'un nouvel "impôt sur les bénéfices minimum pour les grands groupes du CAC 40 en France", déplorant que certains d'entre eux "maximisent les avantages fiscaux" et "ne paient pas du tout d'impôt". "On peut le faire par exemple sur le bénéfice mondial consolidé", a-t-il avancé en citant l'exemple de Total.

Rappelant que son objectif était de ramener les déficits publics à 3 % du PIB en 2013 pour revenir à l'équilibre en 2016, Nicolas Sarkozy a souligné "qu'entre 2011 et 2016, il faut faire un effort de 115 milliards d'euros". Celui-ci passerait, selon lui par 70 milliards d'économies et 40 milliards de recettes supplémentaires, dont 32 milliards ont déjà été votés. "Reste à trouver 8 milliards de recettes" dont l'impôt minimum sur les bénéfices des grands groupes "répondra à une partie", à hauteur de 2 à 3 milliards.

DIVISER PAR DEUX LE NOMBRE D'IMMIGRÉS D'ICI 2017

"On peut le faire par exemple sur le bénéfice mondial consolidé", a-t-il avancé. Citant le groupe pétrolier Total, Nicolas Sarkozy a souligné qu'une "entreprise localisée en France doit payer un impôt sur les bénéfices minimum". "Il restera à définir à partir de quand on est un grand groupe", a-t-il observé, laissant entendre que l'appartenance au CAC 40 pourrait ne pas être le critère exclusif.

Nicolas Sarkozy a défendu sa volonté de baisser les charges pesant sur les plus petits revenus. "Si on n'allège pas les charges sur le travail, le travail sera délocalisé", a-t-il plaidé. Au titre de ses regrets, il a répété qu'il aurait "peut-être" dû imposer "avant" une TVA sociale, finalement votée ces derniers jours par le Parlement.

Il a également annoncé qu'il souhaitait diviser par deux le nombre d'immigrés accueillis chaque année en France et soumettre à certaines conditions l'attribution des minimas sociaux aux étrangers. "Sur le quinquennat, je considère que pour relancer dans de bonnes conditions l'intégration, il faut diviser par deux le nombre de gens que nous accueillons, c'est-à-dire passer de 180 000 autour de 100 000", a proposé M. Sarkozy.

RESTRICTIONS SUR LE RSA

Par ailleurs, pourront bénéficier du RSA et du minimum vieillesse les immigrés qui auront résidé 10 ans en France et travaillé 5 ans, a déclaré le président-candidat. Actuellement, les étrangers résidant régulièrement en France ont droit aux mêmes droits sociaux que les Français. "Le RSA il y a 165 000 étrangers qui en bénéficient, et pour le minimum vieillesse 20 000 étrangers qui en bénéficient. Nous allons mettre pour les deux des conditions de présence sur le territoire et d'activité", a-t-il expliqué.

Il a également affirmé que "les efforts d'insertion" des bénéficiaires du RSA seront "évalués tous les dix-huit mois". M. Sarkozy a confirmé la généralisation des contrats de sept heures d'intérêt général pour les bénéficiaires du RSA qui n'ont aucune activité. "S'agissant de la Couverture médicale universelle et de l'aide médicale d'Etat (AME) accordée aux sans-papiers, la tradition de la France c'est de soigner quelle que soit la nationalité", a encore dit le président-candidat. "Je ne souhaite pas qu'on remette en cause cette générosité française", a-t-il ajouté, alors que l'AME est attribuée à près de 200 000 personnes.



PROPORTIONNELLE ET PARRAINAGES

Enfin, interrogé sur les points de convergence entre son programme et celui de Marine Le Pen, il s'est défendu de tout rapprochement. "Si Mme Le Pen dit qu'elle préfère le soleil à la pluie, je suis d'accord avec elle", a-t-il dit avant de s'epxliquer sur la polémique sur le halal. "Je conteste la polémique de Mme Le Pen, et je n'ai pas changé de position. Vous voulez consommer de la viande halal ou casher, vous avez le droit. Vous voulez manger de la viande ni halal ni casher, vous en avez aussi le droit et vous devez le savoir", a-t-il dit, pour défendre son principe de mettre en place une traçabilité de la viande, tout en réfutant toute droitisation de sa campagne sur le sujet.

Nicolas Sarkozy a en outre promis de poursuivre "l'ouverture" vers des personnalités d'opposition s'il est réélu en mai et confirmé son intention d'introduire une dose de proportionnelle aux élections législatives, qu'il a chiffrée "entre 10 et 15%". "L'ouverture, je la poursuivrai en demandant l'introduction d'une dose de proportionnelle dans les élections législatives entre 10 et 15% des sièges", a-t-il dit.

"Je considère qu'il est profondément injuste et profondément anormal que des millions d'électeurs ne soient pas représentés au Parlement", a-t-il expliqué pour justifier cette proposition qui a suscité des réserves au sein de l'UMP, son parti. Il a également évoqué la possibilité de remplacer les parrainages de 500 élus nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle par des parrainages de citoyens.

HOLLANDE, UN "HOMME QUI A DU MAL A DIRE NON"

Le président-candidat a également confirmé son intention de diminuer le nombre de députés. A propos de l'ouverture, il a déclaré que, en ce début de campagne , "être soutenu par un homme de la qualité de M. Allègre [l'ancien ministre de l'éducation de Lionel Jospin], ça compte." Mais il ne s'est pas empêché d'ironisé sur son adversaire socialiste, François Hollande, un "homme qui a du mal à dire non" et qui "n'a jamais exercé la moindre responsabilité au niveau de l'Etat".

"J'ai avec lui des rapports cordiaux, je le connais bien depuis des années, nous n'avons aucun contentieux, c'est un homme intelligent, je n'ai jamais eu de problème particulier avec lui", a-t-il assuré. "La seule chose qui m'étonne, c'est qu'il n'a jamais exercé la moindre responsabilité au niveau de l'Etat. Jamais François Mitterrand ne lui a confié la moindre responsabilité. J'étais étonné que le Parti socialiste confie la responsabilité d'être candidat à un homme qui n'a jamais dirigé, rien", a enchaîné M. Sarkozy.



"François Hollande, que je connais bien, est quelqu'un qui a du mal à dire non, qui aime concilier tous les contraires et qui n'aime pas choisir", a-t-il dit. Il a éreinté le bilan de M. Hollande en tant que premier secrétaire du PS (entre 1997 et 2008): "Pendant 10 ans, la ligne du Parti socialiste était floue". Selon M. Sarkozy, le député de Corrèze "n'aime pas trancher, dire non et a tendance à dire oui à tous ceux à qui il s'adresse". "C'est un homme qui a du mal à dire non", a-t-il dit.
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MessageSujet: Climat de tension pour le débat entre Sarkozy et Fabius   Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement Icon_minitimeMer 7 Mar - 4:13

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Climat de tension pour le débat entre Sarkozy et Fabius

Publié le 06/03/2012 à 00:08

Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement 138dfe4e-67e0-11e1-80d6-d8bb2a363fe9-493x328
Laurent Fabius et Nicolas Sarkozy hier sur le plateau de Des paroles et des actes. Un débat parfois agressif, tout le temps animé.

Sur France 2, le président a rappelé à l'ex-premier ministre ses critiques contre Hollande.

Ça a commencé par un cadeau d'accueil, mais pas forcément pour détendre l'atmosphère. Laurent Fabius venait à peine de s'installer sur le plateau de France 2 pour débattre avec Nicolas Sarkozy, dont il regrettait la «violence» à l'encontre de François Hollande, que le président-candidat l'accueillait en lui offrant une sélection des petites phrases de l'ancien premier ministre contre son rival passé au sein du PS.

«Pour le critiquer, je dois confesser que je me suis inspiré de vous », glissait Nicolas Sarkozy avant de rappeler qu'en son temps, Laurent Fabius avait qualifié François Hollande de «fraise des bois ». «Vous citer, ce n'est pas être désagréable », assurait Nicolas Sarkozy, forçant Laurent Fabius à reconnaître qu'il n'avait pas toujours soutenu la candidature de François Hollande. «Je n'ai pas toujours eu de bons rapports avec François Hollande », rappelait-il avant d'expliquer les raisons de son ralliement à son ancien adversaire: «Il a été désigné brillamment, il a fait preuve de ténacité, il a su dire oui, il a su dire non, en particulier à votre réélection. »

Une affaire de style

Passé ces premières amabilités, l'ancien premier ministre pouvait lancer la formule qu'il avait préparée: «Votre bilan, c'est votre boulet » Le ton était donc donné d'entrée de jeu et il n'allait pas beaucoup évoluer tout au long du débat: tendu, parfois agressif, tout le temps animé. Notamment après la description cataclysmique brossée par Laurent Fabius du quinquennat. «Pourquoi voulez-vous que ce qui n'a pas marché avec vous pendant cinq ans, tout d'un coup se mette à fonctionner? » Rictus de Nicolas Sarkozy qui déplore des «jugements aussi cruels et brutaux » avant de s'en prendre à son adversaire du jour. «Ça ne vous va pas de jouer la modestie outrageusement », lançait le chef de l'État. Réponse immédiate de Laurent Fabius: «Outrageusement, c'est un mot qui vous va bien ». Nicolas Sarkozy rebondissait ensuite dans une allusion au débat passé de Laurent Fabius face à Jacques Chirac en 1986: «On ne change jamais. » Réplique de Laurent Fabius: «J'allais vous le dire. »

Il était bien sûr impossible que les deux hommes se mettent d'accord. De fond, il a été assez peu question, mais de style beaucoup. Fabius a reproché à Sarkozy de ne pas avoir été «en ligne avec la tradition républicaine ». «Je n'ai pas beaucoup de leçon de style à recevoir de quelqu'un qui militait pour que Dominique Strauss-Kahn soit élu président », relevait Sarkozy, s'attirant en réponse un «bravo pour votre élégance » de la part de Fabius.
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MessageSujet: Les antisèches de Nicolas Sarkozy sur Laurent Fabius   Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement Icon_minitimeMer 7 Mar - 13:38

WEB - GOOGLE - ACTUALITÉ > Présidentielle

Les antisèches de Nicolas Sarkozy sur Laurent Fabius

Mis à jour le 07/03/2012 à 12:19 | publié le 07/03/2012 à 11:29

Un plan de caméra lors du débat de France 2 a permis de révéler le détail d'une des fiches de Nicolas Sarkozy sur les «petites phrases de Laurent Fabius sur François Hollande».


«Allez-y, je vois que vous lisez vos fiches!». À plusieurs reprises lors du débat mardi soir sur France 2, Laurent Fabius a ironisé sur l'usage d'antisèches et d'éléments d'argumentaire par le président de la République. Si tous les hommes politiques disposent de telles aides lors de débat pour se remémorer certains chiffres ou faits, un plan de caméra de France 2 a permis de dévoiler le contenu de l'une d'entre elle.

Intitulée «Petites phrases de Laurent Fabius sur François Hollande», cette dernière détaille huit attaques du socialiste sur le candidat de son parti à la présidentielle. Deux d'entre elles semblent avoir particulièrement intéressé Nicolas Sarkozy - ou son conseiller politique - et apparaissent surlignées en jaune et encadrées en rouge.

La première cite Laurent Fabius le 18 avril 2011 lors d'une rencontre avec des étudiants à Bordeaux: «Franchement, vous imaginez Hollande président de la République? On rêve!». La seconde le cite lors d'un passage sur France 2 en octobre 2010: «Pour être élu président de la République, je vais vous dire les choses clairement (...), je crois qu'il y a deux personnes, moi mis à part, qui ont la carrure, Dominique Strauss-Kahn et Martine Aubry».

«Je me suis inspiré de vous»

Sans surprise, Nicolas Sarkozy a utilisé ces deux éléments face à Laurent Fabius lors du débat. Alors que ce dernier l'attaquait sur la «violence» de ses propos sur François Hollande, Nicolas Sarkozy a saisi la balle au bond. «Juste un mot, il faut que je vous confesse quelque chose: je me suis inspiré de vous», a lancé le président, en commençant à se pencher sur ses documents. «Allez-y, je vois que vous lisez vos fiches», a alors raillé Laurent Fabius, tandis que Nicolas Sarkozy débutait son argumentaire.

«'Pour être élu président de la République, je crois qu'il y a deux personnes qui ont la carrure: Dominique Strauss-Kahn et Martine Aubry': vous trouvez que c'est plus aimable que ce que j'ai dit? C'était en 2010. En 2011, comme vous êtes un homme qui a de la suite dans les idées, vous n'aviez pas changé d'avis. Vous avez dit: 'franchement, vous imaginez Hollande président de la République? On rêve!' Vous trouvez que c'est plus aimable?».

Désolé, cette vidéo n'est pas disponible sur votre mobile.

Le président-candidat a utilisé un peu plus tard un autre élément surligné, mais non entouré, de sa fiche sur Laurent Fabius: une citation du socialiste de 2003 qualifiant François Hollande de «fraise des bois». «C'est pour garder le débat à une certaine hauteur que je n'ai pas cité ce que vous avez dit sur François Hollande quand vous le compariez à une fraise des bois, je ne suis pas sûr que lui-même appréciait l'expression», a alors lancé Nicolas Sarkozy.

Les autres points détaillés dans l'antisèche, et non-utilisés par Nicolas Sarkozy, concernent le sobriquet «monsieur petite blague» ou «opposition en caoutchouc», et des déclarations de Laurent Fabius fustigeant les idées-phares du programme du candidat socialiste, les 60.000 emplois supplémentaires dans l'éducation, et le contrat de génération.
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MessageSujet: Le document «anti-Fabius» de Sarkozy qui fait la joie de Twitter   Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement Icon_minitimeMer 7 Mar - 13:44

WEB - GOOGLE - Actualité > Présidentielle 2012 > Les personnalités > Nicolas Sarkozy

Le document «anti-Fabius» de Sarkozy qui fait la joie de Twitter

Publié le 07.03.2012, 00h31 | Mise à jour : 08h29

Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement 1892774_antiseche3_640x280
Alors que Nicolas Sarkozy était invité de l'émission «Des Paroles et des actes» sur France 2 mardi soir, de nombreux internautes ont échangé cette image sur Twitter.

Parmi les très nombreux messages postés sur Twitter mardi soir au cours de l'émission «Des Paroles et des actes», les plus repris ont certainement été ceux qui évoquaient les notes qu'avaient Nicolas Sarkozy devant lui, photo à l'appui.

«Voilà, la contre attaque de Sarkozy résumée en une image. #dpda», écrit Baptiste Fluzin à 22h44, alors que commence tout juste le débat entre Laurent Fabius et le président-candidat. Et l'internaute de joindre une image des fiches de Nicolas Sarkozy, portant l'en-tête «Les petites phrases de Laurent Fabius sur François Hollande».

Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement 1892766_antiseche2

Une autre capture d'écran, plus large, a circulé sur Twitter mardi soir. Elle aussi beaucoup reprise, notamment par la twittosphère socialiste.

Nicolas Sarkozy : beaucoup de défenses, un affrontement 1892764_antiseche

Sur ce document, plusieurs paragraphes dactylographiés, dont trois sont surlignés en jaune et deux encadrés en rouge. L'un d'entre eux rappelle des propos tenus par l'ex Premier ministre socialiste au quotidien «Sud-Ouest» en avril 2011 : «Franchement, vous imaginez François Hollande président de la République ? On rêve!» Une déclaration que n'a pas manqué de rappeler Nicolas Sarkozy à son contradicteur au cours de leur débat. Le président-candidat a également rappelé que son contradicteur comparaissait Hollande à une «fraise des bois»...

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