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 Tunisie : les deux opposants auraient été tués par la même arme

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Jamel
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Jamel


Messages : 14896
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MessageSujet: Tunisie : les deux opposants auraient été tués par la même arme   Tunisie : les deux opposants auraient été tués par la même arme Icon_minitimeVen 26 Juil - 14:24

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Tunisie : les deux opposants auraient été tués par la même arme

Mis à jour le 26/07/2013 à 15:34  Publié le 26/07/2013 à 15:03

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Lofti Ben Jeddou, ministre tunisien de l'Intérieur.

Le ministre de l'Intérieur tunisien accuse un salafiste radical, Boubaker Hakim, d'être impliqué dans les assassinats de Mohammed Brahmi, le député de l'opposition tué à Tunis, jeudi, et Chokri Belaïd, il y a moins de six mois.


Un même homme serait impliqué dans les deux assassinats politiques qui ont frappé l'opposition tunisienne à moins de six mois d'intervalle. Le ministre tunisien de l'Intérieur, Lofti Ben Jeddou, a annoncé vendredi qu'un salafiste radical du nom de Boubaker Hakim, déjà recherché pour contrebande d'armes venant de la Libye voisine, était le principal suspect dans l'assassinat de Chokri Belaïd, tué le 6 février dernier, et celui de Mohammed Brahmi, ce député d'une petite formation de gauche assassiné jeudi devant son domicile tunisois. «La même arme automatique de calibre 9 mm qui a tué Chokri Belaïd a aussi tué Mohammed Brahmi», a-t-il ajouté précisant que les autorités avaient identifié 14 salafistes, la plupart membres de l'organisation Ansar al Charia, qu'elles soupçonnent d'être impliqués dans l'assassinat de Belaïd. Il a ajouté n'avoir aucune preuve de l'implication d'un parti politique.

Fin février, près de trois semaines après la mort de Belaïd, Ali Larayedh, l'actuel chef du gouvernement, à l'époque ministre de l'Intérieur, avait annoncé que son meurtrier présumé avait été indentifié mais restait en fuite. Une intervention destinée à rectifier des informations émanant de sources policières indiquant que cet homme et le complice qui lui aurait permis de fuir à moto avaient été arrêtés. Larayedh avait aussi annoncé l'arrestation de quatre personnes, dont le conducteur du deux-roues en question. Les personnes arrêtées étaient déjà à l'époque qualifiées de «salafistes extrémistes».

«Ras-le-bol de l'incompétence de ce gouvernement»

Vendredi, des centaines de Tunisiens ont de nouveau manifesté dans la capitale pour réclamer la chute du gouvernement dirigé par les islamistes d'Ennahda. Les manifestants, des syndicalistes pour la plupart, ont défilé sur l'avenue centrale Habib Bourguiba, encadrés par un dispositif de sécurité.

Ils s'étaient rassemblés auparavant sur la place emblématique Mohammed Ali devant le siège de la puissante centrale syndicale (UGTT), qui a décrété une grève générale vendredi en signe de protestation. Brandissant des drapeaux de la Tunisie, les manifestants ont scandé des slogans contre Rached Ghannouchi, chef d'Ennahda, le qualifiant d'«assassin». «Le feuilleton des assassinats politiques n'aura pas une fin si ce parti reste encore au pouvoir», a lancé Ali Bouraoui, 25 ans. «Ras-le-bol de l'incompétence de ce gouvernement, ça craint le pire», renchérit Salima Baccar, une jeune étudiante de 21 ans.

Jeudi déjà, des manifestations avaient éclaté dans Tunis et en province dès l'annonce de l'assassinat de Brahmi, dispersées à coup de gaz lacrymogène dans la capitale et à Sidi Bouzid, ville natale du défunt et point de départ de la révolte de 2011. Des dizaines de jeunes ont tenté jeudi soir de camper devant le ministère de l'Intérieur pour un sit-in «jusqu'à la chute du régime», mais ils ont été délogés par la police.
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