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 La présidence centrafricaine accuse les soldats français d'avoir « froidement abattu » trois ex-Séléka

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Jamel
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MessageSujet: La présidence centrafricaine accuse les soldats français d'avoir « froidement abattu » trois ex-Séléka   La présidence centrafricaine accuse les soldats français d'avoir « froidement abattu » trois ex-Séléka Icon_minitimeMar 24 Déc - 8:07

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La présidence centrafricaine accuse les soldats français d'avoir « froidement abattu » trois ex-Séléka

Le 22.12.2013 à 19h06 • Mis à jour le 23.12.2013 à 14h37

La présidence centrafricaine accuse les soldats français d'avoir « froidement abattu » trois ex-Séléka 4338777_3_7071_a-bangui-le-22-decembre-lors-d-une_2393b00e4cd2fca793959aad2b11d836
A Bangui, le 22 décembre, lors d'une manifestation contre l'opération militaire française « Sangaris ».

Lors du conseil des ministres réuni lundi 23 décembre, François Hollande a rappelé que l'intervention de la France en République centrafricaine reposait sur trois principes : « l'interposition » entre les belligérants, « l'impartialité » et « l'intransigeance à l'égard des violences ». Le président français a aussi souligné que « la présence des forces françaises [dans ce pays] était une présence limitée dans le temps et dans l'ampleur ».

Cette mise au point intervient alors que la présidence centrafricaine accuse l'armée française d'avoir abattu « froidement » dimanche trois combattants de l'ex-rébellion Séléka lors d'un accrochage dans un quartier nord de Bangui. « Il ne s'agissait pas d'une opération de désarmement, et il n'y a pas eu de coups de feu, contrairement à ce qui a été dit dans certains médias français », affirme Guy Simplice Kodégué, porte-parole de la présidence de la République centrafricaine.

Les trois hommes étaient « des membres de la garde présidentielle » et « ils ont été froidement abattus par les éléments de la force “Sangaris” », insiste le représentant de Michel Djotodia, évoquant un acte « délibéré ».

Selon l'état-major français, les soldats français ont ouvert « le feu deux fois au cours de la journée » de dimanche : la première fois « contre un groupe d'une demi-douzaine de personnes soupçonnées d'être des ex-Séléka » qui « allaient faire usage de leurs armes », qu'ils avaient « pointées contre [les] troupes [françaises] » ; et la seconde fois « contre un tireur isolé ».

LA PARTIALITÉ DES SOLDATS FRANÇAIS DÉNONCÉE

A la suite de ces accrochages, plusieurs milliers de musulmans, sympathisants de l'ex-rébellion Séléka, ont manifesté dimanche dans la capitale centrafricaine contre l'opération militaire française « Sangaris ».

VIDEO : Violentes manifestations anti-françaises en Centrafrique

https://www.dailymotion.com/video/x18r78j_violentes-manifestations-anti-francaises-en-centrafrique_news#from=embediframe

Dans l'après-midi, les manifestants se sont rassemblés dans le centre-ville et ont ensuite marché pacifiquement dans une grande avenue vers le quartier musulman PK5. « Non à la France », « Hollande, criminel ! », scandaient notamment les protestataires, qui entendaient dénoncer « la partialité » des militaires français déployés en République centrafricaine, où ils tentent de mettre fin à des violences interreligieuses à grande échelle. La marche s'est déroulée sans incident.

Près de 1 600 soldats français sont déployés en RCA, dont un millier à Bangui, dans le cadre de l'opération Sangaris, déclenchée le 5 décembre au plus fort d'une vague de violences entre chrétiens et musulmans qui a fait près d'un millier de morts. Les militaires français tentent depuis lors de désarmer les belligérants. Ils ont neutralisé en priorité les combattants de l'ex-Séléka, aujourd'hui pour la plupart désarmés et cantonnés.

Privés de la protection de ces Séléka dans la rue, de nombreux musulmans sont furieux de l'action des soldats français, s'estimant laissés à la merci des atrocités des milices chrétiennes « antibalakas » et des exactions des chrétiens, très majoritaires dans la capitale.
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